TOP 50 des Players

Durant ces prochains jours, nous allons vous proposer un top 50 des plus grands Players de l'histoire. 16 ans d'histoire, de simulation, de RP, d'animation, de bonheur et de déception.

Ce top 50 se basera en grande partie sur le souvenir des organisateurs, il est donc fort probable que des évènements nous font défauts et que nous n'ayons pas réussis à bien re-situer les choses. Dans quel cas, nous acceptons volontiers les corrections.  

Ah, ce topic est purement subjectif.

Certains Players ont marqués l'histoire par leur personnalité, leur RP ou leur performances sportives, ici, nous mélangeons tout pour vous proposer le plus grand Panthéon qui soit !

Il est fort probable aussi, que notre mémoire nous joue des tours et que nous ayons quelques oublies... Vraiment désolé pour les Players concernés. Retracer 16 ans avec un historique parcellaire n'est pas simple, mais on a essayé de vous proposer quelque chose de spécial.

Amusez-vous, régalez-vous, et petite question.
A votre avis, qui est dans le top 3 ?

PS : Sur la bannière d'illustration, nous avons l'avatar du premier Players crée, un certains Sebastian Aricio de Galvez et l'avatar de la dernière à avoir rejoint l'aventure, Bianca Dimitrescu.

Joueur mécompris de sa génération, Pierrot a tout de même obtenu une carrière honorable. Originaire de bretagne, le joueur a réussis à s'imposer en Ligue 1 avant de devenir l'acolyte d'Allan Best. Des RP mémorables, une carrière qui devient vite anecdotique mais une sympathie sans égal qui a marqué toute la première génération de Players. S'il ne reste aujourd'hui que peu d'éléments de la carrière de ce joueur qui a bien plus brillé par sa personnalité que par ses performances, il est sans nul doute le marqueur de ce qu'était Players. Son successeur, Kadeg Le Moal a connu une carrière bien plus intéressante sportivement, mais plus sage, son personnage marquera moins les esprits par ses RP totalement barrés.

L'histoire commence il y a des années de ça, souvenez-vous de Kevin Marquet, tout le monde en parlait comme l'un des meilleurs joueurs au monde, carrière atypique et parcours des plus compliqués, le joueur mettra un terme à sa carrière en plein dans son age d'or pour des raisons obscures, certains parlerons de tentative de suicide suite à sa rupture avec sa compagne de l'époque, mais cette histoire restera toujours des plus louches...

Katrina Marquet (ft. Amber Heard) tombe un jour sur une photo, d'un homme avec un petit garçon, un garçon d'à peine dix ans, ce garçon ressemble étrangement à Kevin Marquet

Elle commence à se poser des questions, et si elle était liée à cet homme ?! Elle se sert alors de plusieurs contacts dans le milieu qu'elle connait puisqu'ils étaient ensemble à la fac et parvient à connaitre un peu plus ce fameux KM, il vit aujourd'hui dans le sud de la France, non loin de Nice mais resterait inapprochable, son adresse restant des plus discrète... C'est alors qu'elle décide de tout plaquer, fini son projet d'entreprise, elle revient en France, d'abord Paris, puis Marseille à la recherche d'information... Mais en vain, il semble s'être envolé, Espagne, Portugal, elle n'en sait rien... Ce qu'elle sait par contre c'est que son porte feuille commence à se vider et que les propositions lui permettant de voyager sont trop peu nombreuse... Elle contacte alors quelques amis de la fac et parvient à trouver une solution, et si elle gérait un club de foot à peine professionnel ?! C'est un milieux très instable mais qui permet d'obtenir une entrée financière considérable pour lui permettre de vivre, voyager et de retrouver son frère ! Se souvenant de l'amour de son père pour ce sport, elle se jette à cœur perdue dedans passant des semaines entières à l'étudier scrupuleusement, bouquins, vidéos, tout passe en revue et son appartement niçois devient en quelques semaines un temple à la gloire du football français.

Pour capitaliser tout ça, elle décide de faire un stage dans un club local et prends rapidement un poste d'assistant de direction, là elle découvre le milieu même si ça reste un petit club amateur, elle commence à toucher à la gestion d'équipe, à la gestion financière, mais surtout à la gestion des hommes ! En tant que femme, qui plus est plutôt jolie, les choses n'étaient pas si simple. Mais elle appris rapidement à faire avec, cumulant les qualités et les compétences, la voilà maintenant à l'aube de ses 27 ans prêt à prendre en main un club de National pour gagner des sous, mais surtout assouvir une passion naissante pour un sport qui plait tant aux membres de sa famille disparu ou recherché... La grande histoire de Katrina venait à peine de commencer...

En 2020 elle prends donc en main le club de l'OGC Nice alors en National français, la mise en route est relativement simple, pas forcément à l'aise dans le sport, elle gère surtout les finances et voit le sport comme un moyen rentabilisé l'investissement, les dirigeants sont globalement fier de son parcours, elle a réalisé de nombreux bénéfices. Elle se perd aussi dans quelques relations tumultueuses, notamment avec une de ses joueuse qui restera secret et provoquera rapidement le départ de la joueuse en question pour éviter les ragots.

Les saison s'enchainent et se ressemble, remplis de succès, à l'exception de la saison 2023-2024 et la relégation de Ligue 1, trop ambitieuse, elle s'est surement vu trop grande, trop forte. Dans le même temps elle parvient à retrouver son frère Kevin Marquet, elle nouera avec lui une relation particulière, devenu agent de joueur elle n'a pas grand chose en commun avec lui, si ce n'est le football, un profond respect naitra entre eux, sans qu'ils arrivent à briser la barrière de leur enfance pour être suffisamment complice. D'une nature glaciale, elle se renfermera encore plus sur elle même qu'en en 2028 son père décède, froide, austère, pour beaucoup calculatrice et manipulatrice elle délaisse peu à peu ce qu'il reste de sa vie privée pour se noyer dans le boulot, l'OGC devient la seule chose qui compte dans sa vie, et il faudra attendre son départ du club en juin 2032 pour voir un le soleil frappé à nouveau son existence. En effet, durant ses jeunes années elle a mis au monde une petite fille, mais trop jeune, trop impliquée dans la recherche de son frère, elle l'a confiée à une famille d’accueil qui en a assuré son éducation et garanti une bonne hygiène de vie, et la voir débarquer dans sa vie à l'aube de ses 40 ans à tout chambouler.

Arrivée au bout des possibilités et victime à on sens d'une énième tricherie et d'une erreur d'arbitrage lors de la demi finale de la Ligue des Champions, Katrina Marquet, lassé et tombé dans une certaine paranoïa à penser que les instances du football européen sont contre elle, de par son sexe et sa réussite dans ce milieu machiste, décide de quitter la Présidence de l'OGC Nice et par la même de mettre un terme à sa carrière dans le milieu du sport. Elle décédera d'une maladie quelques mois après sa retraite.

[extrait du Hall of Fame]

Peter Murphy est né en l'an 2004 à Dublin, capitale de l'Irlande. Son père était un ancien hooligan, supporteur du Liverpool Football Club et emmenait régulièrement son fils Peter à Anfield voir les Reds jouer. Peter a toujours baigné dans cette ambiance, dans cette atmosphère. Il n'était pas un bon élève et arrêta vite l'école : il préférait plutôt trainer avec ses potes à boire, fumer et jouer au foot. Et au foot, il n'était pas mauvais et c'est ce qui l'empêcha de mal tourner comme la plupart de ses amis. Car en 2021, à l'âge de 17 ans, la présidente d'un petit club français, le Red Star le contacta et lui proposa de venir jouer dans cette équipe, dans le championnat national. Ni une, ni deux, Peter accepta et parti seul pour Paris.

C'est cette saison qu'il fit la connaissance de Caitlinn Bouchard, joueuse irlandaise elle aussi. Les deux allait évoluer ensemble sous le maillot vert ainsi que sous la tunique niçoise dans un futur proche. Il y avait aussi Michelangelo Zizito, Sven Jacobsen... La première saison fut un échec et le club n'obtint pas la montée. En conséquence, de nombreux cadres quittèrent le club ainsi que le présidente Lory Fice. Peter, lui, signa à Nice avec la présidente Katrina Marquet mais voulait rester une saison de plus au Red Star. Cette saison la, il fit la rencontre d'une joueuse, future star mondiale : Lucy Williams. Mais encore une fois, le Red Star n'obtint pas la montée et Peter retourna à Nice...

... Non. Nice venait de monter en Ligue 1 et Peter n'avait pas le niveau. Alors il signa à l'AS Saint-Etienne et explosa cette saison la. Tellement qu'il sera sacré champion de Ligue 2 ! Saint-Etienne monte en Ligue 1 et ... l'OGC Nice redescend. Il effectuera sa première saison sous les couleurs niçoise en 2024, en Ligue 2. Une sacré équipe : Fabian Schild, Anthony Masen, Rafael de Sicao, Victor Lemmings... le club est sacré champion de Ligue 2 2025 et remonte en Ligue 1.
2025-2026, la dernière saison de Peter à Nice. Le club se qualifie pour la Ligue des Champions, mais à l'été, un scandale éclate et le club est menacé d'exclusion de la Coupe d'Europe. Peter demande à être placé sur la liste des transferts au cas ou. C'est à cette occasion que le Liverpool Football Club contacta Nice... Le club des rêves de Peter. SON club.

Il y signa en tant que remplaçant. Il n'allait pas avoir beaucoup de temps de jeu, mais qu'importe, il était chez lui. Il rencontra cette année la sa femme, Andrea Gowan qui accoucha de triplée quelques mois plus tard. Mais cette période coincida aussi avec les problèmes d'alcool de Peter.
Mais en 2028, la consécration : il était sacré champion de Premier League avec Liverpool !!! Avec un statu de joker de luxe, le supersub. La saison suivante, Liverpool ne parvint pas à conserver son titre et Peter réclama plus de temps de jeu. Il allait donc passer la saison 2029-2030 à Berlin, en Allemagne.

C'était une année dure. Seul. Loin de sa famille, même si Peter enchainait les buts, il était triste. Mais il parvint à qualifier tout de même l'Irlande en Coupe du Monde après des scénarios incroyable. Cette Coupe du Monde... L'Irlande ira en finale contre l'Argentine après avoir réussi à se défaire de ses adversaires un par un. Mais contre l'Argentine, Peter ne marqua qu'un seul but et rata beaucoup trop d'occasions pour espérer remporter la Coupe du Monde. Retour à Liverpool et début de coups de blues...

Liverpool n'était plus capable de rivaliser en championnat ni en Europe. Pas passé loin du titre une fois. Remporté la Cup une fois... Alors que l'équipe était annoncé parmi les favoris à chaque début de saison, elle décevait. Jusqu'à jouer le maintien en 2036-2037... la dernière saison de Peter dans le monde du football...

Un conflit naissait en Irlande, opposants le Roi George III et l'IRA nouvellement reformée qui comptait donc dans ses rangs une nouvelle recrue : Peter Murphy. Peter participa à de nombreux attentats, à de nombreuses missions d'espionnage en utilisant notamment sa notoriété. De temps en temps, il arrivait à voir ses enfants. Mais il était recherché par les polices britanniques alors ses mouvements étaient de plus en plus compliqué. Peter se battait pour une Irlande unie et invitait personnes qui léchaient le cul du Roi à aller en Angleterre et de ne pas rester ici, sous peine de se faire chasser.
Il fut arrêté dans un pub en 2046 et condamné à 30 ans de prisons.

[extrait du Hall of Fame]

ft. Olivier Giroud puis Cristiano Ronaldo

C'est dans le pays de son père que Diniz Nedim découvre le football et se prend de passion pour son sport. Il fait ses premiers pas dans un club de Bodrum (Turquie) avant de poursuivre sa formation au Dinamo Zagreb puis au HNK Split. La suite est un petit peu plus connue du grand public. Le turco-croate entame sa carrière professionnelle à l'âge de 16 ans dans le club du RC Strasbourg qui évolue alors en National. Premiers pas dans le monde du football professionnel et premières déceptions. Très vite le jeune attaquant prouve qu'il a les qualités pour s'imposer et fait briller son équipe de son talent. Malheureusement Diniz Nedim ne réussira pas à remporter le moindre trophée avec le club alsacien et quittera même le club avec pertes et fracas. Un caractère bien trempé, une détermination à toute épreuve mélangée à une très haute opinion de lui même et rapidement le fossé sans creuse dans le vestiaire, ses coéquipiers ne supportant pas son attitude, bien trop sûr de lui. Strasbourg lui aura quand même offert un cadeau, la naissance de son premier fils Celil Ari Nedim. A 17 ans le jeune homme ne semble pas prêt ) prendre ses responsabilités de père et préfère e concentrer sur sa carrière. prochaine étape l'AS Saint-Étienne, club avec lequel arrive les premiers trophées, les premières récompenses d'un talent incroyable. Pourtant encore une fois l'histoire s'achève rapidement et le jeune turc quitte le club avec dans ses bagages son deuxième fils, Leyvon Nedim. Direction l'Italie et la Lazio Rome où le réel potentiel du joueur va vraiment se faire ressentir.

Une présence indispensable dans l'effectif, une dépendance de son coach pour renforcer la machine à gagner qu'est devenue l'équipe depuis son arrivée, des trophées et des récompenses individuelles qui pleuvent sur l'équipe et sur le joueur. Une incroyable carrière qui commence à prendre forme. A ce moment là de sa carrière, Diniz Nedim est devenu plus qu'un footballeur, il est un personnage médiatique, une personnalité controversée mais qui ne laisse pas indifférent. Les marques se l'arrachent et les clubs sont prêts à tout pour l'enrôler mais après 4 saisons passées en Italie c'est finalement l'OGC Nice qui réussit à attirer la star dans ses filets. A cette époque l'OGC Nice est un bon club mais avec un énorme projet, ambitieux, peut être trop pour certains et pourtant le club va réussir son pari fou. De nombreux grands joueurs se succèdent et les efforts payent, des championnats, des coupes d'Europe et une réputation qui se renforce. Après 2 belles années et une victoire en CEC le turc émet le souhait de quitter le club, pour lui c'est le moment où jamais de prendre son envol et d'atteindre les sommets. Manchester United devient alors son nouveau point de chute, Diniz Nedim va éclabousser l'Angleterre de son talent et surtout de ses frasques à répétition enchainant, suspensions, scandales, blessures et buts somptueux de temps à autre il faut l'avouer. Après 4 ans de bons et loyaux services l'attaquant quitte le navire après de nombreux problèmes et atterrit à Newcastle. Un manque d'ambition ? Pas vraiment. Nedim se sert de cette unique saison pour rebondir et rejoint le mythique club du FC Barcelone. Club avec lequel il réussira à remporter de nombreux trophées et agrandir davantage son palmarès même si l'homme est déjà devenu une légende. Encore une fois le turc désormais trentenaire s'en ira avec pertes et fracas rejoindre de nouveau l'Angleterre et le club d'Arsenal avec lequel il terminera sa carrière. Une saison compliquée, éprouvante collectivement mais où il faut le dire les performances individuelles étaient encore au rendez-vous. A 35 ans ce challenge physique et sportif a pourtant bien été relevé par le phénomène Diniz Nedim qui a prouvé que le talent ne se perd pas avec l'âge.

Mais si l'on doit retenir un passage de sa carrière c'est bien son incroyable ascension en équipe nationale. Très jeune Diniz Nedim s'est attiré les louanges de la sélection nationale turque. Une première convocation pour les JO puis un passage chez les U21 avant de s'installer petit à petit chez les A. Des débuts prometteurs qui lui ont permis petit à petit de s'installer comme titulaire indiscutable de cette équipe de Turquie. Un joueur toujours fier de porter le maillot de son pays, amoureux de la Turquie, il n'a jamais laissé éclater ses colères au sein du vestiaire de la sélection, un autre homme. En une dizaine d'année le joueur est devenu une légende, a remporté 11 fois le titre de meilleur joueur turc de l'année, est devenu recordman du nombre de buts en sélection et a fini capitaine d'une sélection qu'il considérait comme sa deuxième famille. Ce parcours Yanis Alves, le père de Diniz Nedim l'avait rêvé lorsqu'il était lui même footballeur professionnel, pour lui son fils l'a fait, en Turquie il est devenu quelqu'un.

"A la fin de la saison 2035/2036 il a fallut faire un choix. La saison avait été compliquée au FC Barcelone, le club commençait à mettre ses cadres sur le marché et pour ma part des différents contractuels m'opposaient aux dirigeants. C'était une période assez difficile dans ma carrière parce que malgré mes performances, mon envie et ma détermination les clubs qui se positionnaient pour entrer en négociations avec mon agent ne proposaient rien de satisfaisant. Dans leurs critères de construction des offres il y avait mon âge et les blessures intervenues durant la saison plutôt que mon palmarès, mon travail et mon talent. J'étais désespéré de trouver un club qui me propose un salaire et un projet correct et cohérent avec mes performances, mon image et ma notoriété. Puis il y a eu des offres intéressantes du Milan AC et d'Arsenal. J'ai beaucoup hésité, ça a été vraiment difficile de prendre une décision, c'était vraiment délicat et puis Caitlinn (Bouchard) m'a téléphoné. Elle venait de s'engager avec Arsenal et a essayé de me convaincre.

Jusqu'au dernier moment le Milan AC a été la meilleure option et finalement les paroles de Caitlinn ont raisonnées dans mon esprit et je suis partis en Angleterre. A peine mon contrat était il signé que je me suis demandé si j'avais fais le bon choix. Je n'étais pas titulaire et le coach n'avait pas l'air de croire en mes capacités. L'un des rares sceptiques ... J'ai travaillé très très dur et finalement le talent a parlé. J'avais passé quelques mois sur le banc, après le mercato hivernal j'étais de nouveau titulaire, c'était une très belle victoire. Cette saison est peut être l'une des pires de ma carrières puisque mes performances individuelles étaient très bonnes mais celle de l'équipe en revanche ... Et aujourd'hui je suis en train de vous annoncer la fin de ma carrière ... (en pleurs)"

ft. Jim Brennan

Né à Toronto en 2004. Andrew Hutchinson, fils unique de parents médecins ne se destinait pas à une carrière de footballeur. Comme tout jeune Canadien, son sport était le hockey ! Il passait d'ailleurs ses journées sur la glace, un bâton dans les mains en se prenant pour ses idoles des Toronto Maple Leafs. À l'âge de 16 ans il fut sélectionné par les Peterborough Petes de la prestigieuse Ontario Hockey League, antichambre de la NHL. Excellent joueur, n'ayant peur de rien et du genre à littéralement verser son sang pour son équipe, Andrew eut la déception de sa vie lorsqu'il fut ignoré par toutes les équipes de la Draft NHL. La raison était simple, un scandale de dopage dans la OHL éclata et le jeune Canadien était impliqué. En échange de ses révélations, on lui promit de biffer son nom du rapport d'enquête. Cependant cela impliquait aussi de devoir raccrocher ses patins. Bon joueur de soccer, sport qu'il pratiquait pour garder la forme durant l'été. Le jeune Torontois fut sélectionné dans l'équipe qui allait représenter l'Ontario dans un tournoi rassemblant les meilleurs jeunes joueurs Canadiens à Vancouver. La formation Ontarienne survola littéralement le tournoi en partie grâce aux passes savantes et aux coups de pied arrêtés tirés par Andrew.

De retour chez lui, plusieurs universités Américaines lui offraient une bourse d'études pour porter leur maillot. Juste au moment ou il allait s'engager au Boston College, un recruteur du RC Strasbourg l'invitait à effectuer un essai avec l'équipe, tout frais payés si'il vous plaît, difficile de refuser. Parti pour une semaine en Alsace, Andrew Hutchinson y'est resté pendant 3 années. Trois saisons incroyables qui lui ont permis de découvrir successivement le National, la Ligue 2 et la Ligue 1. La valeur marchande du jeune joueur a augmenté en flèche et le club alsacien traversait des difficultés financières...

L'Angleterre lui ouvrait ses portes. Transféré à Tottenham, Hutch' n'a jamais joué une seule minute pour les Spurs. Prêté à Swansea, le Canadien fut l'un des piliers de la construction d'une des plus grandes équipes du football Anglais. Membre de l'équipe-type de la Premier League dès sa première saison, il fut transféré définitivement chez les Swans. Les quatres saisons suivantes seront remplies de Championnats, de FA Cups et même d'une Champion's League. Joueur obstiné, refusant catégoriquement de laisser sa place même blessé, Andrew Hutchinson connaîtra une véritable descente aux enfers sur le plan personnel. Déception amoureuse, blessures à répétition, jouant sur infiltrations malgré la douleur, dépendance aux Antidouleurs. Ne pouvant plus jouer dans un championnat physique, le Canadien fut transféré au FC Barcelone avec la tâche ingrate de remplacer dans un avenir rapproché Pepe Joya, capitaine et légende vivante du club. Tâche qu'il acquitta avec succès. Cependant lors de la renégociation de son contrat, les dirigeants du club estimèrent qu'ils pouvaient sous-payer le joueur afin de garder quelques sous pour le transfert d'un joueur Européen...C'était mal connaître Andrew Hutchinson qui préféra plier bagage en Italie, au Milan AC où un accident stupide mettra fin à sa carrière deux ans plus tard.

Passionné de moto et de Rally-Raid. Andrew Hutchinson subit un accident majeur lors d'une course dans le désert Espagnol. Ayant subi plusieurs commotions cérébrales durant sa carrière de hockeyeur et vivant sur du temps emprunté suite à de multiples blessures au genou gauche. Poursuivre sa carrière de sportif devenait trop dangereux. Une chirurgie jamais tentée auparavant pour reconstruire le ménisque de son genou gauche fut tentée mais la rééducation exigeante couplée par une cure de désintoxication rendait tout retour au jeu impossible. Il devint entraîneur du Toronto FC dans la nouvelle Canadian Soccer League. Les partisans du club s'habituèrent à le voir, toujours aussi intense, sur les lignes de côté affublé de sa canne...

Devenu entraîneur du Toronto FC, il put revenir au jeu comme entraîneur-joueur sans jamais véritablement retrouver son niveau. Il passa deux années comme remplaçant de luxe seulement lorsque la situation l'exigeait vraiment, préférant plutôt se concentrer sur son rôle d'entraîneur. Éternel célibataire et profitant très bien de ce statut lorsqu'il était joueur, ceci vint à changer lorsqu'il rencontra finalement LA femme. Après quelques mois de fréquentations, il convola en justes noces avec une employée de bureau du club. Ce mariage amena de grands changements dans la vie de Hutch' non seulement sur le plan sportif mais aussi personnel. Ayant reçu plusieurs offres de clubs Européens, il les refusa toutes pour s'occuper de sa femme et du premier enfant du couple qui allait naître bientôt...Après une année sabbatique, il fit un retour sur le banc de touche, acceptant de devenir Sélectionneur de l'équipe nationale Canadienne des moins de 21 ans. Habitant toujours Toronto, Hutch' est maintenant comblé par ses nouvelles fonctions ainsi que par sa petite famille. Une belle conclusion pour un homme qui est maintenant en paix avec lui-même...

ft. Kaley Cuoco

Paola Llompart est née le 16 mars 2000 à Strasbourg. Sa famille est originaire d'Espagne, mais les parents de Paola se sont installés à Strasbourg après la nomination de Gabriela Llompart au Parlement Européen en 1999. Paola et son grand frère Pablo ont tous deux fait leur scolarité à l'Ecole Internationale, puis au Collège International, et enfin au Lycée International. Ils sont tous deux parfaitement bilingues, ce qui était le souhait de leurs parents. Ils parlent aussi plutôt bien anglais. Une vie parfaite - bisounourstique ? - mais également un physique parfait ! Car Paola avait déjà brisé le coeur de nombreux garçons et savait jouer de ses atouts pour obtenir ce qu'elle voulait, mais elle n'était réellement intéressée que par une chose : le basket. Tous les mardis et jeudis soirs après les cours, elle enfilait ses Air Jordan et allait s'entraîner au club à côté de chez elle. Elle appartenait à l'équipe des moins de 16 ans et jouait en division régionale. Elle avait même fait quelques piges en équipe d'Alsace de sa catégorie d'âge. Des posters de grands joueurs étaient collés sur tous les murs de sa chambre, et sa bibliothèque était pleine de livres sur le basket. Comme la plupart des jeunes filles de son âge, elle tenait un Tumblr, mais celui-ci était entièrement consacré au basket, et pas à Justin Bieber ou n'importe quel autre chevelu. Grande fan de Tony Parker et des San Antonio Spurs, elle avait complètement craqué sur Pau Gasol. Son rêve, bien sûr, était de devenir basketteuse professionnelle, et elle s'entraînait dur pour y parvenir. Mais ça n'en était pas moins une jeune fille fêtarde qui aimait s'amuser.

Sa vie bascula il y a environ un an, à une soirée, à laquelle son frère était également présent, Paola recroisa un de ses ex, Martin. Vers minuit, déjà très imbibé, ce dernier commença à devenir très entreprenant. Paola le repoussa plusieurs fois, mais il continuait à lui tourner autour. Bérangère, une amie de Paola, alla prévenir Pablo de ce qui se passait. Alors que Martin voulait forcer Paola à l'embrasser, Pablo s'interposa et le poussa violemment. Enervé, Martin fonça sur Pablo et les deux garçons commencèrent à se battre. Des personnes essayèrent de les séparer mais Martin en avait tellement après Pablo qu'il ne le lâcha pas. Il réussit à le frapper à la tête et Pablo, déséquilibré, tomba et se cogna violemment la tempe contre une table basse. Prenant conscience de ce qu'il venait de faire, Martin s'enfuit de la fête. Paola vit son frère qui gisait inconscient, et elle commença à le secouer en pleurant hystériquement. Les secours furent appelés et Pablo emmené à l'hôpital.

Depuis cette nuit-là, Pablo est dans le coma. Les parents de Paola ont porté plainte contre Martin qui est désormais en prison. Paola a régulièrement fait des cauchemars et était suivie toutes les semaines par un psychologue. Refusant d'abord de parler et de sortir pendant les jours qui ont suivi l'accident, Paola a petit à petit repris une vie normale, retournant en cours et reprenant ses entraînements de basket. Elle se donnait même encore plus à l'entraînement, voulant aller au bout de ses rêves, pour elle et pour son frère. Cela devait finir par payer. Et les hommes aussi payeraient...

Carrière honorable, Paola a évolué d'abord en Europe, à Amsterdam, à Porto puis à Francfort avant de rejoindre la NBA, plusieurs belles saisons aux Charlotte Hornetts auréolés d'un titre de champion NBA à l'aube de ses 31 ans.

Mais c'est surtout d'un point de vue vie privée que la belle blonde a fait parler d'elle. Formant d'abord un couple populaire avec Rick Herak, également basketteur, elle a également été liée à Yelena pendant très longtemps, souvent de connivence lors de partenariats et ferventes défenseuse de la cause des femmes, elle a notamment initiée plusieurs plaintes contre des propos machistes ou déplacés de certains hommes, Jay Miller en a notamment fait les frais.

Paola aura également connue une brève idylle avec la superstar Klinton Modrigäo.

ft. Alex Morgan puis Bridgit Medler

Camille Samentha Atrecht est une fille née le 10 Juin 2006 à Amsterdam. Elle est la fille d'un homme Hollandais-Américain et d'une femme hollandaise. Son père était Américain jusqu'à ce qu'il aille vivre aux Pays-Bas pour aller avec sa femme et acquit la double nationalité. Il adorait le football et sa femme aussi. C'est pour cela que Camille était si passionnée de football. Elle avait deux frères qui étaient partis à l'étranger pour faire leurs études. Ils se nommaient Max et Mark. Ils sont partis faire des études de droits pour faire tous les deux le métier d'avocat. Mais Camille avait un caractère particulier, elle n'aimait pas que les autres sous-estiment leurs capacités. En gros, elle n'aimait pas que les gens disent que quelqu'un d'autre soit plus forte qu'eux au foot ou dans un autre domaine. Mais elle était très amicale et très douce. Mais sur le terrain il n'y a pas d'ami. Pour elle, elles étaient toutes rivales. Elle jouait dans l'équipe de football de son Lycée qui s'appelait la SkyTeam Sporting Club (SkyTeam SC). La SkyTeam avait un maillot de couleur blanche et avait une longue rayure rouge qui se voyait nettement. Cette équipe était pratiquement imbattable avec des championnes de talents. Camille portait le numéro 2 ou le numéro 3. Elle jouait en tant que défenseuse latéral droit. Comme elle était Ambidextre, souvent, elle montait vers l'attaque, rentrait avec son pied gauche et marquait des buts. C'est pour cela que c'était l'une des meilleures joueuses de l'équipe. Sur le terrain, elle ne blaguait pas et jouait très agressivement. Malgré que sa meilleure amie, Ashley, qui étaient dans son équipe et jouait au poste d'attaquante.

Elle était très proche d'elle et l'aimait comme si c'était sa soeur. Ses parents venaient voir tous ses matchs avec la SkyTeam. Souvent, des recruteurs du pays ou même de l'étranger venait assister à leurs matchs. Puis, au fur et à mesure du temps, les joueuses de l'équipe partaient une par une dans des clubs professionnels sauf Camille qui restait à la SkyTeam, car elle trouvait qu'il lui restait encore beaucoup à apprendre dans le domaine du football. Elle s'entraînait dur et se perfectionnait en frappe, en vitesse, physiquement et techniquement. Puis, elle se dit que c'était bon, elle pouvait partir.

EVIAN THONON GAILLARD FC
Joueuse au club de 2023 à 2025, sans avoir disputé un seul match avec le club. Repérée en 2023, prêtée deux saisons. La première au Red Star 93, dans laquelle elle remporte le championnat de National (2023-2024) et le titre de meilleure défenseuse de la saison, puis la seconde à l'ES Troyes AC.

GETAFE CF
Joueuse au club de 2025 à 2027, après un transfert d'environ 450k€. Après avoir jouée pratiquement les deux saisons dans leur intégralité, elle remporte la Copa del Rey 2025-2026. Mais, doit quitter le club la saison suivante à la suite d'une relégation.

LE MANS FC
Joueuse au club de 2027 à janvier 2029. Durant cette saison et demi, elle se battait pour éviter une relégation avec son partenaire Kadeg le Moal. Elle était l'une des joueuses cadres de l'équipe, et était un élément clé de l'équipe.

TOTTENHAM HOTSPUR
Joueuse au club de janvier 2029 à 2031. Son adaptation en Premier League fut difficile au début, sachant qu'elle n'était pas titulaire. Elle faisait quand même des gros matchs, mais le coach n'aura jamais voulu d'elle dans son onze... Cependant elle a quand même disputé la finale de la FA Cup 2029-2030, qu'elle aura perdu par la suite.

MANCHESTER CITY
Joueuse au club de 2031 à 2034. Premier bon club à lui faire confiance, à lui donner sa chance en tant que titulaire. Nommée dans l'équipe type de la Premier League lors de sa première et de sa dernière saison, elle fut l'une des cadres de l'équipe où elle a brillée. Elle finira vice-championne de la Barclays Premier League lors de sa dernière saison, laissant le titre à Newcastle.

REAL MADRID
Joueuse au club de 2034 à 2036. Premier grand club dans lequel Camille a évoluée. Elle fut nommée dans l'équipe type du championne une fois, et finira deux fois vice-championne de SupraLiga. Elle remporta la Ligue des Champions 2036, match dans lequel elle sera exclue à la 82ème minute. Elle évoluera ensuite sous les ordres de Klinton Modrigäo lorsqu'il reprend le club, d'abord titularisé dans l'axe, elle fera une sévère concurrence à Debra Van Wijk à la fois pour une place au Real mais aussi pour gagner le cœur de son coach avec qui elle flirtera quelques temps.

La joueuse a également toujours été proche de Yelena avec qui elle partageait des valeurs pour un football bien plus équitable envers la gente féminine.

Barrack Houda (ft. Teddy Riner) marquera le football de son empreinte, surnommé la "Chatte noire" par son coéquipier de sélection Klinton Modrigäo, l'imposant attaquant Albanais parcourra l'ensemble de l'Europe traînant son corps d'athlète de Valenciennes au Real Madrid en passant par le Paris Saint-Germain, mais c'est surtout à Liverpool chez les Reds que l'attaquant au physique hors normes s'imposa comme une véritable star du ballon rond. Multipliant les buts, il formera avec Andrea Abatucci l'une des plus redoutables paire d'attaquant européen. Mais l'attaque ne le satisfaisait pas, il exigera rapidement de redescendre plus bas sur le terrain pour venir créer le jeu au centre du milieu.

En sélection son parcours fût plus délicat, auteur d'un EURO assez mitigé lors de la victoire inespérée de l'Albanie en 2020, il restera un joueur barré par les stars Klinton Modrigäo et Viktor Volka et son seul véritable fait d'arme en sélection sera de détenir le record du nombre de buts inscrits sous le maillot albanais.

Il se murmura toujours qu'il ne digéra jamais son départ de Liverpool, une saison au Real puis un arrêt brutal à 27 ans, dans le plus bel age pour celui qui n'avait pas encore montré au monde l'ensemble de son talent. Surement lié à des histoires louches il fut retrouvé mort un soir à son domicile avec son fils, la thèse de assassinat fut évoqué mais le coupable jamais retrouvé.

[extrait du Hall of Fame]

C’est sous pavillon britannique que l’histoire du jeune William Ulvsen commence. Pourquoi « sous pavillon » ? Simplement car William est né en pleine mer Méditerranée sur un navire de recherche du centre d’archéologie marine de l’Université d’Oxford.

Ses parents, tous deux diplômés de la célèbre université britannique en archéologie pour son père et en histoire pour sa mère, sont des chercheurs de reliques anciennes. Ils vagabondent ainsi à travers le monde dans l’espoir de trouver le sujet de leur recherche, que ce soit de vieux galions espagnols, des pièces de monnaie datant de l’Antiquité romaine ou encore de vieux sarcophages de momies égyptiennes.

Et c’est pour cela que William naquit sur ce navire. Sa mère n’ayant pas voulu rester seule pendant que son père vagabondait sur les mers à la recherche de fabuleux trésors.

Les années passèrent et William grandit sur la terre de ses ancêtres paternels : le Danemark. Ses parents s’étaient fait muter à l’Université du Sud-Danemark et n’entretenaient désormais plus que des liens assez lointains avec l’Université d’Oxford. Ils avaient fondé leur propre association, à savoir l’Université d’Archéologie Internationale (UAI). Elle regroupait d’éminents professeurs et étaient surtout dédiée à la recherche avec des moyens assez colossaux transmis généreusement par de grands mécènes comme disait toujours son père.

La jeunesse de William se passa donc entre Copenhague et le navire de UAI. Et c’est là qu’il découvrit le football vers l’âge de 7 ans. Un des marins, un écossais, fan absolu du club de Hearts, avait réussi à lui transmettre sa passion. William s’entraînait alors sur le navire, ce qui lui demandait une certaine dextérité pour que le ballon ne tombe pas à la mer. Quand il remettait pied à terre, il jouait dans une petite équipe amateure de la capitale danoise où il faisait ses gammes.

Quelques années plus tard, les parents de William revinrent sur la terre natale de sa mère : l’Angleterre. Ils avaient décidé de revenir en tant que professeur à l’Université d’Oxford, fort d’une réputation grandissante du fait des découvertes archéologiques qu’ils faisaient. William se sentit tout de suite à l’aise en Angleterre et son père comme cadeau de remerciement pour avoir accepté si facilement le déménagement l’emmena voir un match d’Arsenal qui deviendra à jamais son équipe préférée.

Après 17 ans de carrière, William Ulvsen a décidé de mettre un terme à cette dernière. Il a bouclé la boucle en revenant faire ses dernières années dans son club de cœur d’Arsenal, là où il a été formé. Hésitant entre plusieurs carrières pour sa reconversion, il décide finalement de devenir entraîneur principal d’un club professionnel et commence sa carrière aux Glasgow Rangers. Fortement engagé pour l’environnement, il poursuit sa lutte pour le sauvetage des animaux de cette planète, un combat qu’il mènera certainement toute sa vie.

[extrait du Hall of Fame]

Juliano Lotina (ft Thierry Henry) était avant centre, le parfait avant-centre belge, longiligne, prolifique, il a pendant de nombreuses années martyrisés les défenses d'Europe et était considéré comme l'un des plus grands avants centre de la planète. D'un naturel calme et discret, il s'est surtout fait remarqué par ses performances et sa sympathie. Sa fin de carrière a tout de même été entaché par un sale système de blessure qui l'a mis sur la touche presque deux années de suite. A ses côtés, un autre belge, un milieu défensif, Tom Plusoif (ft. Vincent Kompany), véritable bagarreur et pourvoyeur de ballon, personnage atypique, il était le milieu par qui tout passait, véritable roc, il a été un des premiers Players a côtoyé un grand club, le FC Barcelone. Cette paire, a dominé la Belgique, cette équipe Belge des années 2000 qui a fait rêvé plus d'une génération de Players mais qui, malheureusement, n'a jamais remporté de titre.

DEBUTS :
Bonjour, vous allez bien ? Moi c'est Lucy Quinn Williams mais appelez moi juste Quinn je préfère. Je suis née d'un père Américain et d'une mère Suisse/Espagnole le 30 Avril 2007 dans un hôpital de Savannah dans l'état de Géorgie. Je suis née prématurément car sinon j'aurais dû sortir du ventre de ma mère à Los Angeles en Californie mais j'ai décidée de montrée le bout de mon nez plus rapidement que prévue ! Du coup je suis la seule de la famille à être née en dehors de la Californie. Non je n'ai pas de frère, ni de sœur pour le moment mais qui sait un jour cela viendra peut-être ? Quand je dis le restant de la famille je parle de mes cousins et cousines qui sont tous nés dans la plus belle ville du monde, Los Angeles ! Tiens d'ailleurs vous savez quoi ? Mon cousin est footballeur professionnel et joue à Newcastle. Vous avez devinez de qui il s'agit ? Non ? Tant pis vous le saurez peut-être un jour !

Durant toute mon enfance et même mon adolescence j'ai été passionnée par le football, comment ? Grâce à mon cousin avec qui je jouais souvent quand j'étais petite mais aussi grâce à mon père qui était lui-même footballeur il y a quelques années. Il à préférer à arrêter sa carrière pour s'occuper de sa merveilleuse petite fille, ce n'est pas choux dîtes-moi ? Depuis mon plus jeune âge je suis une emmerdeuse, une petite peste et je ne changerais pour rien au monde car c'est grâce à cela que je suis devenue si exceptionnelle ! J'excellais dans tout ce que j'entreprenais c'est à dire à l'école, au football mais aussi dans le cheerleading puisque j'ai été également Cheerleaders de mon école, la capitaine des Cheerleaders même. Mais arriver à un moment je me devais de faire un choix de carrière, un choix qui déterminera ce que je ferais de toute ma vie et c'est ce que j'ai fais en choisissant le football.

J'ai donc abandonnée le Cheerleading afin de me concentrée à 100% sur le football et donc à mon talent d'attaquante car oui j'étais vraiment talentueuse ! A tel point que les Los Angeles Galaxy m'ont prit dans leur Academy à l'âge de 13 ans. Pendant trois ans je restais au sein de cette académie, me perfectionnant au maximum et à l'âge de mes seize ans je devais donc faire un choix. Intégrée l'équipe pro des Los Angeles Galaxy ou quittée l'Academy afin de rejoindre l'Europe et avoir une meilleure vue sur le football ? Mon choix fût très vite fait ! Si je veux devenir ballon d'or il faut obligatoirement que je m'impose en Europe ! En cette période de Coupe du Monde 2022, me voici donc en vol pour la France, pays dans lequel plusieurs clubs se sont intéresser à mon profil. Retenez bien mon nom car d'ici quelques années vous l'entendrez partout dans les médias, je suis la future meilleure joueuse du monde, je deviendrais la première femme à obtenir le ballon d'or !

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Pour ses débuts, Lucy rejoint le club du Red Star, après un très bon départ, elle rejoint rapidement le grand club du Milan AC, elle démarre alors une histoire d'amour avec Dominik Oliveira, lui aussi, buteur prolifique, puis avec Diniz Nedim. Elle rejoint ensuite Manchester United, pour devenir l'une des stars du football européen. Elle rejoindra ensuite l'ambitieux club du FC Metz qui a cassé son budget pour en faire sa star.

En dehors du football, elle brillera notamment par une carrière auprès de nombreux sponsors, enchainant les podiums et les défilés, elle marquera son temps de son emprunte en devenant notamment l'une des premières mega star américaine du football.

Ashton Skywalker est né le 13 Mai 1989 à Santa-Monica en Californie. C'est au pays de l'oncle Sam que le petit Ashton fit ses premiers pas dans le monde du football, à tout juste 3 ans, poussé par un père fervent fan de football et des frères amateurs du "soccer". Après être passé par les petites équipes locales et l'équipe de la Burbank High School, Ashton s'envole pour la France et plus précisément pour l'OGC Nice, ou il devait initialement rejoindre le centre de formation avant de finalement débuter en pro et même se payer le luxe de finir meilleur buteur de National pour sa première saison. Après une première saison couronné d'une promotion en Ligue 2, les aiglons semblent invincible. Ils ratent la promotion en Ligue 1 pour un petit point, avant de finir par chuter. Conscient de la valeur du jeune américain, les niçois décident de céder Ashton à Twente, afin de prévoir les pertes financières de fin de saison, ou le club finira par redescendre en National.

Nouveau pays et nouveau club pour Ashton, s'acclimatera assez difficilement au championnat du Benelux, championnat formé des meilleurs équipe Hollandaises, Belges et Luxembourgeoise. Malgré une qualification pour l'Europa League dès sa première saison, Ashton peinera à trouver le chemin des filets. En deux saisons, le bilan restera plutôt mitigé pour Ashton, malgré des résultats plus que correct pour une modeste équipe comme Twente. A l'aube de la troisième saison, un scandale éclate en Benelux : les 3 championnats souhaitant se séparer pour ne reformer qu'un seul championnat par pays. Face aux pertes de statut pro des clubs, les joueurs se voient contraint de quitter les diverses équipes. Alors annoncé à l'Atletico Madrid et au PSG, Ashton signe finalement à Newcastle.

Les saisons d'Ashton à Newcastle furent somptueuses. Avec la complicité de celui qu'il considéré comme son frère, Enzo Falcko, ils firent trembler les filets de tout les stades anglais mais aussi des stades européens, bien aidé par le gardien Diego Larcia et du défenseur Jovan Letic. Durant cette période, Newcastle, qui frôlait la relégation pendant plusieurs années terminera double champion d'Angleterre, double vainqueurs de FA Cup et double vainqueurs de Community Shield. Durant cette période, Ashton eu la possibilité de quitter le club à de nombreuses reprise, pour rejoindre l'AS Rome, la Juventus, le Bayern Munich, Dortmund et Everton. Mais le club aura toujours du mal à briller au niveau européen, malgré une demi finale d'Europa League, perdu contre le CSKA Moscou.

Après plusieurs tentatives du Bayern Munich pour l’enrôlé, Ashton finira par rejoindre le club bavarois en 2024, club ou il réalisera ses plus belles carrière, entrant par la même occasion dans la légende du club. En 5 saisons, Ashton arrivera à inscrire un total faramineux de 90 buts en seulement 96 matchs, tout en faisant 16 passes décisives, faisant de lui uns des meilleurs joueurs de l'histoire du championnat allemand. Il connaitra également le succès avec son équipe, en remportant 2 championnats, diverses coupes. Mais un seul trophée échappera à Ashton et cela malgré une finale perdu aux tirs aux buts contre Manchester United : La Ligue des Champions. Ce sera le seul regret de l'américain dans sa carrière. A l'aube de sa sixième saison en Allemagne, et après avoir refusé durant tout son séjour des offres venant des meilleurs clubs européens dont Manchester City, FC Barcelone à deux reprises, de Swansea, du Milan AC, d'un retour à Newcastle, du PSG ou encore de l'Olympique de Marseille, Ashton décidera de rester fidèle à son équipe de cœur, le Bayern, ou il se voyait déjà finir sa carrière.

Niveau sélection internationale, les résultats furent légèrement moins époustouflant pour Ashton. Après des débuts sous le maillot olympique, les stats d'Ash furent plutôt mitigé. Son seul fait d'arme, fut d'avoir été suspendu pour avoir célébré la qualification en finale en embrassant celle qui deviendra par la suite sa compagne pendant quasiment deux années, Alex Morgan. Un carton jaune sorti par un arbitre ayant très certainement été choqué de voir ce "geste", qui fera la une de tout les journaux sportif du monde entier. Les Jeux se concluront par médaille d'argent après une défaite en finale contre le Nigéria.
Après des débuts très compliqués avec l'équipe A, passant derrière Freddy Adu, Jozy Altidore et Alex Morgan dans la hiérarchie, et évoluant très souvent à des postes ne lui correspondant pas, il devra attendre la retraite des deux premiers pour prendre place définitivement à la tête de l'équipe, au côté d'Alex Morgan, puis de Bobby Bobb et enfin de Lucy Williams, sa cousine mais aussi la seconde idôle américaine.
Malgré des Coupe du Monde compliqué, le dernier fait d'arme d'Ashton, promus capitaine de l'équipe, fut une victoire en Gold Cup, au terme d'une compétition exceptionnelle qui verra les Etats-Unis s'imposé contre Trinidad & Tobago, grâce à un but d'Ash à la dernière seconde du match.

Côté vie privée, Ashton fut relativement secret. Il faudra surtout compter sur diverses photos sur les comptes instagram de ses soeurs pour connaitre un peu plus sur les relations d'Ashton. En couple pendant avec Selina Wagner, joueuse de Wolfsburg pendant son séjour à Twente, avec qui il aura été fiancé quelques mois, il fut ensuite en couple avec Alex Morgan durant son séjour à Newcastle. A cette époque, Alex Morgan évoluait sous les couleurs de Sunderland, le rival historique de Newcastle, ce qui provoqua de nombreux scandales parmi les supporters, et surtout pour ceux de Sunderland, qui accusèrent Ashton de saboter Sunderland à distance. Pour beaucoup, ce fut également le déclencheur du déclin d'Alex Morgan, qui devint progressivement une joueuse faible. Le point d'orgue de cette "guerre" se termina avec le match du titre de Newcastle, ou Alex, présente en tribune, portait le maillot des magpies floqué au nom de Skywalker. Elle fut licencier par son club et rentra aux USA avant de se séparer d'Ashton à cause de la distance.
Il fut par la suite fiancé avec l'actrice-chanteuse américaine Emily Osment, avec qui il aura son premeir enfant. Il aura également un enfant avec la gymnaste Mckayla Maroney, enfant qu'Ashton apprendra qu'il était le père quasiment 10 ans après, à la surprise générale, dont celle de la mère. Il fut également fiancé à la chanteuse anglaise Cheryl Cole, qui perdra son enfant au début de sa grossesse. Sa dernière conquête, la chanteuse Victoria Justice, qui deviendra par la suite Madame Skywalker sera la mère de ses 4 enfants.

Tout en restant réaliste sur les chances des USA quant à une victoire en Coupe du Monde, le dernier véritable objectif d'Ashton fut de remporter une Coupe d'Europe avec son club du Bayern et de ne pourquoi pas, réussir à se placer sur le podium du Ballon d'or, ou il n'aura jamais fait mieux que 5eme.

Mais ce rêve prit fin prématurément. A l’issue d'un match amical durant une tournée australienne de pré-saison, prit de douleur sur le terrain, il fut prit de vomissement avant de saigner du nez et de faire un malaise. Alors que les médecins pensaient qu'il s'agissait d'une grosse fatigue ou d'un mauvais choc, le résultat fut totalement différent : Ashton était atteint d'une leucémie, synonyme de fin de carrière. Alité pendant deux années, à alterner entre les séjours en hôpital pour faire des chimiothérapies, et les séjours à domicile à ne pas pouvoir quitter sa chambre, l'ancienne gloire américaine n'était plus que l'ombre de lui même. Ne pesant plus que 45 kg, ayant perdu la quasi totalité de sa masse musculaire, s'était un calvaire pour lui de se déplacer voir même de tout simplement rester debout. Alors que l'on pensait qu'il terminerait par mourir, il put obtenir une greffe, qui put progressivement le soigner. Un an après, Ashton était considéré comme en rémission totale. Il était passé prêt de la mort.

Malgré ses 33 ans, sa carrière sportive était déjà terminée. Après avoir faire une partie de sa rééducation à Munich dans les installations sportives du club, il tentera même de reprendre progressivement le football avec l'équipe réserve, mais son organisme n'arrivait plus à suivre. Avec une absence de force, de souffle et sa perte d'endurance, il lui était impossible de tenir plus de 20 minutes dans un match. Il participa à son dernier match "professionnel" lors d'un match jubilé entre le Bayern de Munich et une composition d'équipes des amis d'Ashton.

En collaboration avec le Bayern Munich, il entama les démarches pour obtenir ses diplômes d'entraineur. Après avoir fait ses classes avec les u17 et u19, il fut l'adjoint de Franck Lampard avec l'équipe A jusqu'à la retraite de ce dernier, et prit la relève de l'anglais pendant quasiment 10 saisons. Après avoir cette fois-ci connus la joie de remporter une Ligue des Champions et même une Europa League, en temps qu'entraineur, Ashton quitta définitivement l'Europe pour rentrer au bercail, avec comme dernier rêve, celui de coacher les Los Angeles Galaxy, le club de son enfance.

Fils d'un portugais et d'une suissesse, c'est à Gibraltar que la vie de Dominik Oliveira (ft. Miguel Veloso puis David Beckham) a débuté. Ce n'est qu'à l'âge de 5 ans qu'il a rejoint son pays natal qu'est le Portugal. Très vite, son père l'a inscrit au centre de formation du grand Sporting Clube de Portugal, en compagnie de sa soeur jumelle. Il y a passera 10 ans avant qu'on lui fasse comprendre qu'il n'aurait pas sa place au sein de l'équipe B du club. Il prit alors la décision de quitter son club de coeur pour signer en 3e division française, au Red Star 93. Malheureusement cette première expérience professionnelle ne va pas être une grande réussite, et c'est alors que la saison d'après, il signe dans le sud, du côté de l'AS Monaco où il va se montrer et de la meilleure des façons. Même si le collectif ne suivait pas, sa première saison monégasque a été un franc succès qui lui ont permis de signer un contrat avec la légendaire équipe de la Fiorentina en Serie A.

Mais ce n'est que deux ans plus tard, qu'il a finalement pu jouer sous le maillot de la Viola, après une saison en prêt du côté de Monaco. Et là encore, profitant de la confiance de Vincenzo Montella, le portugais a brillé en finissant meilleur buteur de Serie A, alors qu'il jouait en tant que remplaçant, un fait qui n'a plus été refait en Italie. Mais, malgré une finale de Coupe d'Europe des Clubs contre Liverpool en 2024, son passage de 4 ans en Toscane s'est terminé sans aucun titre remporté. C'est grâce à ses performances florentines, qu'il a été appelé en équipe nationale pour jouer les Jeux Olympiques 2024 Puis c'est l'Allemagne et Dortmund qui lui ont ouvert ses portes. Jouer toutes les semaines devant les plus de 80 mille spectateurs du Westfalenstadion était quelque chose d'incroyable, mais deux ans après être arrivé dans la Ruhr, l'envie de se rapprocher de sa famille était énorme et quand une offre du FC Barcelone est arrivé sur le bureau de Jorge Mendes, son agent, il n'a pas beaucoup hésité.

C'est avec les Blaugrana qu'il a remporté son premier titre de champion national.. mais ce qu'on a retenu de Dominik à Barcelone, c'est plus son départ du club. À l'été 2029, il se brouille avec les dirigeants barcelonais qui ont refusé d'accéder à ses demandes salariales et c'est alors qu'il va prendre une décision qui va marquer l'été espagnol de cette année-là. Il s'envole pour Madrid et signe avec le grand rival, le Real Madrid, à l'image de ce qu'avait fait Luis Figo, 30 ans plus tôt. Autant dire que depuis ce transfert, Dominik n'a jamais regagné le respect des supporters de Barcelone, mais il a affirmé que son choix de quitter Barcelone pour Madrid a été la meilleure décision qu'il ait prise, car c'est à Madrid que sa carrière va prendre un autre tournant, avec de nombreux titres remportés (dont 1 titre de SupraLiga, 1 Coupe du Roi et 2 Champions League), entre autres. Sans oublier, son couple médiatique avec la chanteuse, Sabrina Calderón, qu'il a rencontré à Madrid.

En été 2036, après 7 saisons dans la Casa Blanca, Dominik décide de quitter le club en honorant jusqu'au bout son dernier contrat à au Real Madrid. Il finira par réaliser son rêve en bouclant la boucle en signant au Sporting, alors en 2. SupraLiga. À 35 ans, il revit et réussi à emmener son Sporting en SupraLiga, au bout de 2 saisons. À 38 ans, il fait une dernière saison au haut niveau, puis prend sa retraite à l'été 2040. Il continuera à travailler pour le club, tout d'abord comme recruteur puis entraîneur des u18. Il réchaussera les crampons en 2044, à 42 ans, en jouant dans le club gibraltarien du Manchester 62 F.C., qui l'a honoré en le nommant président d'honneur du club et avec qui, il va gagner son dernier titre de la carrière. Il retrouvera les bancs de touche en devenant l'entraîneur principal du Sporting CP, en 2048. Dans sa vie privée, son couple avec Sabrina est resté plus que solide, malgré les nombreuses rumeurs de rupture. Il aura deux enfants de plus avec elle, Roberto né en 2039 et Vanessa, née en 2044.


[extrait du Hall of Fame]

La vie de Corn pourrait inspirer de nombreux réalisateurs d'Hollywood, mais pourtant son histoire est bien réelle. Le petit Corn est le premier d'une famille de sept enfants. Sa mère Lynda, est laissé par son mari quand Corn a 2 ans. Sa mère occupa trois emplois pour pouvoir subvenir aux besoins de sa petite tribu. Heureusement pour elle, dès son plus jeune âge, Corn est un garçon responsable, très gentil et bien éduqué. Il aide sa mère dans toutes les taches. La ville de Compton est connue pour son taux de criminalité élevé et sa mauvaise réputation et c'est pour cela que sa mère lui impose un emploi du temps très stricte. En effet, la drogue a envahi la rue, et le plus simple pour subvenir aux besoins d'une famille était d'en vendre. Corn y avait pensé quand il avait la douzaine, mais a préféré vendre du pop corn dans de grandes manifestations comme le font de nombreux gamins de son age. C'est à ce moment là qu'il découvre le basket et les joies des matchs du soir en NBA. A partir de ce moment, il commenca à aller sur des playgrounds pour y affronter des joueurs du quartier. C'est également à partir de ce moment que Corn sombra dans le côté sombre de la vie. Il commenca à vendre de la drogue en profitant de sa mère qui lui laissa beaucoup plus de liberté tout en faisant les taches qu'elle lui demandait. C'est également, que le petit Corn commence à devenir un méchant et un adepte du trash-talking. Sa mère ne voyait pas son fils sombré jusqu'au jour où la police a arrêté son fils pour bagarre entre bandes. C'est durant son petit séjour en prison que Corn fait connaissance d'un homme, John Joyston. Un chef de police, ancien de l'US Navy, qui a eu une petite carrière universitaire au basket. Il le prendra sous son aile, malgré son caractère de plus en plus négatif. Il lui appris la base du basket en salle. Et le proposa à plusieurs High School pour y developper son basket. Il se retrouve à 14 ans au Lawrence North High School, dans le même lycée où il cotoyera Greg Oden ainsi que son mentor John Joyston. Ce choix a été fait pour que Corn soit éloigné de sa famille et de ses néfastes amis. En 2008, il rentre au Wake Forest University et dans l'équipe des Demon Deacons. Au terme d'une saison rookie à 2,2 points par match et 3,1 passes en 11 minutes de jeu par match, il décide de tenter sa chance en France, sous les conseils de John Joyston qui est également passé par la France, pour avoir un temps de jeu plus conséquent....

Corn a ensuite été à Chalons-Reims puis aux London Lions pour lancer sa carrière dans le Basket. Drafté par l'Atlanta, il est immédiatement cédé aux Nets lors d'un trade à plusieurs joueurs. Malgré un départ canon, rapidement il marque le pas, OKC Tunder saisi l'opportunité et le recrute. Il s'implique de plus en plus au sein de la franchise malgré un franc parler qui lui vaux quelques suspensions et problèmes extra-sportifs. Puis, sans titre NBA mais avec un bagage incroyable, il rejoint à nouveau les London Lions avec ses deux compères Thomas et Jay Miller pour finir sa carrière en Europe.

Joueur de génie mais souvent incompris, trashtalkeur qui n'a jamais eu sa langue dans sa poche, Corn a été un des basketteurs les plus mythiques de Players.

Ils étaient nombreux à vivre à travers les quelques années qu'à durer le Royaume Doré : Sigias, Karden, Bro, Nolan, Meyras, Cirdan ou encore Kon. La plupart ont lus leurs aventures, leurs histoires, leurs relations sexuelles avec des arbres ou des horribles sorcières.

Ils ont gravis une à une les étapes, les histoires, combattus des monstres, des bandits, diriger des fiefs ou mourut lors du naufrage d'un bateau. Le tout était lié par des MJ impliqués, qui ont proposés des histoires hors du commun. Ils ont marqués leur histoire et montrer qu'un univers aventure orienté vers un monde RPG inspiré de Donjon et Dragon était possible sur Players.

Des tranches de rigolades, des moments épiques, des histoires bien sombres, bien glauques, une aventure qui s'est terminée mais qui laisse d'impérissables souvenirs aux participants et aux lecteurs.

"Nikholas Santos JR est une personne simple et calme, il n'a pas peur de travailler pour réussir, un vrai bosseur. Il est respectueux envers les autres.
Pour lui, les supporters sont, importants, sans eux rien n'a vraiment de saveur dans le football, il prend énormément de plaisir avec le ballon.
Il a un caractère de battant sur la pelouse, il ne lâche rien."

Ces quelques lignes résument parfaitement qui était Nikholas Santos Jr.

Formé au Bayern Munich avant des transferts successifs à Lens, Hearts, Caen puis enfin Arsenal, où le jeune attaquant explose dans une équipe pourtant moribonde. Un prêt à Lyon puis un transfert au Milan AC, le club de sa vie, de sa carrière. Au Milan, il ne gagnera rien, le club loupant toujours la dernière marche, éternel looser, souvent incompris, il trainera son spleen sur les terrains de San Siro et d'ailleurs avant de finalement quitter le navire à la dérive pour aller glaner quelques titres à l'OM. 4 ans à l'OM, le temps de garnir son armoire à trophée avant de retourner au Milan AC pour un ultime frisson.

International Français, il restera de nombreuses années titulaires malgré la concurrence de Fleur de Grace et de Kylian Mbappé. Il remportera notamment l'Euro 2028 avec les bleus.

Mais outre sa carrière, Nikholas a toujours été connu pour son tempérament, véritable joueur de caractère, il a combattu corps et âmes pour ses convictions, quite à parfois prendre des décisions qui ont freinés sa progression.

Malgré tout, on garde un immense souvenir de ce joueur, tantôt victime, tantôt héros mais toujours attachant.

Enrico Lopez est un ancien footballeur espagnol né à Barcelone le 1er aout 1994. Il évoluait au poste de milieu offensif.

Enrico Lopez a grandi dans les quartiers nord de Barcelone, plus précisément à Nou Barris, Enrico Lopez intègre le centre de formation de la Masia à l’âge de 13 ans. Il rejoint Amiens en 2013, ou il se fait remarquer en étant parmi le onze type du championnat. Il rejoint Lens en 2016, expérience délicate et de courte durée, un retour au pays était nécessaire, il rejoindra Majorque en 2017, puis Twente en 2018. Enrico Lopez traversera une période noire entre 2019 et 2020. Enrico Lopez signe un retour fracassant en 2020 avec le FC Lorient, club qui a révélé son réel talent, notamment en Champion’s League. Il rejoindra Nice en 2022 et Katrina Marquet, qu’il quittera avec des regrets en 2024 pour l’OM, ou il fera une superbe saison en 2025-2026. Enrico Lopez terminera sa carrière après une signature à Arsenal et une saison difficile et éprouvante mentalement.

Masia (2007-2010) :

Enrico Lopez se fait remarquer lors d’un match entre amis dans les quartiers nord de Barcelone, le représentant de Barcelone lui propose alors de passer un test. Quelques jours après le repérage, Enrico Lopez rejoint le célèbre centre de formation du club de Barcelone, La Masia, pour y passer un test, qui s’avèrera concluant ! Le jeune espagnol est alors chouchouté et protégé, car certains le comparent déjà à un célèbre joueur de Barcelone, Xavi, certains osent dire qu’il lui sera supérieur. Mais une terrible blessure viendra stopper net l’évolution du joueur au sein de la Masia, Enrico Lopez ne s’en remettra jamais et décide de ne plus jamais jouer au football…

Amiens (2013-2016) :

Bien qu’inespéré, le club d’Amiens alors en National décide de miser sur Enrico Lopez alors âgé de 19 ans. Après de longues négociations rondement menées par son agent de l’époque, Kevin Marquet, le jeune espagnol rejoint le club Picard, avec une étiquette de prodige perdu. Bien que difficile, le joueur se remet au niveau petit à petit notamment physique, ou il prendra plus de 10Kg, lors de la première année. Il finira dans l’équipe type du championnat, les espoirs placés en lui semblent se confirmer. Il confirmera l’année suivante en Ligue 2 d’un point de vue personnel, ou il sera nommé dans l’équipe type de Ligue 2 et deuxième meilleur joueur du championnat.Malheureusement, Enrico Lopez et son club son relégué en National et ce malgré les performances de l’espagnol, une situation dure à vivre, le divorce est consommé !

RC Lens (2016-2017) :

Un autre club semble vouloir miser sur l’éternel espoir espagnol, mais cela se terminera aussi vite que cela à commencer. Le joueur espagnol ne semble pas se plaire à Lens et les ambitions du club sont trop faibles pour qu’il espère un jour jouer au plus haut niveau.

Majorque (2017-2018) :

Retour au pays pour Enrico Lopez, le joueur souhaite s’exposer et percer dans son pays, mais l’équipe ne suivra jamais la cadence et finira par être reléguée en Segunda Division. Un échec cuisant pour un pari risqué. « Cela aura été une grosse erreur, j’ai peut-être pensé un peu trop à moi et pas assez aux capacités sportives du club. »

Twente (2018-2019) :

Encore un club pour Enrico Lopez, l’étiquette de mercenaire commence à lui coller à la peau, incapable de se stabiliser, il finira une fois de plus par quitter un club ou ses prestations n’auront pas été à la hauteur des espérances placées en lui.

L’affaire Silvio (2015-2016) :

Silvio est un chef des chefs de la Mafia espagnole, il est originaire de Pontevedra, ville qui serait contrôlée en partie par Enrico Lopez depuis l’incarcération du chef mafieux. Jamais une telle affaire n’aura été aussi intense dans le monde du football et c’est avec les honneurs que s’en est sortis Enrico Lopez et son épouse de l’époque, Läetizia Lopez. Enrico Lopez aura contribué à l’arrestation et la condamnation à perpétuité de Silvio, le footballeur espagnol aura perdu lors de cette guerre, celle qui considérait comme son tout, sa sœur unique Élisa Lopez…

Une mort simulée (2019-2020) :

Enrico Lopez « disparait » une nuit du 26 juin 2019 dans un accident de voiture du côté de Pontevedra, la police est formelle lors de l’identification du corps et confirme la mort de l’éternel espoir espagnol. L’affaire prend une autre tournure quand le joueur réapparait soudainement, les rumeurs parlent d’une mise à l’ombre volontaire pour reprendre les affaires de son ancien ennemi, Silvio. Le joueur lui masquera cet épisode comme une profonde dépression et l’envie de s’isoler de tout.

FC Lorient (2020-2022) :

Un club croit encore au talent du joueur espagnol et ce club c’est le FC Lorient, tout semble réuni pour que l’espagnol s’épanouisse. Celui qui déclarera cette chance comme la dernière ne rate pas l’occasion de briller et permet au club de finir 2e du championnat de Ligue 1(2021-2022) à la surprise générale, juste derrière l’intouchable Olympique de Marseille. L’année suivante fut plus compliquée en championnat, mais le club brillera en Champion’s League se payant le luxe d’atteindre les 1/2 finales et d’être nommé dans le onze type de la plus prestigieuse des compétitions. Ses performances lui permettront d’atteindre un niveau que peu de spécialistes penser voir un jour. Enrico Lopez quittera le club avec beaucoup d’émotion et le qualifiera comme sa deuxième maison et qu’il ne l’oubliera jamais.

OGC Nice (2022-2024) :

L’ambitieuse Katrina Marquet réussi le coup d’attirer Enrico Lopez en lui proposant un projet sportif en adéquation avec ses attentes, le transfert fut facilité suite l’étroite relation entre Kevin Marquet l’agent du joueur et Katrina Marquet. Le joueur s’épanouit dans un club ou tout semble tourner autour de lui, ce sentiment d’être leader lui colle à la peau, il continuera à être régulier et nommé dans l’équipe type de Ligue 1. Le club descendra en Ligue 2 en 2024, le joueur quitte le club avec comme seule raison, l’aspect économique et la survie financière du club.

Olympique de Marseille (2024-2026) :

Malgré le traumatisme du départ de Nice, le joueur est heureux de signer dans le club phare du Championnat de France et qui est loin de faire de la figuration sur le continent. Il rejoindra un autre espagnol, Inigo Anderetxe, joueur avec qui la relation sur le terrain n’aura jamais été mise en place, malgré l’envie des supporters. Bien que remplaçant Enrico contribue au succès du club et se paye même le luxe d’être aussi décisif que le titulaire habituel et international espagnol. Abonner aux nominations dans l’équipe type de L1, Lopez ne dérogera pas à la règle. Lassé d’être remplaçant, malgré ses performances, il quitte le club pour un dernier défi.

Arsenal (2026-2027) :

Pas de temps d’adaptation en Premier League et Enrico Lopez l’a bien compris, il exécute des performances tout à fait honorables, mais à la fin de la saison il quittera le club pour une retraite méritée.

Vie privée :

Enrico Lopez aura connu plusieurs femmes, mais il se décidera à franchir un cap avec son premier amour, la belle et talentueuse Läetizia Lopez. L’histoire d’amour se terminera brutalement suite à la disparition mystique du joueur. Le joueur n’a pas oublié la belle Espagnole et déclare plusieurs fois être encore amoureux de celle qui a partagé la vie du célèbre gardien albanais, Klinton Modrigäo. La presse lui colle une relation avec Paola Llompart lors d’un séjour à Pontevedra, rumeur aussitôt démentie par le joueur, malgré son attirance.

Défenseur de métier aux multiples talents, Rabes a écumé les pelouses d'Europe avec élégance et avec style. Franco-Italien, il fini par opter pour la sélection française et devenir l'un des premiers Players international français de l'histoire.

Réguliers, il brillera dans de nombreux clubs européens après avoir fait ses classes en France et notamment en Ligue 2. Studieux et classieux, il a également marqué ses partenaires et ses adversaires tout au long de son parcours en étant un joueur régulièrement cité dans les meilleurs défenseur et un membre régulièrement nommé dans les Rpistes du mois.

Un 4 mai 2000, à un hopital de Bilbao, en Espagne, naît un bébé qui fût prénommé Romàn. Né d'un père Espagnol, et d'une mère Française, il possède donc les nationalité Espagnole et Française. Ce jeune bébé grandit, puis, à l'âge de 5 ans, commence le foot. Doué à l'école, avec de très bonnes notes, Romàn se découvre en même temps un amour fou pour le football. De la plus petite des catégories, il gravit les échelons de catégorie, parvenant tout de même , parallèlement, à conserver ses excellents résultats scolaires. Romàn est décrit , dès son plus jeune âge, comme le futur David Villa. Il impressionne déjà par son touché de balle, sa précision de tir, et son sens du but. A 8 ans, il intègre un club de Bilbao, et en même temps, saute une classe. Il aurait été repéré même par le mythique club trônant à San Mames, l'Athletic Bilbao, mais les parents de Romàn , très protecteurs vis-à-vis de leur fils, lui ont empêché de brûler les étapes. Il continue d'évoluer dans un club banlieusard, de briller. Romàn passe en 6ème sans problème, et continue le football. Fervent supporter de l'Athletic Bilbao, et aussi du Real Madrid, le jeune Espagnol rêve de rencontrer ses idoles. Il se met à rêver de devenir footballeur professionnel en Liga Español. Romàn se lasse de l'école, et souhaite devenir professionnel, ses parents ne sont pas d'accord, disent que cela n'est qu'un rêve irréalisable, mais le jeune garçon ne veut rien entendre. Il veut réaliser son rêve ! Ses résultats scolaires sont en baisse, mais il obtient quand même son Brevet des Collèges.

Arrivé au lycée, Romàn déchaîne les stats dans son club, délaissant limite ses études. Il met les chances de son côté, et fait tout pour ! A 17 ans maintenant, Romàn a redoublé sa Terminale et n'a pas obtenu son Bac, et finalement, obtient son Bac au bout de sa deuxième année, aisément, tout en continuant le football, et en touchant du bout du doigt le haut niveau ! Quelques clubs sont entrés en contact, et Romàn étudie ces propositions. C'est un garçon sain, qui vivrai pour le football, sa raison d'épanouissement.

Un début de carrière à Evian, puis une poursuite à Villarreal qui a vu le joueur embrassé la sélection Pascuane puis Chilienne lors de la disparition de l'île. Il rejoint ensuite le Real Madrid, avec les merengues, il reste trois saisons et remporte trois titres. Puis il cède à l'appel de Katrina Marquet à l'OGC Nice avec laquelle il remporte deux fois le championnat de Ligue 1. Enfin, après 4 ans sur la Côte d'Azur, il rejoint l'Inter Milan pour terminer sa carrière durant deux saisons.

Attaquant prolifique, versatile, il a notamment joué pour les espoirs espagnoles avant de rejoindre la sélection pascuane puis Chilienne.

Joueur de tempérament, il a notamment participé à plusieurs plaintes pour défendre l'indépendance et la souveraineté de la fédération pascuane, souvent déconsidéré par la FIFA avant de finalement quitter le football en toute discrétions.

Le père de Hugo était le goal japonais Théo Sellers, qui fut un temps, le 3e goal de l'équipe nationale du Japon, c'est dire du niveau de l'équipe. Théo était une force de la nature. Il n'avait aucuns reflexes, aucune détente et pourtant, il était presque impossible de lui marquer un but, tout simplement à cause de sa taille XXXXXL. Théo voulait devenir sumotori et avait commencé l'entrainement mais il se reconvertit dans le football car là au moins, personne ne lui foutrait des claques dans ses seins.Il ne disputât jamais un match en équipe nationale, mais fût tout de même une célébrité, surtout pour ses publicités japonaises indescriptibles pour le commun du reste du monde. Théo reçut une proposition pour jouer à Norfolk, en Angleterre, ce qui fût étrange, puisque c'était aussi le nom de l'équipe où il jouait au Japon. Cependant, l'équipe anglaise jouait dans les bas-fonds des divisions anglaises, en 13e ou 14e, il y a tellement de divisions là bas, qu'on ne s'y retrouve plus. Mais Théo developpa ses abdos Kro.

C'est là qu'Hurley naquit.

Très tôt, il fut soumis au même régime que son père. Ce dernier voulait que son fils reprenne le flambeau des Sellers, ces goals imposants. Hurley était plutôt un rêveur, il voulait voyager dans le monde, mais il n'avait pas de chance de ce côté là, puisqu'il voulut un jour s'échapper de son père, prit un avion pour l'Australie, mais ce dernier s'écrasa dans une île où il dût se taper les délires d'un chauve paraplégique, d'un docteur pris de doute et d'une folle qui avait le feu au cul. Hurley revint en Angleterre bien décidé à écouter son père, puisque de toute façon, il ne ferait rien d'autre de bien de sa vie. Donc Hurley mange comme un porc, euh un sumo, et n'a aucune détente, aucuns réflexe, mais il est très difficile de lui marquer un but.

Quel club est prêt à recruter ce nouveau genre de gardien ?

Amiens SC tente le coup et recrute l'imposant gardien, des débuts mitigés mais il fini par vite reprendre le cap, il rejoint ensuite le club de Charleroi dans la nouvelle Ligue du Benelux Super League. En quelques années, Hugo réussit l'exploit d'amener son club à la victoire en Ligue des Champions.

Après un imbroglio et un faux transfert au Real Madrid, il rejoint le club de Tottenham pour poursuivre sa carrière dans le "meilleur championnat du monde".

Mais au-delà du sportif et de cet exploit avec Charleroi, Hugo a marqué pour ses à côtés, véritable personnage limité, il s'est entouré de nombreuses casseroles, entre un scandale autour d'un big mac. Un mariage raté avec Minnie Cesco et de nombreux buffets avalés sans en laisser à ses coéquipiers.

Mais Hugo était un chic type, ce genre de grand benêt apprécié.

Né à Montréal dans une famille d'immigrés Allemands, rien ne laissait présager que Stefan Müller deviendrait footballeur professionnel. Il passa les 13 premières années de sa vie dans un quartier pauvre et dans une famille dysfonctionnel. Alcoolique et junkie violent, le père de Stefan n'hésitait jamais à lever la main sur femme et enfants. Passé entre les mailles du filet social québécois, le jeune homme n'avait pas grand chose à faire d'autre que de passer ses journées à flâner dans les rues avec ses copains, commettre des petits vols à l'étalage et revendre aux prêteurs sur gage le fruit de leurs larcins. Stefan se servit de cet argent mal acquis pour se faire faire un tatouage chez un tatoueur clandestin. Cette décision stupide le laissa séropositif, mais il ne l'apprit qu'à l'âge adulte.

Un beau jour la mère de Stefan eut enfin le courage de quitter son mari violent et retourna en Allemagne avec les enfants. Loin de la mauvaise influence de ses copains, Stefan se mit un peu de plomb dans le crâne et découvrit autre chose que la délinquance juvénile pour occuper ses journées : le football. À 13 ans il signait sa première licence au KSV Hessen Kassel. À 16 ans, il était surclassé en U20. Ayant enfin appris à utiliser sa vitesse pour autre chose que de se sauver des flics et des agents de sécurité de magasins, sa formidable histoire commençait.

L'équipe U20 fut invitée à aller jouer un tournoi en France. Si les jeunes Allemands se firent laminer 8-1 par le centre de formation du PSG en finale, les performances de Stefan lui permirent de signer un contrat avec le SCO Angers, pensionnaire de National. Arrivé là-bas à la mi-saison, le jeune attaquant multiplia les quadruplés allant même jusqu'à terminer second meilleur buteur du championnat. L'équipe profita de ce coup de pouce offensif pour terminer 2e et être promue en Ligue 2. Stefan n'y suivra cependant pas ses coéquipiers. Le RC Lens l'ayant obtenu sous la forme d'un prêt. 6 mois de professionnalisation seulement et il découvrait la Ligue 1. Cette généreuse augmentation salariale tombait à point puisqu'il s'apprêtait, malgré lui, à devenir père...

Son passage dans le Nord tourna rapidement au cauchemar. Très peu utilisé, pas vraiment au niveau, son manque de formation paraissait énormément. Ne jouant qu'une poignée de minutes, il trouva tout de même le temps de marquer un but avant de demander la résiliation du prêt et de retourner à Angers. Les choses (et ses performances) ne s'améliorant que légèrement. Le club termina dernier et retourna en National. Stefan lui, y resta et signa à Toulouse.

Il y passa une saison sans histoire et sans grand coup d'éclat. Il était un joueur moyen de Ligue 2 sans plus. Malheureux comme les pierres, souvent tête de turc de ses coéquipiers qui ne se gênaient pas pour lui faire des coups pendables, le joueur n'attendait que la fin de son contrat pour quitter le club. Au beau milieu de sa deuxième saison Toulousaine, un incident vint changer à jamais la carrière de Stefan. Durant un entraînement, un commentaire acerbe de son coach, Élie Baup, fit littéralement disjoncter Stefan qui lui balança une droite. KO direct. Le technicien n'étant sans doute pas sans reproches dans le traitement du jeune attaquant Allemand, ne porta pas plainte et préféra plutôt résilier à l'amiable le contrat du joueur. Souhaitant quitter la France, Stefan Müller signa à Wolfsbourg, club modeste de Bundesliga.

Flirtant régulièrement avec la relégation, les performances de l'attaquant permirent au club de sortir la tête de l'eau. Régulièrement dans les meilleurs buteurs du championnat, Stefan réussit même à intégrer l'équipe nationale alors que 2 années plus tôt, il n'était qu'un joueur ordinaire de Ligue 2. Un club un peu mieux placé au championnat, le Herta Berlin, sollicita ses services.

Son passage dans la capitale fut marqué par sa rencontre avec une top modèle...Toutefois, celle-ci était quelque peu dérangée...durant leur relation un peu étrange, elle n'hésita pas à droguer Stefan pour le violer. Stefan ne le sut que 9 mois plus tard alors qu'elle le poursuivait pour obtenir une pension alimentaire pour 2 jumelles...Fort heureusement, la justice Allemande s'en mêla assez rapidement.

Sportivement, il fit au Herta Berlin, la rencontre de Tom Jenné-Plusoif, qui devint l'autre moitié d'un duo explosif qui permirent au club de remporter la Bundesliga après 2 ans. Le belge se servit de ce succès pour signer à la Juventus, l'allemand lui, s'en alla au PSV Eindhoven.

Au club hollandais, il fit la connaissance d'Alex Von Nistle Loyd, le milieu offensif batave et lui allaient former un duo qui terrorisera les gardiens de la Benelux pendant les 2 prochaines saisons. Respectivement dauphins du championnat et champion en 2 ans, meilleur buteur de Benelux, il n'en fallait pas plus pour que Stefan Müller soit enfin remarqué par un grand club.

À la Juventus du Turin, il retrouvait son vieux complice Tom Plusoif, cependant le destin allait frapper durement l'attaquant Allemand.

Alors que le stage de présaison de sa 2e saison en Italie allait commencer, l'attaquant ne se présenta pas au rassemblement...Lorsque le club envoya quelqu'un chez lui, il retrouva le corps inanimé du joueur. À 29 ans, Stefan Müller venait de mourir d'un infarctus.

Première équipe a regrouper un nombre important de Players, l'épopée du Grenoble Foot 38 reste une étape marquante de Players, à l'heure où les RP restaient encore sobre et limités à de l'individuel, une équipe de trois personnalités, Thomas Foé (ft. Grégory Coupet), Ralph Manouchian (ft. Lorik Cana), Apple Cherry (ft. Fredrik Ljungberg) puis rejoint plus tard par Roberto Yann, nous ont offert les premières pages les plus marquantes du RP Playersien.

Le mythique entraînement du diable, les conseils de maitres anciens pour savoir gérer son corps et son football, une avalanche de petits filous tubs pour se booster entre les matchs et des RP incroyables, loufoques qui lorgnaient clairement sur le manga mais nous ont offerts de magnifiques souvenirs.

Sportivement, cette équipe de Grenoble sera une surprise, sortie de la Ligue 2 par ce trio puis quatuor infernal, l'équipe atteindra ensuite les marches de la coupe Européenne avant que les sirènes des grands clubs n'emporte chacun des joueurs vers de nouvel horizons.

Le rassemblement sera à nouveau tenter au FC Barcelone, mais les joueurs plus âgés, plus murs aussi, n'auront pas le même enthousiasme et la mayonnaise ne prendra pas de la même manière. Si certains de ses joueurs méritent une place dans le top 50, sans nul doute que l'épopée Grenobloise, à elle seule, mérite aussi un jolie clin d'oeil.

Si la carrière de Didier Koba n'a pas été exceptionnelle, il a particulièrement brillée pour avoir été l'une des premières victimes majeur du pénalty.

Sportivement, Koba a eu une honnête carrière, une révélation en Ligue 2, un passage solide en Ligue 1 puis en Allemagne avant de tenter l'aventure en Premier League.

Mais le passage le plus marquant, le plus incroyable reste le jour où, il a sorti son appendice dans le vestiaire afin de faire tourner une bouteille dessus. Cet incroyable moment, d'anthologie, reste l'un des premiers tournants majeurs dans l'histoire du RP et du fameux média, le Penalty.

La défense de Koba, totalement décomplexée sur ce geste, n'en sera pas moins grandiose.

Boris est un pur enfant de la Russie, né du côté de St Petersbourg dans une famille modeste, le jeune homme au physique impressionnant (1m95, 120 kg) fait parler de lui au pays et rapidement il est pris en charge par un agent dont on dit qu'il aurait été un enfant "élevé" par le KGB, le fameux Yuri Kirolov.
C'est à Tours que Boris fait ses débuts de joueur pro, pas génial sur le terrain, le garçon fait quand même parler de lui très tôt dans la saison, la faute à Gianni Varese, un agent concurrent, qui avait usé de son influence pour compromettre Boris dans une affaire à la con qui avait emmené le FC Tours à suspendre Boris. Après avoir fracassé la porte du bureau de son président, son contrat est rompu à l'amiable.

C'est au SC Bastia qu'il trouvera refuge quelques semaines plus tard, le président Robby Gnole sautant sur l'occasion. Fort d'une génération exceptionnelle avec Ana Bodiroga, Kenny Mc Shane, Kiara Marques, et Junji Truscott entre autres, l'équipe corse dirigée par le coach Danny Paclerq gravira les échelons depuis le National jusqu'à remporter la Coupe d'Europe des Clubs.
Affectueusement surnommé Piékipu par ses camarades de vestiaire, le grand russe établie ses quartiers Chez Léon, un bar local où le coach Paclercq était un pilier. Boris y préférait la compagnie de Bianca, l'une des "filles" de Léon.
C'est lors d'un dîner mondain à l’ambassade russe que Boris tombera sous le charme de celle qui deviendra la femme de sa vie, l'actrice/chanteuse ]Olesya Rulin, retombée dans un pseudo anonymat après ses apparitions dans High School Musical. Elle lui donnera 4 enfants, des triplés d’abord puis un autre tout seul après. Il se marièrent à Barcelone lors d'une journée mouvementée, notamment grâce à Kenny.  

Fan depuis toujours du FC Barcelona, Boris vit son rêve se réaliser après 5 ans à Bastia, après le départ de Robby Gnole il quitte la Corse pour la Catalogne. Il prends rapidement ses marques chez les blaugrana et devient un de leurs joueurs cadres. Il remportera plusieurs trophées dont la fameuse Ligue des Champions.
Il quittera son club au bout de 5 ans suite à une altercation avec la gardienne anglaise du club, la jeune Kate Allan, qui avait passé une nuit avec Olesya. Il rejoint donc Manchester United, le cœur meurtri.

En sélection, Boris deviendra le meilleur buteur de l'histoire russe mais le meilleur résultat sera une 1/2 finale à l'Euro, entouré par ses joueurs trop loin de son niveau pour que l'équipe ne puisse rivaliser avec les meilleurs.  

Beaucoup de zones d'ombres subsistent autour du géant russe, certains disent qu'il était complice de Robby Gnole et Yuri Kirolov dans plusieurs affaires louches, il paraîtrait même qu'il avait caché son ancien président pendant plusieurs semaines dans les sous sol de sa maison barcelonaise.
On dit aussi qu'il aurait un enfant illégitime avec Bianca, son ancienne habituée chez Léon.