TOP 50 des Players

Durant ces prochains jours, nous allons vous proposer un top 50 des plus grands Players de l'histoire. 16 ans d'histoire, de simulation, de RP, d'animation, de bonheur et de déception.

Ce top 50 se basera en grande partie sur le souvenir des organisateurs, il est donc fort probable que des évènements nous font défauts et que nous n'ayons pas réussis à bien re-situer les choses. Dans quel cas, nous acceptons volontiers les corrections.  

Ah, ce topic est purement subjectif.

Certains Players ont marqués l'histoire par leur personnalité, leur RP ou leur performances sportives, ici, nous mélangeons tout pour vous proposer le plus grand Panthéon qui soit !

Il est fort probable aussi, que notre mémoire nous joue des tours et que nous ayons quelques oublies... Vraiment désolé pour les Players concernés. Retracer 16 ans avec un historique parcellaire n'est pas simple, mais on a essayé de vous proposer quelque chose de spécial.

Amusez-vous, régalez-vous, et petite question.
A votre avis, qui est dans le top 3 ?

PS : Sur la bannière d'illustration, nous avons l'avatar du premier Players crée, un certains Sebastian Aricio de Galvez et l'avatar de la dernière à avoir rejoint l'aventure, Bianca Dimitrescu.

Première équipe a regrouper un nombre important de Players, l'épopée du Grenoble Foot 38 reste une étape marquante de Players, à l'heure où les RP restaient encore sobre et limités à de l'individuel, une équipe de trois personnalités, Thomas Foé (ft. Grégory Coupet), Ralph Manouchian (ft. Lorik Cana), Apple Cherry (ft. Fredrik Ljungberg) puis rejoint plus tard par Roberto Yann, nous ont offert les premières pages les plus marquantes du RP Playersien.

Le mythique entraînement du diable, les conseils de maitres anciens pour savoir gérer son corps et son football, une avalanche de petits filous tubs pour se booster entre les matchs et des RP incroyables, loufoques qui lorgnaient clairement sur le manga mais nous ont offerts de magnifiques souvenirs.

Sportivement, cette équipe de Grenoble sera une surprise, sortie de la Ligue 2 par ce trio puis quatuor infernal, l'équipe atteindra ensuite les marches de la coupe Européenne avant que les sirènes des grands clubs n'emporte chacun des joueurs vers de nouvel horizons.

Le rassemblement sera à nouveau tenter au FC Barcelone, mais les joueurs plus âgés, plus murs aussi, n'auront pas le même enthousiasme et la mayonnaise ne prendra pas de la même manière. Si certains de ses joueurs méritent une place dans le top 50, sans nul doute que l'épopée Grenobloise, à elle seule, mérite aussi un jolie clin d'oeil.

Si la carrière de Didier Koba n'a pas été exceptionnelle, il a particulièrement brillée pour avoir été l'une des premières victimes majeur du pénalty.

Sportivement, Koba a eu une honnête carrière, une révélation en Ligue 2, un passage solide en Ligue 1 puis en Allemagne avant de tenter l'aventure en Premier League.

Mais le passage le plus marquant, le plus incroyable reste le jour où, il a sorti son appendice dans le vestiaire afin de faire tourner une bouteille dessus. Cet incroyable moment, d'anthologie, reste l'un des premiers tournants majeurs dans l'histoire du RP et du fameux média, le Penalty.

La défense de Koba, totalement décomplexée sur ce geste, n'en sera pas moins grandiose.

Boris est un pur enfant de la Russie, né du côté de St Petersbourg dans une famille modeste, le jeune homme au physique impressionnant (1m95, 120 kg) fait parler de lui au pays et rapidement il est pris en charge par un agent dont on dit qu'il aurait été un enfant "élevé" par le KGB, le fameux Yuri Kirolov.
C'est à Tours que Boris fait ses débuts de joueur pro, pas génial sur le terrain, le garçon fait quand même parler de lui très tôt dans la saison, la faute à Gianni Varese, un agent concurrent, qui avait usé de son influence pour compromettre Boris dans une affaire à la con qui avait emmené le FC Tours à suspendre Boris. Après avoir fracassé la porte du bureau de son président, son contrat est rompu à l'amiable.

C'est au SC Bastia qu'il trouvera refuge quelques semaines plus tard, le président Robby Gnole sautant sur l'occasion. Fort d'une génération exceptionnelle avec Ana Bodiroga, Kenny Mc Shane, Kiara Marques, et Junji Truscott entre autres, l'équipe corse dirigée par le coach Danny Paclerq gravira les échelons depuis le National jusqu'à remporter la Coupe d'Europe des Clubs.
Affectueusement surnommé Piékipu par ses camarades de vestiaire, le grand russe établie ses quartiers Chez Léon, un bar local où le coach Paclercq était un pilier. Boris y préférait la compagnie de Bianca, l'une des "filles" de Léon.
C'est lors d'un dîner mondain à l’ambassade russe que Boris tombera sous le charme de celle qui deviendra la femme de sa vie, l'actrice/chanteuse ]Olesya Rulin, retombée dans un pseudo anonymat après ses apparitions dans High School Musical. Elle lui donnera 4 enfants, des triplés d’abord puis un autre tout seul après. Il se marièrent à Barcelone lors d'une journée mouvementée, notamment grâce à Kenny.  

Fan depuis toujours du FC Barcelona, Boris vit son rêve se réaliser après 5 ans à Bastia, après le départ de Robby Gnole il quitte la Corse pour la Catalogne. Il prends rapidement ses marques chez les blaugrana et devient un de leurs joueurs cadres. Il remportera plusieurs trophées dont la fameuse Ligue des Champions.
Il quittera son club au bout de 5 ans suite à une altercation avec la gardienne anglaise du club, la jeune Kate Allan, qui avait passé une nuit avec Olesya. Il rejoint donc Manchester United, le cœur meurtri.

En sélection, Boris deviendra le meilleur buteur de l'histoire russe mais le meilleur résultat sera une 1/2 finale à l'Euro, entouré par ses joueurs trop loin de son niveau pour que l'équipe ne puisse rivaliser avec les meilleurs.  

Beaucoup de zones d'ombres subsistent autour du géant russe, certains disent qu'il était complice de Robby Gnole et Yuri Kirolov dans plusieurs affaires louches, il paraîtrait même qu'il avait caché son ancien président pendant plusieurs semaines dans les sous sol de sa maison barcelonaise.
On dit aussi qu'il aurait un enfant illégitime avec Bianca, son ancienne habituée chez Léon.

Patrick était l'une des premières star de Players, un défenseur dur sur l'homme, sérieux et appliqué. Toujours partant pour les bonnes choses et toujours dans les bons coups.

Sa carrière sportive a été assez incroyable, avec une ascension fulgurante et rapidement un des meilleurs Players mais aussi un des premiers à jouer sous la tunique blues.

Véritable métronome de la défense et patron, il brillera par plusieurs affaires extra-sportives, entre quand il montera au créneau pour défendre son club ou la fois où il a défendu son épouse, qui venait pourtant de le tromper. Le joueur a toujours été comme ça, un modèle de justesse, d'application et de fidélité.

DEBUTS
Sorti de nul part, ce gamin a du talent. On ne connaît pas exactement le jour de sa naissance, mais pour l'état Russe, il s'agit du 18 février 1994. D’après certaines sources il s’agirait d’un gosse abandonné à la naissance par ses parents qui n’avaient les revenus nécessaires pour élever un énième enfants. Vous vous demandez sans doute comment se fait-il qu’il a tout de même un nom et un prénom ? Et bien personne ne le sais…

On ne sait donc rien de l'origine de Victor, si ce n’est qu’un jour il apparut dans les enceintes du Spartak Moscou. D’après son poids, sa taille son développement physique, les médecins du club en avaient conclu que le petit jeune avait en fait six ans. Ils firent passer des tests à Victor pour savoir s’il pouvais espérer faire de lui un grand footballeur. Le test fut concluant, il savait taper dans la balle et s’appliquait pour faire de bonne passe. Tout ce qu’on pouvait demander à un si petit spécimen.

Igor Kartzhov, entraîneur des U9 du Spartak, décida alors de couver Victor. Il l’incorpora au plus jeune effectif du club, les U9. Et même si Victor avait un retard physique marquant, il tirait son épingle du jeu grâce à ses passes bien souvent très précises. « Ils s’amusent tous comme des p’tit fou !! » C’était l’expression favorite d’Igor pendant cette période. A sa troisième année passée au club, Victor obtint le brassard de capitaine en U9. C’était sa dernière année dans cette équipe, et il commençait vraiment à apprécier ça.

En même temps à neuf ans, qu’est ce qui peut vous embarrasser l’esprit ? Pas grand chose, si ce n’est de ne pas avoir de parents. Et bien c’était le cas de Victor, mais ça ne se voyait point. Au fur et à mesure que les années avançaient, Victor et Igor sont parvenu à un lien très fort entre eux. Au yeux de Victor, Igor était son mentor. Il savait très bien qu’il pourrait toujours compter sur lui, tel un père qui n’a jamais existé…

Igor savait très bien que son petit protégé n’avait que très peu de chance d’incorporer un jour l’équipe pro du Spartak, mais il fit en sorte de ne jamais sauter d’étape, une fois de plus pour l’épauler au maximum. Mais lorsque arriva les 14 ans de Victor. Les dirigeants du Spartak décidèrent d’arrêter le contrat de formation de plusieurs jeunes, y compris celui de Victor malgré l’appui de son mentor…

C’est à ce moment précis que Victor quitta son pays pour partir en France, où il appris tout d’abord la langue, puis grâce à l’aide d’Igor, il lui dénicha un petit club ou il continua de progresser. Bien qu’il ne pouvait pas atteindre l’équipe pro de son club de cœur, Victor a eu comme une révélation. Il devait devenir l’un des plus grand joueur de football que la terre ai connu. Mais pour ça, il devait encore gravir quelques échelon…

Des débuts à Sedan prometteurs puis cinq ans à Troyes, alternant entre la Ligue 2 et la Ligue 1. Il signe finalement à 21 ans à l'Olympique de Marseille, alors à la lutte pour les places européennes. Une saison à l'OM où il fini dans les meilleurs joueurs et le voilà débarquer à Everton, alors dans le top de la Premier League. Trois saisons à Everton de haute volée qui l'amène à titiller le ballon d'or et pas passer loin d'une ligue des champions puis... La fin prématurée, une disparition lié au milieu de la mafia Russe.

Deux ans plus tard, le revoilà qui reprend du poil de la bête, il se laisse alors convaincre par Katrina Marquet de rejoindre le projet Niçois alors sur le point de découvrir la Ligue 1. Trois saisons passionnels avec le club azuréen, et une montée en Ligue 1 magique, il quittera à nouveau le club en raison d'affaires avec la mafia russe.

Durant toute sa carrière, Victor a flirté avec les milieux douteux, il a même eu une brève relation avec Lucy Williams. Joueur de tempérament et au niveau, il n'a jamais cessé de tutoyer les sommets.

DEBUTS
Mark est né le 30 avril 1999 à Munich en Allemagne d'un père allemand et d'une mère ... allemande. Quoi de plus banale en effet. La seule chose qui le différencie des autres ce sont ses cheveux. Mark aborde une crinière depuis son plus jeune âge et jamais il ne l'a coupée, c'est sa différence entre lui. Et vous n'avez pas de chance elle était rose il y a encore quelques semaines vous avez loupé ça mais vu qu'il va rentrer dans la vie active il ne faut pas pousser mémé dans les orties non plus. Bon évidemment il est plus grand, plus fort et plus beau que les autres mais il ne veut pas passer pour un prétencieux. Mais il est meilleur que les autres. Surtout meilleur que ceux qui vivent vers le bas du monde là, comment on les appelle déja ? arf je ne sais plus. Vous savez ces gens sans importance de certaines couleurs très foncé ou gris. Oui oui eux. Il ne peut pas les encadrer. Depuis qu'ils viennent en masse dans la pays ça l'insupporte. Déja que son éducation a toujours été basé sur le mépris des étrangers, ce qui se passe dans le monde ne fait que confirmé ses pensées envers ses gens. Heureusement pour ne pas à voir ceci en permanence avec sa famille ils vont souvent en Espagne, là ou le soleil est roi ( et ou le chomage fait rage et donc pas de sales gens pour venir conquérir le territoire). Souvent il revient très bronzer. Le dernier mec qui lui à demander si il était originaire du continent en dessous du monde nous n'avons plus de nouvelles de lui. On peut plaisanter avec Mark, mais pas sur ça.
Dans la vie Mark joue au foot depuis qu'il a 6 ans et il est plutot doué au poste de gardien de but. D'ailleurs quelques équipes le veulent et il va accepter une offre forcément, n'importe laquelle, du moment que le football est son gagne pain ça lui va très bien et du moment que ce ne soit pas une équipe d'en bas ... En ce moment il joue dans un petit club de Munich et il adore cette ville. Il en connait les moindre recoin. Evidemment la semaine ce sont les cours mais le samedi c'est match avec le club et attention le dimanche c'est jour du seigneur, petite excursion à Dachau histoire de se dégourdir les jambes avec papi et mamie.

Il espère vraiment jouer au Bayern plus tard, dans sa ville natale et marcher sur les pas du Grand Kayzer Oliver Kahn ! Son rêve ultime ? ce n'est pas la coupe du monde non, c'est de ne jamais prendre de but d'un étranger. Car pour lui ils ont déja transpercé la frontière allemande, mais jamais ils ne transperceront ses filets !

Après un parcours junior au Borussia Dortmund et à Ross County, il rejoint officiellement le club ecossais et débute en 2019.
Trois saisons, puis un départ à la Lazio de Rome, deux ans plus tard il rejoint Napoli avant de quitter le club Napolitain pour rejoindre l'OL. Trois ans plus tard, il rejoint Liverpool, puis, enfin il rejoint le Real Madrid. Considéré à cet instant comme l'un des meilleurs gardiens du monde, il remporte deux ligues de champions et 4 liga avec les galactiques. Poussé dehors par la jeune génération, il rejoint alors le Bayern Munich, son club de coeur, pendant 4 ans.

Sa carrière s'écrit aujourd'hui en Major League Soccer.

Mark restera un gardien fiable, sérieux quoiqu'un poil capricieux, qui a, a plusieurs reprises était dans le top des ballons d'or avant de le remporter en 2033.

Il a également participé à une campagne auprès de Forbes pour éduquer et accompagner les sportifs professionnels dans leurs investissements en se spécialisant notamment dans l'immobiliers.

Rien ne prédestinait Yelena Molkinoranova (ft. Maria Kirilenko) au football de haut niveau. Après des débuts chaotiques à Sedan où la jeune attaquant se fit plus remarquer par ses agissements extra sportifs que par ses performances sportives, elle rejoignit successivement les clubs de Monaco et de Bordeaux. Elle y vécut alors une véritable transformation psychologique et son talent put éclore au grand jour, pour le bonheur de ses supporteurs. Après dix saisons passées en France, pays auquel Yelena s'est fortement attachée et qu'elle considère comme sa deuxième nation, elle prit son envol vers Everton. Sa carrière prit alors une nouvelle dimension qui lui permit de rejoindre quelques saisons plus tard le club phare européen du FC Barcelone. Au cours de sa carrière en club, Yelena marqua 111 buts pour 46 passes décisives.

Après avoir brillée en sélection espoir Russe (parcours récompensé notamment par une médaille de bronze aux Jeux Olympiques 2016), Yelena intégra la sélection A au cours de l'été 2018. S'étant convertie au poste de Milieu Latéral Gauche à la demande de son sélectionneur, Yelena devint alors une titulaire incontestable du onze de départ Russe. Auréolée de 42 sélections au cours de sa carrière, Yelena trouva le chemin des filets à 14 reprises et délivra par la même occasion 14 passes décisives.

La carrière de Yelena fut hachée par les trois grossesses de la jeune femme qui donnèrent le jour à cinq enfants. A l'aube de ses trente-deux ans, Yelena préféra mettre un terme à sa carrière afin de pouvoir se consacrer pleinement à sa (nouvelle) vie de mère de famille. Elle pouvait enfin trouver cet équilibre familiale qui lui manquait tant depuis quelques années et put rejoindre son mari, le joueur Christopher Savidan, accompagnée de toute sa fratrie.

[extrait du Hall of Fame]

Jay Miller (ft. Carmelo Anthony) est né le 19 août 1995 à Londres, Royaume Uni. Il grandit à Tottenham, dans le quartier de "The Farm", réputé pour être l'un des plus difficiles de la capitale britannique. Sa mère, femme de ménage, s’occupe seule de ses cinq enfants alors que son père a quitté le foyer quand Jay avait deux ans. A 15 ans, Jay ne va presque plus en cours et passe son temps à vendre de la drogue dans la rue. Heureusement, il obtient une bourse pour intégrer l’équipe de basket de l’université d'Ohio, aux Etats-Unis. Mais il est renvoyé un mois après son arrivée pour mauvais comportement. Jay rentre alors à Londres et décide de reprendre sa vie en main. Il s'entraîne dur jour après jour sur le playground à côté de chez lui et en 2015, alors qu'il est âgé de 20 ans, il est recruté par l'équipe française de Cholet Basket, qui évolue alors en NBA Europe Second League. C'est là qu'il rencontre celui qui est encore aujourd'hui son meilleur ami, Josh Wall. Ses bonnes performances en France pendant deux saisons lui permettent d'attirer l’intérêt de Valencia, l'une des meilleures équipes européennes. Avec le club espagnol, il remporte le championnat deux années consécutives. Il décide alors de tenter sa chance en NBA et se présente à la Draft 2019, où il est drafté en 10e position par Chicago. Il évolue sous le maillot des Bulls pendant deux années et se construit une petite réputation dans la ligue américaine qui lui permet en 2021 d'être échangé dans sa franchise de coeur, les New York Knicks. Il y passera 9 saisons lors desquelles il deviendra all-star, capitaine de l'équipe et remportera le titre NBA en 2028 et 2029, ce qui fait de lui aujourd'hui une légende de l'équipe new-yorkaise. En 2030, il décide de mettre fin à son contrat avec les Knicks pour signer aux London Lions et tenter de gagner le championnat avec sa ville natale, mais il échouera en finale contre l'Olympiakos. Suite à la fermeture de la ligue européenne, il fait son retour en NBA et accepte un contrat de trois ans aux San Francisco Warriors. Il n'y restera finalement qu'une saison, réalisant des performances honorables mais pas suffisantes pour qualifier la franchise en play-offs.

Avec la sélection britannique, il réalise l'exploit d'atteindre la finale de l'Euro 2019, et, pour ce qui représente sa dernière compétition en tant que joueur, la finale de la Coupe du monde 2032 en tant que capitaine de l'équipe.

Parallèlement au basket, Jay mène une carrière de businessman. Il crée en 2020 sa marque de vêtement J-Wear avec son associé Josh Wall et la développe au point de devenir l'équipementier de l'université de Duke pendant deux saisons. J-Wear est aujourd'hui une marque reconnue dans l'univers du sportswear/streetwear. Il fonde également son propre label de rap, "J-Music", en 2023, avec lequel il sortira trois albums avant de le revendre au groupe Universal. En 2033, il rachète l'entreprise LiveSport à son ami Thomas Zolckjer et en fait un média qui pèse dans le monde du sport.

En ce qui concerne sa vie privée, Jay est fiancé depuis l'été 2031 au mannequin anglais Cara Delevingne. Il a une fille, Keysha, née en 2017 d'une précédente relation.

Alors que tout le monde s'attendait à ce qu'il honore son contrat avec les San Francisco Warriors jusqu'à sa fin, Jay décide peu avant le début de la saison 2032-2033 de rompre son contrat à l'amiable avec la franchise californienne. A 37 ans, il ne se sens plus les jambes pour être performant en NBA et souhaite se consacrer à sa carrière de rappeur, après le succès mitigé de son quatrième album solo "B2B". Il fait donc une croix sur les 220.000€ sur deux ans qu'il aurait touché en continuant avec les Warriors.

[extrait du Hall of Fame]

Un beau matin de Mai 89, le 13 plus exactement, Monsieur et Madame Truscott, Cody et Haruhi de leurs prénoms, étaient dans le petit hôpital de la ville de Naha, sur l'île d'Okinawa, au Japon. La raison ? La naissance de leurs jumeaux ... Tout d'abord, une petite fille, Ann, et un petit garçon, Junji. Avec les deux, le nombre d'enfants de la famille Truscott s'élève maintenant à 5 ... Mais comment font-ils pour survivre avec autant d'enfants ? Cody Truscott, le père de famille, était une jeune homme scientifique américain, spécialisé dans la robotique, finissant par être embauché chez la marque japonaise de Sony en temps que chef de la branche. Haruhi Wakanaki, la mère de famille, était une jeune femme pleine de vie et d'ambition, fille d'un des principaux actionnaires de Sony et assistante du directeur américain de Sony Music Entertainment, Rolf Schmidt-Holtz. Durant un grand congrée réunissant tout les principaux pontes de la marque, Cody fit connaissance d'Haruhi, et de fil en aiguille, ils finirent ensemble, mettant au monde quelques années après, Yugo, Emy et Demetria. Et plusieurs années plus tard, en plus de Junji et d'Ann, les petits Ryoma et Yuji et les petites Riley et Alyssa vinrent au monde ... Et oui, 9 enfants ... De vrais fous les Truscott ...

Après avoir voyagé pendant de nombreuses années, passant par l'Australie (ou Yugo naîtra), la Suède (ou Emy naîtra), la France (ou Demetria naîtra), ils posèrent finalement leurs bagages aux Japon. Et plus précisément sur l'île d'Okinawa, le coin paradisiaque du Japon. Possédant une fortune assez conséquente malgré leur jeune âge, ils avaient à leur disposition l'une des plus belle villa de l'île, un jet-privé pour se déplacer vers Tokyo et le centre de Sony ou encore pour les déplacements aux Etats-Unis.

Ce n'est que vers l'âge de 2 ans que le petit Junji commença à jouer au football, alors qu'il savait à peine marcher. Il passait des heures et des heures dans sa chambre, à mettre des coups de pieds dans un ballon en plastique, à faire tomber ses peluches et ses robots, tout content de lui. Les années passèrent et le foot resta sa passion numéro une. Il découvrit plus ou moins en même temps le célèbre manga japonais, Captain Tsubasa, et s'identifia rapidement à ses héros préférés. Ce n'est qu'en 1995, lors un voyage d'affaire à Tokyo avec son père, que celui ci le fit entrer quelques jours à la Tokyo Gas Academy, une école privé rattaché au club de football de Tokyo, le Tokyo Gas FC. A tout juste 6 ans, il allait à l'école avec des jeunes garçons tout aussi passionné de foot que lui, pendant que papa passait ses journées au travail. C'est en apprenant de la bouche d'un des coachs de l'équipe que Junji avait un talent fou et qu'avec le temps, il deviendrait un des futurs génies du football japonais, que son père réalisa que son fils avait de l'avenir dans ce sport. La petite famille déménagea donc vers la capitale nippone, et Junji continua ses études dans cette école, jusqu'en 1998 et à ses 9 ans. En effet, c'est à cette date là que le club de Tokyo devint professionnel et fut renommé en FC Tokyo, afin de faire concurrence à l'autre club de la capital, le Tokyo Verdy. C'est donc à 9 ans que Junji intégra le centre de formation du club de la capitale, ou il devint le leader incontestable de l'équipe. Il remporta cette année là tout les trophées juniors existant, qu'ils soient collectif ou personnels. Il acquis rapidement de surnom de "Kami no ko", l'"Enfant de dieu". Alors qu'on lui promettait un avenir radieux au sein du club, et surtout, que des rumeurs l'annonçait, à 12 ans, comme futur joueur de l'équipe A, il quitta le pays suite à une mutation de ses parents, son père étant devenu président de la branche spécialisé dans la robotique de Sony, et sa mère étant devenue directrice adjointe de Sony Music Entertainment. Ils quittèrent Tokyo pour la Californie et plus précisément Malibu. Junji intégra quasiment instantanément le centre de formation des Los Angeles Galaxy, grâce à l'excellente publicité que lui avaient fait les divers émissaires japonais en amérique du nord. Durant 4 saisons, il cotoya les divers joueurs américains de l'équipe pro et devint l'une des pièces maîtresse de l'équipe junior.

Alors qu'une place de titulaire lui était promise, contre toute attente, Junji quitta les USA pour l'Angleterre et le club de Charlton. Ce transfert fut le plus gros transferts pour un club de Football League One. Le président du club dépensa 5,000,000£ pour acquérir le jeune joueur. Et ce fut un choix payant !
A l'issu de la première saison, Junji termina meilleur buteur du club et permis à ce dernier de devenir champion de FLO. La saison suivante fut beaucoup plus difficile, Charlton terminant à la dernière place du championnat, et cela malgré les performances de Junji, terminant meilleur joueur de son équipe, et parmi les meilleurs buteurs du championnat. Lors de sa 18ème année, Junji termina champion de FLO de nouveau, s'adjugeant par la même occasion le titre de meilleur buteur. Alors que des clubs comme Sunderland ou le FC Valence était intéressés par les talents du jeune japonnais, c'est en France et plus particulièrement à Bastia que Junji décolla. Durant l'été, il parti en Afrique pour participer à la Coupe du monde des moins de 20 ans avec le Japon, et contre toute attente, le Japon remporta la compétition, sortant l'Uruguay de Cavani et Suarez en poule, et éliminant consécutivement le Brésil de Pato et Marcelo, l'Espagne de Piqué et Mata et l'Argentine d'Aguero et Di Maria en finale de la compétition. Junji termina meilleur buteur ex-æquo avec l'argentin Sergio Aguero. Junji fut directement à la suite de ce match, intégré à l'effectif A du Japon en guise de remplaçant qui participerait à la Coupe d'Asie. Le Japon décevra l'Asie, terminant à une pénible 3eme place, ce faisant éliminer par l'Iran en demi Finale, mais éliminant les rivaux Coréens pour la 3eme place, aux tirs aux buts.

Avec Bastia, au côté de joueurs comme Boris Bazarhyuchenko, Kenny McShane, Kiara Marques ou Ana Bodiroga, il forma avec Boris et Ana une attaque de tonnerre, s'adjugeant en une année une Coupe de France, en battant le PSG en finale sur le score de 4 à 2 avec un doublé de Boris et Junji, ou encore une Europa League, contre Liverpool sur le score de 2 à 1 sur des buts de Boris et Junji. Une saison après, il rejoignit l'Italie et la Lazio de Rome, en compagnie de Kenny McShane, sous les directives de Robby Gnole, le président de Bastia puis de la Lazio. Pour la seconde fois consécutive, Junji remporta l'Europa League avec cette fois ci la Lazio de Rome, en battant en finale les espagnols de Seville. L'année 2010-2011 sera de nouveau l'année de la Lazio, qui remporta la Série A et la Coupe d'Italie. L'année suivante, après le départ de nombreux cadres, la Lazio vécu une saison difficile, frôlant la relégation, et cela malgré une finale de Champions Leagues, perdu aux tirs au buts face aux anglais de Chelsea. Junji ratera l'ultime pénalty, en glissant, à l'image de John Terry quelques années auparavant. En même temps, durant la Coupe du Monde 2010, le Japon échouera en Quart de Finale face aux Pays-Bas. Suite à des soucis financiers de la Lazio, Junji quitta le navire romains pour rejoindre les Galactiques du Real de Madrid pour un montant de 34,000,000€. Il rejoignit par la même occasion des joueurs comme Aguero, Cristiano Ronaldo, Pato ou Iker Casillas qui étaient les tauliers de Madrid. Après une première année difficile d'adaptation, n'étant que la doublure de Pato, il finira par lui prendre sa place après la victoire en Coupe du Roi contre le FC Barcelone, ou jouaient ses anciens coéquipiers Boris et Ana. En parallèle avec l'équipe du Japon, Junji devint le nouveau capitaine, et aida l'équipe à remporter la Coupe d'Asie des Nations 2011, en écrasant les australiens en finale sur le score de 5/0 avec un triplé de Junji. Sa seconde année avec le Real verra le couronnement des Merengues après un championnat sans la moindre lutte et surtout, avec une victoire en Ligue des Champions en battant les italiens du Milan AC, avec un seul et unique but de Junji.

Côté vie privée, Junji enchaina les petites amies, sortant tout d'abord avec la fille d'un des dirigeants de Charlton, puis avec la Miss Belgique, Alizée Poulicek, l'actrice Eliza Dushku, les chanteuses Miley Cyrus ainsi qu'Hilary Duff et le mannequin américain Lily Aldridge avec qui il aura une petite Abby. Mais c'est en 2013, qu'il épousa Demi Lovato, une jeune chanteuse et actrice américaine, avec qui il aura trois enfants, les jumelles Lexie et Olivia, et le petit Ben.

Mais la carrière de Junji bascula peu de temps après. Alors qu'il était de retour de la Coupe du Monde au Brésil après avoir été éliminé dans les poules à cause de l'humiliation que la Chine infligea aux Italiens ( 6-1 ) ( les Japonais furent éliminé à cause du goal average ... ), Junji retourna à Madrid avec sa femme, avec qui il venait d'avoir son troisième enfant. Alors qu'ils allaient chercher leurs enfants chez des amis de la famille, la Ferrari de Junji fut percuté sur l'aile droite par la voiture d'une vieille dame ayant fait un malaise. Après avoir fait une série de tonneau, la Ferrari s'immobilisa en contre bas, dans un fossé. Le verdict fut sans appel. Junji se brisa les deux bras et reçu un énorme choc au niveau de la tête tandis et sa compagne décéda sur le coup, éventrée par de la tôle. Un mois après, son ancien coéquipier de Bastia, Boris Bazarhyuchenko, sera victime d'un accident similaire ... La presse qualifiera les deux accidents de "Malédiction bastiaise".

Les jours qui suivirent furent difficile pour Junji, car il fut amnésique pendant les premiers jours, ne se souvenant même plus de son nom. Lorsqu'il retrouva peu à peu ses esprits, il apprit que sa femme n'avait pas eu la chance de survivre à l'accident, décédant sur le coup. Étant une chanteuse populaire aux Etats-Unis, l'enterrement fut particulièrement médiatisé, et qui dit média, dit rumeur. Les premières rumeurs furent celle sur les causes du décès de la jeune chanteuse. En effet, pour beaucoup, tout était prémédité, car la jeune fille avait à sa tête plusieurs millions de dollars, qui revenait donc à Junji. Pour couper court à toutes les rumeurs qui tournaient autour de lui, Junji divisa l'argent en 3, et les déposa sur les comptes en banque de ses 3 enfants, qui hériteraient de l'argent de leur mère dès qu'ils en auront l'âge. Junji sombra dans la dépression, restant enfermés dans sa chambre d'hôpital, allongé sur son lit. Pendant 6 mois, aucuns mots ne sortit de sa bouche et cela malgré tout les efforts de toute sa famille. Ses beau-parents, ses parents, ses amis proches, et même ses enfants, aucun ne lui fit ouvrir la bouche. C'était la fin d'un des plus grands joueurs que le Japon avait pu connaître.

Ce n'est qu'au mois d'Avril 2015 qu'il recommença à parler, et plus exactement, le jour de son anniversaire de mariage ... Il retourna vivre chez lui, à Madrid, en compagnie de ses parents et des beaux-parents, qui ne voulaient pas le laisser seul, mais aussi avec ses enfants. Ses amis les plus proches, David Beckham, qui était son témoin de mariage, Frank Lampard, qui juste après sa retraite était devenu l'agent de Junji, Iker Casillas et Cristiano Ronaldo ses coéquipiers du Real, ou encore Keisuke Honda et Mu Kanazaki, ses coéquipiers en sélection nationale, l'encouragèrent à reprendre le football, qu'il avait totalement laissé tombé. Le Real de Madrid était prêt à le reprendre, et des clubs tels que Milan AC ou la Juventus étaient prêt à le faire signer. Cependant, contre toute attente, Junji refusa toutes les offres qu'il reçu, préférant tirer un trait sur le football. Il quitta l'Espagne pour la maison qu'il avait acheté avec sa compagne quelques temps après qu'ils se soient mis ensemble. La villa était dans les hauteurs de Los Angeles, est était habité par ses parents pendant qu'il était en Espagne.

Contre toutes attente, alors que Junji avait officiellement annoncé sa retraite, ce dernier revint sur ses paroles. En effet, après discutions avec son agent, Mr Lampard lui proposa une place de joueur dans un tout nouveau club anglais de la toute nouvelle ville de Players-City. L'idée de reprendre le foot à un niveau amateur intéressa Junji. Car après tout, il avait quasiment déjà tout gagné ... Une coupe du monde ? Cela aurait été un beau rêve. Le ballon d'or ? Il termina second en 2013 juste derrière le Belge Lukaku. Et puis de toute façon, il n'attendait rien de sa carrière, donc pour jouer au foot, autant que cela soit dans un petit club. Et puis surtout l'Angleterre, c'était la terre de ses débuts ...

Bronx, New York... Mondialement connu pour être une terre dangereuse, rythmée par les gangs et les trafics. Berceau de la culture hip-hop, endroit dans lequel il est très difficile de se faire une place, de se faire un nom.

Marshall Matthews est né à New York, a toujours vécu au sein du Bronx. Son histoire commence vers la fin des années 90. Il est issu d'une famille pauvre, mère alcoolique, père absent. Durant sa scolarité Marshall se créer un personnage, un caractère. Il se fait passer une pour un gamin hargneux, insensible aux moqueries et aux douleurs. Il devient impulsif, violent, oubliant son personnage, laissant cet alter-ego s'emparer de lui. De ce fait il devient le souffre-douleur de sa classe, du quartier. Il se fait de nombreux ennemis et se fait souvent agresser en bas des bâtiments par plus vieux ou plus nombreux que lui. Plus le temps passe, plus Marshall est incontrôlable. Il abandonne les études, commence à traîner dans "des affaires" louches avec des gens peu fréquentables.
Rien ne peut plus sauver Marshall de ses démons, ayant détruits sa courte vie, ayant poussé sa mère à déménager le laissant seul dans un foyer d’accueil pour jeune en difficulté. Rien, excepté ce sport qu'il découvre durant son adolescence. Baseball, Football US, Basketball, qu'ils aillent se faire foutre. C'est le Soccer qui se démarque. Il passe désormais son temps libre à jouer, à s'entraîner, à frauder pour pouvoir regarder des matchs de pro'. Il en vient presque à oublier son passée, ses dures années scolaires, ses terribles penchants pour la violence, pour l'interdit.
Seulement les difficultés reviennent souvent au galop, surtout lorsqu'on est instable comme Marshall. Centre de redressement pour mineur (à cause d'une sale histoire dont nous ne parlerons pas ici), problèmes avec la justice. Marshall fait un choix, décide de changer de vie.
Désormais, sa vie sera rythmée par le Soccer. Il récupère l'argent qu'il a su mettre de côté et décide de s'envoler pour l'Europe. Abandonnant le Bronx, abandonnant ses foyers d'accueils, abandonnant ses racines et ses origines... Abandonnant sa vie.

Marshall Matthews c'est l'histoire d'un jeune impulsif, violent, souffre-douleur dans sa jeunesse qui décide de quitter son pays, sa terre natale, pour aller vivre de sa passion. Marshall Matthews, futur bad boy du football mondial. Ça sonne bien non ? Quel club osera recruter un jeune homme à problème comme lui ? A tenter sa chance, à essayer d'en faire quelque chose ? Démarrons maintenant un nouveau chapitre de son histoire. Fuck that shit.

Sa carrière débute à la Roma en équipe jeune, il y évoluera 5 saisons, il rejoint ensuite Fulham en premier league avant de signer à Manchester City un an plus tard. En 2029, il rejoint l'Olympique de Marseille, l'histoire de sa vie. Il passera dix ans à l'OM, trustant 5 Coupes de France, 3 Ligue 1, une ligue des champions. Il deviendra également le meilleur buteur de l'histoire du club délogeant le record que l'on pensait inatteignable dans le football moderne de Gunnar Anderson.

Avec les Etats-Unis, il remportera deux Gold Cup.

D'un point de vue individuel, il donnera l'impression d'être souvent snobé par les récompenses et on notera simplement une troisième place au ballon d'or 2033.

Il sera marié à Kacey Price, rencontré durant ses jeunes années.

D'abord connu pour ses frasques, son transfert à l'OM le métamorphosera, devenu leadeur et capitaine, il sera, pendant presque dix ans, l'âme et de cette équipe dont il est devenu une légende.

Je laisserais bien Charlie raconter son histoire, mais vous auriez un ramassis de ses soi-disant ‘’exploits’’. Je vais plutôt vous raconter ce qui se raconte. Charlie est né à Birmingham en Angleterre.  Il habitait avec sa mère dans un quartier assez pauvre de la ville dans un genre d’appartement contiguë fait pour seulement une personne.  Vous vous demandez où est le père, nous y reviendrons plus tard. Jusqu’à ses 10-12 ans, Charlie est un gamin bien ordinaire, il joue au foot les week-ends comme les autres gamins, il va à la petite école, il n’est pas le meilleur, mais il n’est pas le pire non plus. À 12 ans, il rencontre John, il autre gamin du voisinage. John est comment dire… un petit fils de ****. Vol dans les commerces locaux, graffitis sur les murs du quartier et plein d’autres petits méfaits qui ne méritent pas d’être révélés. Avec une mère à deux boulots et un père absents, un gamin de 12 ans se trouve quelque chose à faire après l’école. Commence à trainer le soir dehors avec John, rencontre des ados plus âgés du quartier. L’escalade est rapide, en passant des vols de bonbons aux gravures dans les cabines de téléphones, il arrive vite aux vols de sac à main et aux carreaux cassés à la gare de train. 3 écoles plus tard et des suspensions partout dans la ville, sa mère n’a pas d’autres choix que de l’envoyer au loin. Elle ne peut pas le garder en ville, il commençait à voir des gens peu fréquentables. Elle agit aussitôt et lui prit un train direct chez son père, jusque-là un complet inconnu. Direction Belfast en Irlande du Nord juste à temps pour ses 13 ans. Rencontre désastreuse entre lui et son père, un militaire stricte aux manières assez physiques. Les premières semaines, Charlie fait profil bas, il va à l’école, fait ses trucs et ne fait pas chier son père. Arriva ce qui devait arriver, après être arrivé en retard il s’engueule avec son père, qui le frappe. Charlie répond avec une droite au visage de son père, il commence à tout péter dans la salle à manger et fou le camp illico de la maison. Il trouve refuge dans une usine abandonné avec des membres d’un groupe, il disait s’appeler l’IRA, mais Charlie n’en avait rien à foutre. Il voulait rester au chaud pendant sa fugue, c’était quand même l’hiver dehors. Quelques jours après, il décide de rentrer, mort de faim. Son père l’attendait avec une lettre, celle de son inscription à l’école militaire pour l’été. C’était terminé cette attitude de faux gangster, c’était le temps de devenir un homme, un vrai. Vous comprenez que Charlie n’aurait jamais mis les pieds là-bas. Il avait tout de même compris qu’il était peut-être un peu trop jeune pour être seul. Après quelques jours de réflexion et de profil bas avec son père, il vient à la conclusion qu’il ne lui reste qu’une seule option, le foot. Il sait qu’il a du talent, il était le meilleur du quartier à Birmingham et personne ne lui fait peur sur un terrain. Suffit de trouver le moyen d’entrer dans un de ses clubs avec un centre de formation pour les jeunes. Linfield FC, le meilleur club de la ville selon les vieux du quartier. Impossible d’y entrer sans avoir été détecté auparavant. Seul moyen pour Charlie d’avoir un coup de main, c’est par les gars qui étaient dans cette vieille usine, ceux qui était dans ce groupe d’indépendance du pays. Charlie n’avait vraisemblablement aucune idée à qui il avait demandé une faveur. Bizarrement trop facilement, Charlie reçoit une invitation à faire un essai avec les U14 du club. 1 ou 2 bagarres, quelques tacles salauds et surtout quelques buts plus tard, le coach aime bien le petit Fowler. Ce genre de caractère est rare à cet âge et le coach croyait bien être capable de canaliser le petit. Avant d’entrer à l’académie de Linfield, il a besoin de l’accord de son père. Une belle négociation s’ensuit. Les termes sont claires, tu me fou à cette école militaire, je fou le camp et tu me revois plus ou sinon il me trouve dans un canal après une overdose. Tu me laisse aller jouer au foot et je reste pas trop loin dans le centre, parce qu’il était hors de question que Charlie soit sur le même toit que cet homme. Avec l’aide de sa mère, Charlie quitte pour l’académie et commence sa carrière de foot.

Les débuts sont pas mal, Charlie est loin d’être en forme, mais prend ses aises avec les autres. Il marque, il passe même! Son caractère bouillant le rattrape et il prend une belle collection de cartons rouges et de suspensions aussi. Un joueur bipolaire, le meilleur et le pire. En fin de saison à 14 ans, son coach le fou dehors et il est envoyé avec les U16. Le coach pense pouvoir faire quelque chose avec lui. Avec des plus vieux, il devrait se calmer… non. Premier match, première bagarre générale à son compteur. Suspendu pour le reste de la saison, il est à la croisée des chemins. Le coach lui explique que c’est la fin de son aventure s’il ne change pas. À seulement 14 ans, il est encore à la charge de son père. Le coach lui fait comprendre qu’il doit changer, au moins jusqu’à sa majorité, après il pourra faire ce qu’il veut.

Une renaissance pour Charlie qui comprend de plus en plus la fine ligne entre leadership et sabotage. Une confiance qui s’accorde avec une nouvelle efficacité sur le terrain. Sans être extraordinaire, il se révèle être un leader né dans le vestiaire. Nommé capitaine à sa dernière saison U16, il trouve enfin son utilité. Il arrive en U18 avec l’étiquette de super sub. Il entre à 20 minutes de la fin, intense comme un cheval sauvage, il prend quelques buts, mais surtout des cartons. Cartons jaunes cette fois, il limite ses contacts pour jouer dans la tête de l’adversaire. Un maitre des mots avec les autres, il insulte du père à la mère de tous ses adversaires.
Arrive son passage U21, l’entre deux. Quelques apparitions pro en premier année. Il prend son rôle à cœur, insulter des vieux de 30 ans  et prendre des cartons sur des tacles qui font crier les foules. À ce moment, le goût de partir n’existe plus, mais le goût de sortir lui fait son apparition. Boîte de nuit, lendemain de vieille, un 20 an bien fêté, mais une saison noyée. L’équipe pro est championne et Charlie n’est même pas cité dans l’effectif, un coup dur qui pousse une première réflexion.

L’orgueil touché d’un gars comme Charlie fait des flammèches. Additionnez des entrainements à un début de saison catastrophique chez les pros, vous avez une entrée en scène parfaite pour un jeune de 21 ans. De super sub à titulaire, Charlie accumule les buts et les bons matchs. Son intensité est adulée et il devient vite la coqueluche du public. Loin d’être le meilleur marqueur de la ligue, il est celui de Linfield. Rien pour sauver la saison, mais quelque chose pour attirer quelques regards. Le jeune anglais bouillant est-il prêt pour un nouveau défi ?    

Charlie signe immédiatement avec la Lazio, puis rejoint le Stade Rennais en prêt pendant une année. De retour à Rome, il s'impose au sein de l'attaque en inscrivant 24 buts en 48 matchs. Il retrouve ensuite l'Angleterre en rejoignant Leicester City avec qui il restera une saison, puis signe à Seville, à la surprise générale. Deux ans à Seville pour s'imposer comme un des meilleurs attaquants d'Europe et c'est à ce moment, qu'il devient, une véritable star. Il signe ensuite au Real Madrid, dans ce club, il confirmera son statut, malgré un statut de supersub. Plusieurs titres dont une ligne des champions et le voilà qu'il s'exile en Major League Soccer pour boucler la boucle.

En dehors de ses performances, Charlie était un sacré personnage, toujours partant pour une bringue, il multiplie les coups d'éclats et fait régulièrement la une des tabloïds, comme la fois où, fêtant dignement son succès avec le Real Madrid, il est apparu totalement ivre avec la sélection nord-irlandaise, ou encore sa participation à l'émission de Télé-réalité du Bachelor.

Il s'engagera également sur Only Fan et montera une marque d'alcool. Tout en finissant sa carrière en roue libre avec une star du X. Il contribuera d'ailleurs, à de nombreux scandales via cette plateforme entre diffusion de films voulus et fuites d'images pas toujours contrôlés.

Alexandra Meier est une footballeuse allemande née le 3 juin 1999 à Gelsenkirchen, en Allemagne. Sa carrière professionnelle dans le monde du football est marquée par une série de succès et de transferts prestigieux.

Elle a débuté sa carrière en jouant pour l'équipe des moins de 21 ans du Borussia Dortmund entre 2015 et 2017, remportant le championnat U21 lors de la saison 2016-2017. Ce succès précoce a attiré l'attention des clubs européens, et en 2017-2018, elle est prêtée à Motherwell, en Écosse, pour acquérir de l'expérience.

Après son prêt en Écosse, Alexandra Meier a poursuivi son développement en France, où elle a été prêtée à l'AS Nancy pour la saison 2018-2019. Elle a continué à impressionner avec son talent et son engagement sur le terrain, ce qui a suscité l'intérêt du Chievo Verone en Italie, où elle a été prêtée de 2019 à 2021.

Finalement, en 2021, elle a réalisé son rêve en intégrant l'équipe première du Borussia Dortmund, le club qui l'avait formée. Elle a continué à briller en Allemagne, devenant une pièce essentielle de l'équipe.

En 2024, son talent a été récompensé par un transfert impressionnant à l'Inter Milan pour la somme de 72 millions d'euros. Elle a passé quatre saisons avec l'Inter, contribuant à renforcer leur équipe.

En 2028, Alexandra Meier a choisi de rejoindre le Paris Saint-Germain, où elle est devenue une figure emblématique du club. Elle a remporté le championnat de France de Ligue 1 en 2029-2030 et surtout, a joué un rôle majeur dans la victoire historique du PSG en Ligue des Champions lors de la saison 2030-2031.

Après cette victoire mémorable en Ligue des Champions, elle a rejoint le Chelsea FC lors du mercato d'été 2031 pour la somme de 80 millions d'euros, retrouvant ainsi son conjoint Kadson Sakurazaki.

Elle a joué pour Chelsea pendant trois saisons avant de faire un retour émouvant au Paris Saint-Germain en 2034, pour la somme de 20 millions d'euros, tout en devenant actionnaire minoritaire du club à hauteur de 20%. Elle a continué à exceller au PSG, remportant deux autres championnats de France, une Coupe de France et une deuxième Ligue des Champions.

En 2039, à l'aube de ses 40 ans, Alexandra Meier a décidé de mettre un terme à sa carrière de footballeuse, apprenant qu'elle était enceinte de son deuxième enfant. Elle a laissé derrière elle un héritage impressionnant dans le monde du football.

Au niveau international, elle a remporté la médaille d'or aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2020 et a représenté l'Allemagne en sélection pendant plus d'une décennie.

Dans sa vie personnelle, Alexandra Meier est en couple avec le footballeur japonais Kadson Sakurazaki, avec qui elle a eu deux enfants, dont Stefan Meier-Sakurazaki, né en 2025 à Milan, en Italie. Le deuxième enfant est attendu en 2040, mais le sexe reste encore une surprise. Alexandra Meier restera à jamais dans les mémoires comme l'une des grandes figures du football mondial.

L'avatar de Kenny illustre totalement ce personnage atypique d'origine irlandaise. Porté sur la bibine, les bastons dans les pubs, les gonzesses et tout ce qui est illustre le football britannique des années 80. Kenny c'était un condensé de tout ça coincé dans le cerveau d'un adolescent.

Une carrière sportive correct sans être exceptionnelle mais une volonté de se nuire à mesure que son talent grandissait qui n'aura aucun égale. Le nombre de suspension, son coma au mariage de Boris ou encore ses nombreuses bagarres aux sorties de pub.

Kenny c'était tout ça, un condensé de folie, de naïveté, de débilité, de frasques totalement délirante dans le corps d'un footballeur au talent gâché.

Repéré par le Dinamo Zagreb à l'âge de 14 ans, alors qu'il jouait en classe d'âges à Zaprešić, Jovan le sera plus tard par le club français de Sedan alors qu'il s'était rendu en France pour un tournoi U21 international dans l'Est de l'Hexagone, avec le club le plus titré de Croatie. Contracté par les Sangliers, le joueur a autant de mal à s'affirmer que l'équipe qui manque à plusieurs reprises la montée en Ligue 2. Mais tout effort finit un jour par payer, et le club décroche enfin cette promotion qui lui tendait les bras depuis plusieurs saisons. C'est alors que le club anglais de Newcastle entre dans la danse et montre son intérêt pour les deux jeunes pousses que sont Jovan et son indissociable coéquipier et gardien mexicain Diego Larcia. Le tandem cède à l'appel de la sirène sur le Tyne et les deux joueurs démontrent à leur tour l'excellent flair des Magpies avec qui la collecte est pour ainsi dire optimale: leur domination sur le championnat anglais soufre de peu de contestation. Newcastle United est à deux doigts de jouer une finale de Ligue des Champions, mais finit par s'incliner pour un rien face à la Juventus de Turin en demi finale. Les années passent, le bonheur semble rythmer le quotidien de Jovan qui file désormais le parfait idylle avec Nives Oresnik, ancienne miss Slovénie de six ans son aînée. Si en apparences, tout paraît radieux, la situation est loin d'être telle à l'aube de la saison 2025-2026.

Avouant la difficulté à supporter le départ de Diego Larcia en SupraLiga, Jovan reste plus silencieux sur la cession de Joanna Fitzgerald au Shakthar Donetsk qui semblerait avoir pesé de manière conséquente sur ses agissements futurs: certaines rumeurs à leur égard s'attardaient sur une relation naissante et des "disputes de couple". La rancoeur mine fortement le caractère changeant de Jovan, lassé de décisions arbitrales et des instances anglaises de football. Bienvenue, la grossesse subite de Nives parviendra à la raisonner bien qu'il admettra plus tard avoir fait une grossière erreur en signant à Dortmund. En jaune et noir, Jovan remporte pourtant le titre. Pourtant, il se sent à l'étroit, mal dans sa peau, en Allemagne.

Il se rapproche alors de son pays pour porter le maillot de la Juventus de Turin après avoir longuement hésité à rejoindre son ami Larcia dans une ligue ibère où Villarreal le sollicitait. L'Italie fut le terrain de son nouveau jeu: flirter les adolescentes.

Après avoir glané des titres, conquis plusieurs ligues - une troisième avec la Serie A -, plus rien ne lui tente sur le plan sportif. Sa femme et ses enfants en bas âge ne comptent plus tellement à ses yeux, et il part en chasse sans à priori sur ses proies. Tantôt à l'occasion d'un gala pour une association caritative, tantôt lors d'une simple sortie entre coéquipiers, son désir est simple: prouver qu'il peut encore plaire à de la chair fraiche, ainsi que combler la monotonie de son mariage. Il régule sa carrière sportive comme s'il gérait son agenda de PDG dans sa compagnie aérienne L&L Airways et signe pour le promu de l'AS Roma quand la crise de la trentaine bat son plein. Jovan perd complètement la maîtrise de la situation: ses infidélités ne sont plus passagères et ses avoeux de dopage lui coûteront énormément. Il perd sa lutte face au championnat italien dans ce nouveau scandale, et la Players lui inflige une suspension de 15 matches au moment même où sa secrétaire Karolina Siesztrzewitowski ne supporte plus la relation ambiguë qu'ils entretiennent. Nives commence également à lui tourner le dos, et tout un monde finit par s'écrouler. L&L Airways ne parvient pas à décoller et stagne au niveau d'une petite entreprise à peine nationale.

Boucler la boucle, voilà l'idée qui germait dans l'esprit de Jovan au début du déclin. Retrouver son chez-soi et renouer avec ses origines, rare sujet qui n'aura jamais cessé de trotter dans la tête du désormais vétéran. Les rares jours où il ne pensait pas à Zagreb, durant ces quinze années passées loin de ses terres, ont pu se compter sur les doigts d'une seule main. Repartir depuis un point connu, après avoir connu les sommets puis vite touché le fond en l'espace de si peu de temps. La saison avec le Dinamo était celle du remerciement envers le club formateur pour avoir permis de découvrir toutes ces choses qui ont agrémenté sa carrière, même si elle fut teintée d'amertume et de ce désespoir de devoir continuer à vivre privé de ses enfants. Nives en avait obtenu la garde après la prononciation du divorce et était repartie temporairement vivre chez ses parents, le temps qu'elle rebondisse elle-aussi dans sa vie de chroniqueuse pour un mensuel italien de mode. La demi-saison à l'Inter fera surtout office de baroud d'honneur avant le point final.

Passé T2 de Zaprešić alors que le club luttait pour le maintien - qu'il obtiendra à l'avant dernière journée de championnat -, Jovan ne poursuivra pas davantage l'aventure de coach malgré avoir passé et réussi la première partie des examens théoriques. Depuis son retrait du monde sportif, Jovan passe la plupart de son temps enfermé dans son bureau de CEO, à s'occuper de sa compagnie aérienne. Personne ne l'a réellement vu retomber les pieds sur terre.

Né à Edimbourg, Liam Hutchinson baigne dans le football depuis toujours. Quoi de plus normal lorsqu'on est soi-même fils de footballeur ? Son père, attaquant rapide et doté d'une grosse frappe de balle aurait du faire les beaux jours du Celtic Glasgow et de la sélection d'Écosse mais n'avait jamais réussi à confirmer son potentiel avec l'équipe première. Laissé libre par le Celtic, il avait signé avec Hibernian alors qu'il s'apprêtait à devenir père à 20 ans seulement. Au niveau sportif lui qui marquait but sur but chez les jeunes ne réussissait pas à trouver le même rythme chez les pros et l'étiquette de "flop" arriva assez vite. Ce potentiel non confirmé, cette pression écrasante et cette sensation de décevoir tout le monde le porta rapidement vers la bouteille...

Ce n'est que plus tard dans sa vie qu'il découvrit qu'il souffrait d'anxiété. Cependant au milieu des années 2000, la sensibilisation quant à la santé mentale n'était vraiment pas l'apanage du monde du football...

Plus il buvait, plus son jeu et son corps en souffrait. Pas étonnant qu'il restait rarement plus d'une saison dans un club. Pendant 10 ans, il se promena régulièrement entre la Scottish Premiership, la Championship Anglaise et la League One. C'est à Millwall que Liam toucha ses premiers ballons à l'âge de 5 ans. D'abord attaquant comme papa, Liam se porta volontaire pour remplacer le gardien de but qui avait du quitter le club en raison d'un déménagement et y resta. Ce fut la seule stabilité dans la vie du jeune Liam puisqu'il devait suivre ses parents au rhytme des trop nombreux transferts de son paternel. Successivement Rotherham, Norwich, Peterborough, Nottingham Forrest et Motherwell accueillirent la petite famille.

Alors que Liam avait 10 ans, son père signa un contrat avec les Vancouver Whitecaps en MLS et la famille déménagea au Canada pour un nouveau départ...Plutôt réussi puisque le père cessa enfin de boire ! Liam intégra les équipes de jeunes mais retourna en Écosse à 12 ans après avoir été admis au centre de formation du Celtic Glasgow. Il y resta jusqu'à 16 ans avant de retourner à Vancouver. 2 saisons plus tard il signa un contrat professionnel avec les Whitecaps, jouant avec les U23 et agissant comme 3e gardien avec le groupe pro. Père et fils ne seraient cependant pas coéquipiers très longtemps. Le paternel fut soumis au waivers par les Whitecaps et réclamé par les Colorado Rapids. Les deux formations traînaient en fond de classement à l'approche de la fin de la saison et de la carrière du père. Heureux hasard, les Whitecaps allaient recevoir la visite des Rapids...Histoire de tenter de remplir le stade, les dirigeants eurent l'idée de titulariser Liam contre son père.

Le premier match professionnel de Liam Hutchinson prit fin sur une défaite de 1-0 et encaissa son premier but aux mains...de son père ! Le paternel prit sa retraite en fin de saison et intégra le front office des Rapids en tant que recruteur et devint également l'agent de Liam.

Liam continua son petit bonhomme de chemin à Vancouver et devint titulaire. Soir après soir il se débattait comme un diable dans l'eau bénite afin de sauver les meubles de la pire équipe de la ligue. Deux fois il fut nommé meilleur gardien de la MLS et sa fougue et sa combativité commencait à attirer des clubs européens.

En 2024 il signa à Liverpool et y demeurera 4 ans, récoltant au passage un titre de champions de Premier League, une Ligue des Champions et une Coupe du Monde des clubs. Cependant le jeune Écossais eut beaucoup de mal à gérer la pression d'être le gardien titulaire d'un des plus grands clubs d'Europe. Il connut une véritable descente aux enfers sur le plan personnel et comme son paternel, utilisera la bouteille pour gérer ses problèmes. Au bord d'une véritable dépression nerveuse, il quitta Liverpool en 2028 pour le soleil espagnol à Villareal.

Là bas, il fut un rouage important d'un ambitieux projet du club espagnol. Les dirigeants semblaient avoir des finances illimités et entreprirent un énorme recrutement. Si le club termina 6e du championnat, il cueillit la Copa del Rey. Les finances du club étant un peu trop opaques, Liam décida de quitter le club avant que la police et le fisc espagnol n'y débarque...

Ayant pris goût au soleil, Liam s'engagea avec l'Olympique de Marseille et fit la rencontre de Marshall Matthews, lui aussi nouvelle recrue du club. Les deux joueurs devinrent rapidement amis et menèrent l'OM vers les sommets, cueillant au passage deux Coupe de France et surtout une Ligue des Champions qui eut un gout amer pour Liam. Le gardien frôla la mort suite à une à une collision avec Joe Walterman de Chelsea durant la finale. L'Écossais dut subir une opération d'urgence au cerveau dont il ne se remit jamais tout à fait. Néanmoins durant ses années marseillaises il fit la rencontre d'une actrice américains venue sur la canebière pour un tournage qui devint sa femme et la mère de ses deux enfants. Au niveau sportif, le club était absolument incapable de remporter le championnat et échouait toujours en fin de saison. Commencant à trouver que les Américains en menaient trop large au club et que certains joueurs étaient titularisés en fonction de leur passeport et non pas de leurs aptitudes, le vestiaire se divisa en 2 clans. Les mécontents et les Américains...Certains joueurs quittèrent le club, d'autres choisirent la retraite. Pour Liam, le bouquet final fut le dernier match de la saison. Blessé depuis la 16e journée et sachant sa campagne terminée, il avait milité pour que son remplacant soit Sacha Mandanda, alors 3e gardien de l'effectif, plus apte selon lui, que le 2e, l'américian JT Marcinkowski. Le club allait affronter le FC Nantes déjà promis à la relégation et n'avait besoin que d'une victoire pour s'emparer du titre. À la grande déception de Liam, l'entraîneure Megan Rapinoe choisit Marcinkowski et le cerbère Américain offrit une performance plus que lamentable, se faisant expulser bêtement et offrit la victoire aux Nantais sur penalty. Adieu le titre et...Adieu l'OM ! Liam critiqua vertement ses dirigeants sur les réseaux sociaux et ne se fit pas prier pour disparaître du club. Il signa avec la Fiorentina.

Cette épopée Italienne commença dans la tourmente. Le club mit également sous contrat le défenseur islandais Leif Odinson, jeune retraité de Liverpool. Le club anglais porta plainte devant la Players accusant le club et le joueur d'avoir comploté afin d'acquérir le joueur sans payer d'indemnité aux reds. Le club florentin était menacé d'être rétrogradé en Serie B ! Finalement le transfert du défenseur fut annulé et tout finit bien. Une chance, puisque l'équipe domina outrageusement le championnat italien, le remportant à 2 reprises. Usé par les blessures, le corps de Liam commençait à le lâcher et il sentait la fin de sa carrière arriver. Pour préparer la transition il fit l'acquisition de la majorité des actions du Hibernian FC et y entreprit la dernière saison de sa carrière.

Premier joueur/propriétaire d'un club de Première Division, Liam joua une saison correcte sans plus. Plus pris par la gestion que par les cages qu'il devait défendre. Il ne finit même pas la saison, une collision accidentelle durant un entraînement lui donna une énième commotion cérébrale et à 34 ans, il décida de prendre sa retraite et de privilégier sa santé à long terme.

Fin de carrière :
D'abord joueur-propriétaire du Hibernian FC, il finit par acquérir toutes les actions du club et d'en devenir le seul dirigeant. Installé à Edimbourg, il coule des jours heureux en compagnie de sa femme et de ses 2 enfants. L'aîné maintenant âgé de 6 ans semble posséder l'instinct du but de son grand-père...Dynastie famililale à prévoir ?

Christopher est né à Cannes, le 14 Juillet 1993. Il est l'aîné d'une fratrie de quatre enfants. Très vite, il se passionne pour le football et joue dans le club de son quartier avant d'intégrer le centre de formation de l'AS Cannes, son club de coeur. Evoluant au poste de buteur, il rencontre Jan Koller qui deviendra l'un de ses mentors. C'est à 17 ans que Christopher commence sa carrière au Nîmes Olympique, en même temps que Genzô Tsubasa qui deviendra l'un de ses meilleurs amis.

Un an plus tard, Chris' revient à l'AS Cannes et participe à la montée du club en Ligue 2 sous la houlette de son mentor, Jan Koller, et aux côtés de Didi Diakhaté, jeune milieu sud-africain. Trois ans après son arrivée, Chris rejoint l'Olympique de Marseille et habite en collocation avec Yelena Molkinoranova et Pepe Joya, ce qui rapprochera le trio. C'est à Marseille que Christopher est sélectionné pour la première fois en Equipe de France pour l'EURO 2016 en France où il est réserviste. Il jouera un bout de match et les Bleus termineront à la seconde place, après une défaite cruelle en finale.

Le jeune footballeur fait des émules en Ligue 2 puis Ligue 1 avec l'OM et se fait repérer par le FC Barcelone qui lui fait une offre qu'il ne peut pas refuser. Il s'envole donc pour la Catalogne et quitte la France après neuf ans passés à fouler les pelouse de l'Hexagone. Les débuts barcelonais sont rudes, mais petit à petit, Christopher se fait sa place dans l'équipe et améliore son statut.

Alors en pleine gloire au Barça, il disparaît mystérieusement après un EURO raté avec la France. Un groupe mafieux menace et fait chanter Christopher depuis un moment, impactant directement ses performances sur le terrain. Il s'envole alors pour l'Amérique Latine avec son cousin Joaquin qui l'aide à changer de peau. Il deviendra TJ Andrews, buteur sud-africain, et se fera recruter par Barcelone. Il passe une saison moralement difficile, sans voir sa femme, Yelena ni ses enfants, tout en tentant de démanteler le réseau mafieux avec l'aide de son agent corse, Mathéo Cesari. Tout s'achève enfin durant l'été et TJ peut enfin redevenir Christopher et faire face à ses responsabilités.

Au Barça depuis cinq an, Manchester United, son club anglais préféré, vient toquer à la porte pour lui offrir un contrat qu'il ne peut tout simplement pas refuser. Il s'envole, égoïstement, vers l'Angleterre où il trouvera pendant quatre ans une seconde jeunesse sur les pelouses britanniques.

La vie privée de Chris' n'a jamais été simple. En 2012, alors qu'il poursuit sa première saison à Cannes, il apprend qu'il n'est pas le fils d'Eduardo Esperanza mais celui de Steve Savidan, illustre joueur du championnat français, ayant notamment fait les beaux jours de Valenciennes. Il se découvre une nouvelle famille, tandis qu'il commence à fonder la sienne avec Emily Tsubasa, la soeur de Genzô, son premier amour. Ensemble, ils eurent un fils, Zack, né à Cannes en 2014, et qui deviendra lui-même footballeur par la suite. Emily mourra deux ans plus tard, dans un tragique attentat aux Etats-Unis, laissant un Christopher rongé par la culpabilité, lui qui avait commis l'irréparable en la trompant avec Yelena Molkinoranova. Il lui faudra du temps pour s'en remettre, se coupant totalement de la famille Tsubasa, et la blessure ne guérira jamais véritablement. Il se reconstruit auprès de Yelena, et Pepe Joya, celui qui deviendra comme un frère pour lui. De leur acte de folie quelques mois plus tôt, arrive une petite fille, qui sera nommé Emily en hommage à Emily Tsubasa. Plus tard, en 2022, naissent des triplés : Elena, Aurélia et Mathéo.

En dehors du football, Christopher monte Saviza Sport avec ses frères, une marque de vêtements sportswear qui trouvera son succès et dont William Black, footballeur, sera l'un des ambassadeurs.

La fin de carrière de Christopher se fait tout naturellement, en terminant son contrat à Manchester United et quittant la sélection française en beauté avec la victoire à l'EURO 2028. Homme de défi, il accepte de devenir coach des U17 de Manchester United pour une première expérience de l'autre côté de la pelouse. Les débuts sont concluants et on lui propose alors un poste d'adjoint de l'équipe première mais Christopher rentre chez lui, dans sa ville natale, pour entraîner l'AS Cannes, son club formateur. Il parvient à faire remporter une Coupe de France au club et à améliorer l'équipe pour lui donner une nouvelle envergure. Cependant, à la suite d'un accident de la route qui laisse son plus jeune fils, Mathéo, aveugle, Christopher prend définitivement sa retraite afin de se consacrer entièrement à son fils et au reste de sa famille.

[Extrait Hall of Fame]

Allan Best (ft. Georges Best) était un défenseur prometteur, mais pas qu'un peu. Rapidement confirmé, il est devenu un des joueurs emblématiques de sa génération. Véritable meneur d'homme, et élégant balle au pied, il a formé à Chelsea l'une des défenses les plus perméables de Premier League et tenté de porter l'EIRE au sommet de l'Europe, même si cet espoir, il ne l'a jamais atteint.

Personnage atypique et porté sur la bibine comme tout bon irlandais, le joueur ne manquait pas de faire parler de lui dans de nombreux périples incroyables ou d'humilier sa meilleur victime, Pierrot Daganot. Auteur des moments de RP parmi les plus mémorables de l'histoire de Players, parfois associé à Brobby Brobb qu'il a côtoyé en club. Allan a arrêté sa carrière du jour au lendemain, mais sans nul doute que son apport dans le développement des RP et des personnages les plus atypiques a été un des illustres personnages de Players.

On dit souvent que ce sont les parcours atypiques qui forgent les légendes, ce rude gaillard de 1m95 pour 90kg en est l'exemple parfait. A 16 ans il débarque à Orléans en CFA, petite ville du centre de la France, aux cotés d'un certain Francesco Piatoni. Le succès est immédiat, Orléans caracole en tête de la division amateur et termine champion, plébiscité en équipe-type et nommé parmi les meilleurs joueurs de la division, Kevin Marquet est transféré avec son compère Francesco Piatoni à Sochaux alors tout juste promu en Ligue 2. A Sochaux le succès sera là encore au rendez-vous, déjouant tous les pronostiques le club doubistes enfilent les succès comme des perles menés à la baguette par le duo venu d'Orléans tout juste âgé de 17 ans. Franco-Belge, Kevin Marquet (ft. Laurent Blanc puis Daniel Van Buyten puis Vin Diesel) est rapidement convoqué avec les U19 français le temps de quelques matchs, et c'est à Sochaux d'ailleurs qu'il croisera pour la première fois la route du sulfureux Bobby Bobb transféré en hiver depuis Nantes. La deuxième partie de saison verra Sochaux terminer à la surprise générale champion de Ligue 2. La côte du jeune français explose, et dans la foulée Manchester City, petit club au budget modeste tout juste promu en Premier League arrache le package Marquet - Bobb pour quelques millions d'€uros.

La première saison en Angleterre sera phénoménal pour le duo, enchainant les excellents matchs, ils portent tous deux à bout de bras ce petit club anglais et lui permette de terminer à la troisième place de la Premier League, mieux encore avec un surprenant titre de FA Cup en poche. Il n'en fallait pas plus pour voir alors Chelsea racheter le duo à leurs homologues citizens et voir le sélectionneur Belge convoqué pour la première fois le solide libéro.

A Chelsea l'aventure tournera court, bousculé par Carvalho à l'entraînement que Mourinho lui préférera pendant que son compère et ami Bobby Bobb enchainera les buts, Kevin Marquet rentrera au clash avec son entraineur pour exiger un départ. Après pas mal de tâtonnement le joueur est finalement prêté à Seville en janvier pour six mois qui lui permette de retrouver le plaisir des terrains et le gout au football. De retour à Chelsea, the special one lui fait comprendre qu'il ne compte pas sur lui, poussé vers la sortie, il rejoint d'abord l'AS Roma en prêt avant de finalement rejoindre, un an plus tard, Manchester United désireux de trouver un successeur à Rio Ferdinand l'engage pour une poignée de millions d'€uros et réalise ce qui sera pour beaucoup l'un des plus jolie coup de cet été.

Sous les ordres de Sir Alex Ferguson le géant libéro explosera, formant un duo redoutable avec Nemanja Vidic, il mettra tout le monde d'accord et sera rapidement élu meilleur défenseur de la division et régulièrement nommé en équipe-type et parmi les meilleurs joueurs. Et trois ans après son arrivée, le départ à la retraite de Sir Alex Ferguson remplacé par Paul Scholes le propulsera même capitaine. Capitaine au coté d'un nouveau joueur en devenir, Robert Herbin qui vient remplacer Vidic qui commence à re-sentir le poids de l'age. Les deux années suivantes seront une main-mise totale de Manchester United sur le reste de l'Europe, deux ligue des champions et deux titres de Premier League. Nominé au ballon d'or trois années de suite, il sera systématiquement doublé par son ami Bobby Bobb dans la conquête de ce trophée. Durant cette période mancunienne, il se pris même le bec avec l'autre star de l'équipe Cristiano Ronaldo, obligeant le portugais à quitter les Reds Devils pour rejoindre le Real Madrid, déçus le portugais gardera un souvenir amer de sa fin d'aventure à Manchester avec une sévère blessure suite à un tacle du "Grand Manitou" à l'entraînement qui l'éloignera presque 6 mois des terrains. Après 5 années de bons et loyaux services, l’idole de Manchester United décide de quitter le club dans la pleine force de l'age et rejoint le grand Milan AC.

Au Milan AC, la première saison est timide dans une équipe en pleine reconstruction, la deuxième saison marquera l'arrivée au club de Robert Herbin, qui décidément le suit partout, la fameuse charnière recomposée, le club trustera les sommets européens cumulant deux Ligues des Champions. Mais après trois saisons et sentant doucement le poids de l'age commencer à faire son effet, Kevin quitte le club Milanais où il était devenu capitaine depuis une saison pour rejoindre pour le plus gros transfert de l'histoire pour un défenseur (à plus de 60M€) le Real Madrid.

Le transfert au Real Madrid sera pour Kevin, le plus grand mauvais choix de sa carrière, là-bas il retrouve Cristiano Ronaldo, mais aussi José Mourinho qui ne comptait pas sur lui quelques années plus tôt à Chelsea. Imposant et décisif, si les jambes continuaient d'assurer, la tête ne suivaient plus, devenant addicte aux médicaments, il mettra fin à sa carrière à la stupeur général un an après sa signature au Real Madrid malgré une dernière tentative des Reds Devils de le faire revenir...

Depuis l'explosion de sa carrière, il s'est rapidement mis en couple avec Alessandra Ambrosio la top modèle Brésilienne pourtant de plusieurs années son ainée, avec qui il eu plusieurs enfants, et réussit un grandiose mariage durant lequel l'ensemble des Players étaient de la fête, mais son départ de Milan lui coutera son couple, et beaucoup estimeront qu'il ne se remis jamais vraiment de cette rupture et c'est ce qui le poussa à l'addiction pharmaceutique. Il fut très lié durant sa carrière à Bobby Bobb, Robert Herbin, Francesco Piatoni, trois joueurs réputés pour leurs déboires et leurs frasques extra-sportive, Marquet fera même l'objet de quelques affaires surtout au début de sa carrière. Dans sa nombreuse liste d'ami, on note aussi Jérome Leroy, Paul Scholes, Juliano Lotina, Carlos Juanito, Jérémy Gavanon avec qui il a débuté à Sochaux ou encore le monde de la mode de qui il était très proche.

Alors qu'il a tout gagné avec les clubs, sa plus grosse déception restera surement la sélection, d'abord convoqué chez les U19 Français, il intégrera rapidement les A Belges, barrés dans un premier temps par Vincent Kompany et Daniel Van Buyten, il poussa le sélectionneur Marc Wilmots à opter pour une défense à 3 qui fut considéré par beaucoup de spécialiste comme la "meilleur charnière de l'histoire" par beaucoup, cette équipe ne remportera cependant aucune compétition, échouant systématiquement en quart ou en demi finale. Son seul véritable fait d'arme restera des Jeux Olympiques remportés à l'époque par la Belgique. Dans une époque où l'on était libre de changer de nationalité en le justifiant, Kevin Marquet évoluera également pour la Sélection bretonne à la fin de sa carrière avant de rejoindre les Etats-Unis et son ami Bobby Bobb pour quelques matchs.

[extrait du Hall of Fame]

Un mystérieux entraînement du diable pour progresser et une folie sans limite. Apple était ce condensé de fou-rire, de folie et de démesure. A la neuvième place, comme son numéro, on retrouve l'attaquant fantasque de la V1. Auteur d'une honorable carrière en faisant parti de l'équipe Grenobloise qui a réussis de nombreux exploits, puis en rejoignant ensuite le FC Barcelone pour marquer une époque de sa présence.

Joueur souvent sous-estimé dans le jeu (en témoigne son arrivée sur la pointe des pieds en Catalogne malgré un bilan très satisfaisant dans la surprenante équipe grenobloise). Apple était un condensé de génie, de folie, flirté souvent de l'un à l'autre, se gavant de P'tits filous tubs, sa recette miracle pour performer.

Et surtout, Apple était l'inventaire des parenthèses dans les parenthèses (alors oui, vous vous demandez ce que c'est ? (Hé bien en voici une modeste illustration, (bien loin de ce dont était capable l'original ))).

Un grand joueur mais surtout un illustre personnage dans la lignée des plus grands Rpistes qu'a connu le forum.

La vie de Guy Cesco (ft. Josh Holloway) est atypique. Il ne s'agit pas seulement d'un footballeur ayant brillé sur le pré, mais d'un type un petit peu dérangé mentalement qui a eu le mérite d'assumer jusqu'au bout ses opinions. Les principales ? Un rejet absolu de toute forme de totalitarisme et de violence, mais aussi la prédominance de l'argent dans le milieu du ballon rond.
Il commence ainsi sa carrière à Vannes (où il saute deux entraînements par semaine car interné pour troubles psychologiques), en National. L'équipe monte en L2, mais Guy préfère continuer ses gammes en National. Il file à Boulogne sur Mer, d'abord sous forme de prêt puis dans le cadre d'un transfert définitif. Il passera cinq saisons à Boulogne en National. Les trois premières saisons, le club flirte avec la CFA et se maintient à deux reprises lors de la dernière journée, à chaque fois grâce à de grands matchs de Guy. La quatrième année sera la bonne, Boulogne finit 2ème et accède à la L2. Un maintien plus tard (se jouant à un point près), et Guy est prêt pour le grand saut. Lors de ses cinq saisons à Boulogne, Guy aura chaque fois été élu dans l'équipe type de la division.


Mais le quotidien de ces années-là, ce n'est pas que le terrain. Car Guy est fortement occupé sur une île, celle de Pâques, située au milieu du Pacifique. Nul ne sait vraiment pourquoi il s'est amouraché de cette île, il a fini par y trouver une femme, et surtout une raison de vivre : sauver cette île exploitée par les chiliens. Guy est convainquant et il parvient vite à mener une révolte pascuane. Les insulaires se font vite dégommer par les chiliens, mais la renommée de Guy permet au conflit d'être médiatisé et, comme bien souvent, le monde entier prend parti pour les plus faibles. Les Pascuans s'attirent la sympathie de l'ONU qui finit par décréter l'autonomie, puis l'indépendance de l'île. Guy en profite pour fonder la sélection nationale de football pascuane. Un suicide carriériste puisqu'il ne pourra, c'est une évidence, jamais jouer de Coupe du Monde avec une sélection puisant dans un réservoir d'à peine 150 individus. Guy est évidemment le capitaine de la sélection. Il a en effet choisi le football alors qu'on lui proposait le poste de président de l'île. Petit bidouillage : il réussira à faire de sa soeur, Minnie Cesco, la présidente, celle-ci devant renoncer à sa carrière de basketteuse professionnelle.

Pour près de 10M€, Guy passe de Boulogne à Chelsea. Si, en championnat, cette première expérience hors de France s'annonce décevante, le club remporte néanmoins la FA Cup, la première ligne du palmarès du pascuo-norvégien.

Pas rassasié, il signe l'année suivante au Real Madrid. Il n'y passera qu'une année mais remportera le titre de champion de SPL. Tranquillement. Avec six points d'avance sur le second, le Barca.

Puis, c'est la débandade. Minnie est capturée par un collectif de chiliens résistants. Guy part à sa recherche pendant quelques mois. Quand il la retrouve, Minnie est traumatisée, elle ne parle plus. Il passe une année à veiller sur elle et lui fait la promesse qu'il sera toujours à ses côtés. Il retrouve Minnie dès le lendemain, morte. Le suicide de sa soeur, Guy se l'explique de la manière suivante : elle l'a libéré de l'obligation de rester à ses côtés. C'est sûr, Minnie aurait voulu qu'il reprenne sa carrière.

Mais après un arrêt d'un an sans prévenir, dur de retrouver la confiance d'un club. Guy a 26 ans, et vivra pourtant sa meilleure année de footballeur en signant au PSG, juste relégué en L2. Aucune défaite toute compétition confondue avec le PSG, un titre évident de champion de France de L2, et une campagne incroyable avec l'Île de Pâques en coupe d'Asie-Océanie où l'équipe atteint la finale. Perdre cette finale sera un crève-coeur pour Guy, et sans doute la fin réelle de sa carrière.

Depuis ce jour, le coeur n'y est plus. Avec la bougeotte qu'on lui connaît, et quelques différents économiques - Guy aurait dit que ce n'est pas l'argent qui l'intéresse, mais le prestige - il finit par signer à West Ham. Mais à l'instar de Bernard Lama, cette expérience londonienne sera un flop. A croire que, après Chelsea, la Premier League n'est pas le championnat adapté pour un défenseur technique comme Guy Cesco. Il signe ensuite pour 15 M€ à la Roma. Après une superbe première saison où le club de la Louve finit deuxième à un point de la Juve, Guy ne participe qu'aux deux premiers tiers de la saison suivante et abandonne le club lorsqu'il est troisième. Il finira la saison 5ème. Pire, lorsque Guy quitte le club, il a accompagné l'équipe jusqu'à la finale de la CEC. Une finale que le club perdra.

C'est d'ailleurs un bon condensé de la carrière de Guy. Un type doué, qui sécurisait de façon assez incroyable son équipe, mais qui aura toujours flanché dans la dernière ligne droite. Dire qu'il y avait un problème de mental pour un joueur à la limite de la schizophrénie ne semble pas adapté.

Selon d'où on se place, on pourra dire que Guy a réalisé une formidable carrière ou l'a gâché d'une façon incroyable. Qu'il l'a gâché ? Car avec son talent, n'avoir qu'un titre de champion de SPL, un de L2 et une FA Cup semble dérisoire. Qu'il a fait une formidable carrière ? Le type a quand même fondé une sélection à lui seul, l'a mené à jouer une finale continentale alors qu'il n'y avait que 150 pèlerins sur l'île quand il l'a reprise, ça vous situe un homme. Ajouté à cela le fait d'avoir joué au Real, à Chelsea, au PSG et à la Roma, tout en faisant gagner une guerre à son pays, c'est quand même la classe. En bref, Guy était sans doute le plus honnête, le plus touchant et le plus génial de tous les détraqués que cette planète ait portée.

[extrait du Hall of Fame]

Dans la mythologie nordique, le Ragnarök est une fin du monde prophétique comprenant une série d'événements dont trois hivers sans soleil qui se succèderont, suivis d'une grande bataille sur la plaine de Vígríd. La majorité des divinités comme Odin, Thor, Freyr, Heimdall et Loki, mais aussi les géants et la quasi-totalité des hommes y mourront, une série de désastres naturels verront ensuite le monde submergé par les flots et détruit par les flammes. Une renaissance suivra, où les dieux restants, dont Baldr, Hödr, et Vidar, rencontreront le seul couple humain survivant, qui repeuplera le monde. Pourquoi cette petite lecon mythologique?

D’abord pour votre culture, espèce de couille d’ours inculte. Me remerciez pas pour ca. Pff, à qui je parle là? Bon, bon, je m’emporte, mais que voulez-vous, c’est dans notre sang. Dans le mien, dans celui de Leif aussi. Alors écoutez l’histoire de Leif Odinson, écoutez-moi Loki, dieu des histoires. Et des histoires, j’en connais un paquet, car c’est ma spécialité, et des fois, je mélange, et des fois je m’égare, mais vu que je suis aussi le dieu de la discorde et du chaos, donc tout ce que je raconte a une finalité, alors faites attention aux details, abrutis.

Leif est né à Oslo, enfin, c’est ce qu’il y a écrit sur sa carte d’identité, mais l’est-il vraiment? Vu que les dieux ont un intérêt sur l’enfant, donc nous pouvons faire ce que nous voulons et vous faire croire ce que nous voulons. Alors oui, avec un nom comme Odinson, il ne faut pas être devin pour comprendre que le bambin est un demi-dieu. Fils d’Odin et d’une humaine, on s’en fiche pour l’instant. Gardons une espèce de mystère, ne dévoilons pas toute l’histoire dès le début. Oui, je sais qu’au 21e siècle, vous ne voulez plus attendre, vous allez sur internet pour connaitre la fin d’une histoire que vous venez tout juste de commencer. Mais cette histoire est différente, et c’est Loki qui la raconte.
Donc le gros bambin est né et il est evident qu’il est doté de dons supernaturels. Il a une force surhumaine, et une endurance qui suit avec.

Quand j’ai appris son existence, je savais que je devais m’immiscer dans son éducation et je devins ainsi son meilleur ami, Boris, qui lui appris que la vie est dégueulasse et peuplée de couillons qu’il faut écraser. Ah, je faisais un travail admirable, il fallait dire qu’étant élevé par sa seule mère et ne connaissant pas son père, c’était un travail facile pour le dieu de la tricherie…Il fallait voir le petit Leif pleurer quand j’ai écrasé son petit chien, mais quelle rage ensuite! Vous auriez du voir les 4 adultes qui essayaient tant bien que mal de le contenir, lui le petit enfant de 6 ans, pour l’empêcher de me réduire en pulpe. Mais le mal était fait, et il allait passer quelque temps dans des endroits de reeducation pour mineurs. Ces endroits sont géniaux pour vous laver le cerveau. Ah les hommes n’ont pas besoin de moi pour faire le sale boulot.

Dès lors, mon père Odin fut alerté par ce traitre d’Heimdall et mon demi-frère Thor est venu pour s’occuper du petit et tenter de le remettre dans le droit chemin, et il est apparu comme le cousin Olaf et il lui a mis toutes ces idées bizarres d’utiliser sa force dans du sport, comme le football…pff, quel gachis…Et voilà que le grand Olaf est devenu un joueur de foot, remarqué par les recruteurs européens à cause de sa grande stature et sa force hors du commun. Le pauvre gamin, sous l’influence de mon abruti de demi-frère, avait le cerveau ramolli par l’alcool et les femmes, et la perspective de battre son adversaire ou finir au Valhalla…Que de potentiel gaché, avec moi, il serait dictateur, terroriste ou pire, serial killer…Mais je n’ai pas dit mon dernier mot. Je reviendrais quand le moment sera opportun pour reprendre mon influence sur lui et l’utiliser à mes fins avant le Ragnarök, et battre la prophétie.

Voilà l’histoire de Lief Odinson, mais peut être que tout ce que je vous ai raconté n’est que du pipeau, je suis Loki, et je pourrais très bien vous avoir raconté tout ca pour vous faire perdre votre temps, je suis un connard, n’oubliez pas. Mais quand même, c’est une sacré histoire, vous ne pensez pas? Si elle est vrai bien sur…

Leif est une belle ordure. Venu du froid, c'est un descendant viking qui pense être l'héritier des dieux Asgardiens. C'est un joueur dur, hargneux, méchant et casseur, qui ne se contrefout de ce que les autres pensent de lui. Le mettre sur le terrain, c'est le risque de finir à 10, d'envoyer des joueurs adverses à l'infirmerie, mais aussi l'assurance d'avoir un leader, un aboyeur, un joueur qui se dévoue corps et ame à son équipe sans s'arrêter un instant et pour qui tous les moyens sont bons pour empêcher l'autre de passer. Un joueur qu'on aime avoir dans son équipe, mais qu'on craint d'affronter. Mais une fois le match fini, la seule chose qui l'intéresse sont la bière, et les femmes aux gros culs. Et si possible une bonne baston dans le bar. Comme un vrai descendant d'Odin.

Formé à Liverpool, le joueur quitte rapidement l'Angleterre pour rejoindre Shalke 04. Il sera prêté deux ans à Ross County puis au Celtic pour se former. Il intègre ensuite l'équipe allemande en 2021 puis rejoint le Real Madrid en 2023 pour le plus grand transfert pour un défenseur central (89M€). En janvier 2023, suite à des problèmes dans son club, il rejoint à nouveau Liverpool... Plus de neuf ans chez les Reds. Le temps d'écrire une légende :
• Finaliste Europa Ligue 2024-2025
• Champion PRL 2025-2026, 2029-2030
• Vainqueur LDC 2025-2026
• Vainqueur FIFA Clubs World Cup 2026
• Vainqueur Europa Ligue 2028-2029
• Equipe type PRL 2025-2026, 2026-2027, 2027-2028, 2028-2029, 2029-2030, 2030-2031
• Meilleur défenseur PRL 2028-2029, 2029-2030, 2030-2031
• Ballon d'or 2030

Le palmarès parle pour lui.

Suite à un imbroglio concernant un transfert raté à la Fiorentina, il quitte Liverpool dans le cadre d'un énorme procès médiatique. Après six mois d'inactivité, le temps de gérer son procès et de prendre une cure pour devenir un nouveau "Leif", il rejoint Sao Paulo. Le temps d'être champion de D2 et il retrouve un grand club avec l'OM. Un an plus tard, il file en Major League Soccer, le temps de retrouver le rythme et de disputer une dernière coupe du monde avec l'Islande.

Puis, il devient agent de joueur.

Mais au-delà de ses débuts et de son immense parcours, Leif était un électron libre, capable de coup d'éclats, de coup de sang, de coup d'alcool et de coup d'un soir. Sa relation avec Billy Elish sera certainement la plus marquante de sa carrière, amour, passion et musique rythmant leur idylle.

Robert Herbin (ft. Eric Cantona puis Triffon Ivanov) était un roc, un défenseur à l'ancienne, dur sur l'homme, rugueux, celui qui était surnommé le sécateur a fourni une carrière incroyable. Ses grands compas ont fait le bonheur de nombreuses équipes. Souvent associé à Kevin Marquet, à Manchester United puis au Milan AC, Robert a marqué Players par ses performances sportives, régulièrement en équipe-type. International de son état, il était également un personnage atypique, adapte de coups d'éclats, international grolandais au summum de sa carrière, il finira sa carrière mono-bouliste et dans un état psychiatrique parfaitement marqué.

Al Kolyk a été son digne successeur spirituel. Pas de la même génération, mais de nombreuses similitudes existaient entre les deux, et ne parlons pas que du physique. Considéré comme un des meilleurs défenseur de sa génération, ce petit ange parti trop tôt qui a pris sa retraite à même pas 27 ans, a porté la fameuse équipe d'Albanie à la victoire à l'EURO. Un véritable exploit en plus d'un personnage particulièrement mémorable.

On aurait également pu côté le formidable Robby Gnole, président du SC Bastia de la grande époque, formant un duo de tonnerre avec Danny Paclercq, son coach de toujours.

Quand on a demandé à Perceval Laspales de nous raconter son histoire, il nous a raconté ça : "Pour vous la faire courte, et parce que j'ai la flemme pour le moment de vraiment développer, mes véritables parents étaient allemands et à la rue, mais n'ont rien trouvé de mieux que d'attaquer une petite banque pour s'en sortir et lors de leur fuite en France ils m'ont abandonné dans la ferme de mon père avant de se faire arrêter (et tuer pour mon vrai père). Bref, c'est là que j'ai grandi et appris le Foot. La suite, vous la connaissez. Pour le moment, vous vous contenterez de ça..."

Percy a début sa carrière au FC Metz lors de la saison 2011-2012. Après deux saisons pleines, il rejoint le FC Sochaux, chez qui il restera deux saisons. Un détour au Feyenoord pour une saison et le voilà embarqué chez le grand FC Barcelone, club dans lequel il y restera de nombreuses années et deviendra une légende du football français en étant le premier joueur, depuis Zinedine Zidane a obtenir le ballon d'or, il en remportera même un second. Il évoluera ensuite à la Juventus de Turin puis au Bayern Munich avant de signer à l'Olympique de Marseille, club phare du football français, avant de se faire mettre dehors lors de l'arrivée de Florian Raspentino au poste d'entraîneur. Poussé dehors, il rebondit donc dans son club formateur le FC Metz, dans lequel il terminera sa carrière.

Durant sa carrière, il évoluera également comme latéral gauche, puis comme Milieu gauche lors de son passage à la Juventus de Turin, il terminera la carrière en alternant entre les deux postes en fonction des besoins.

Niveau vie privée, il a d'abord été en couple avec Charlotte Lebon, mais après une relation purement physique, il s'est mis en couple avec sa coéquipière Zilina Westermann, son épouse et amour de toujours. Dans ses mémoires, Percy dira ses quelques mots à son sujet : "L'unique Zilina Westermann, ma charmante épouse. On s'est connus tout jeunes alors que je signais à Metz, elle était latéral droit, moi gauche, on s'est vite retrouvés amants pendant quelques années puis on s'est perdus de vue, chacun a fait sa route de son côté avant de se retrouver adversaires à Barcelone, puis de nouveau amants et même parents "par erreur". Et même si le chemin a été parfois chaotique, je ne regrette pas un seul instant de l'avoir parcouru. "

Footballeur humble, parfois taiseux, parfois loquace, il n'a pas manqué lors de ses nombreux titres de remercier ses coéquipiers et de les partager avec eux. En témoigne quand il a reçu son ballon d'or, sa volonté de louer les qualités du favoris et de son coéquipier Klinton Modrigäo.

Outre sa carrière de footballeur remarquable, Percy reste un footballeur toujours impliqué dans ses projets, qui n'a jamais mâché ses mots ni eu sa langue dans sa poche.

Nous sommes en 1994, au milieu de l'année dans un quartier plutôt huppé de Sao Paulo, Luis Morizon Brésilien pur souche et Angela Digäo (issue d'un mariage entre une mère Danoise qui a fuis à la fin de la seconde guerre Mondiale en raison de son passé Nazisme et d'un père Brésilien) sont deux jeunes Brésiliens qui viennent à peine de se connaître. Lui, est un maitre des affaires à l'international et possède de nombreux accords dans toute genre de marchandise à travers le monde, elle journaliste pour une Radio Brésilienne... Le couple s'aime et désire se poser dans la vie, fonder un foyer, monter une famille et vivre de leurs revenus respectifs, c'est dans cette situation que née le jeune Klinton Luis qui prendra au passage le nom à la fois de sa mère et de son père pour se nommer Klinton Luis Morizon-Digäo. Rapidement le jeune bambin est rejoint par une petite sœur prénommée Linda Angelina. Mais la vie au Brésil n'est pas forcément des plus paisibles, conscient de la situation financière plutôt confortable de la famille, un groupe d'individus décide d'enlever Klinton alors qu'il a tout juste cinq printemps... L'histoire fait le tour du pays et le jeune homme est recherché par tout les médias et les forces de police... On est au début de la retransmissions télévisuelles populaire des arrestations pour des kidnapping... Au bout de trois jours, le jeune garçon est retrouvé finalement loin des médias et de la liesse qu'engendrait ce type d'affaire. Luis estime qu'il est bien trop dangereux pour élever sa famille de rester à Sao Paulo, il entreprends des démarches auprès de ses contactes et s'envole un mois plus tard pour l'Albanie, petit pays au Nord-Est de l'Europe, emmenant sa famille avec lui, les Morizon-Digäo débarque dans un nouveau pays, une nouvelle culture. Rapidement ce cercle Brésilien s'acclimate à ce nouveau foyer, les deux enfants sont scolarisés et vont à l'école, et la femme retrouve rapidement un boulot comme Standardiste au sein d'un ministère, comment ? Simplement parce que son père était lié avec plusieurs ministres et homme de pouvoir Albanais, d'où la raison de leurs départs...

Durant sa scolarité, le jeune Klinton fait la connaissance de deux jeunes hommes, ils forment rapidement un trio explosif et détonnant. Cette amitié si simple fut simplement initié car le jeune Klinton parlait avec un fort accent Portugais, ces deux jeunes hommes, dans ce pays très réac' et fermer à l'immigration sont les seuls à considérer le jeune Brésilien comme un être humain et à l'apprécié... Les garnements feront souvent les quatre cents coups ensemble allant même jusqu'à s'inscrire ensemble dans le club de Football Locale peu avant leur huit années. Klinton, en tant que Brésilien fut rapidement placé en attaque, mais le jeune joueur n'avait finalement rien d'un Ronaldo ou d'un Rivaldo, une vitesse de course assez absente, puis une dentition correcte, ça le faisait pas ! C'est lors d'un banal match du dimanche auquel le Gardien habituel faisait défaut que le jeune Klinton enfila les gants pour la première fois... Ce fut une révélation, multipliant les arrêts spectaculaires, il se trouvait naître, devenir quelqu'un d'autre en enfilant cette paire de gant miteux sur ce terrain boueux dont on n'apercevait à peine les lignes. Depuis ce jour, il ne quitta plus les gants et enchainait les matchs avec un brio monstre... Mais aussi des bévues énormes, comme par exemple lors de la 13e Journée de championnat contre un club pourtant inférieur, où seul face à l'attaquant, il se vautre littéralement en voulant tenter une claquette main opposée sur un lob astucieux... Mais ce genre de raté, devenait au fur et à mesure presque habituel pour lui, ses coachs le savaient, deux à trois matchs par saison Klinton passait au travers, mais ses performances sur l'ensemble des autres matchs étaient-elles qu'on lui faisait bien cadeau de ça...

Mais Klinton Luis Morizon-Digäo n'est pas qu'un simple Gardien. En effet, il restait souvent après les entraînements avec ses deux amis pour frapper des coups de pieds arrêtés, des coups francs, des pénalty, il montra rapidement qu'il était un maître en la matière en frappant rapidement les coups francs de son équipe au cours des matchs, réussissant du coup à devenir un Gardien buteur comme on en fait peu. Ayant pour modèle Rogério Céni et Fabien Barthez, le jeune homme multiplie donc les frasques offensives au grand dame de ses coéquipiers avant-centre, il va même lors d'une saison finir à 8 buts inscrit en 32 matchs ! Tous sur coup franc ou Penalty ! Un excellent score pour un Gardien de but reconnaissons-le... A 13 ans, il est convoqué en équipe de jeune Albanaise, mais un soucis de passeport vient faire défaut, en effet le joueur n'est pas encore Albanais, son entraineur de l'époque et la fédération sentant tenir peut-être un joueur intéressant décide donc de tout mettre en œuvre pour faire obtenir au joueur, une carte d'identité Albanaise, chose faite deux mois plus tard... Mais en raison d'un incident intervenu lors de la demi-finale d'un tournoi local, le jeune joueur ne sera jamais plus rappelé en équipe jeune...

Les Mauvais cotés d'un joueur sont maintenant évoqués, Klinton est de ces joueurs un peu traître sur le terrain, ce genre de type qui sur un corner, avant de chopper le ballon va placer un petit coup sur la cuisse de l'adversaire, ou lui écraser discrètement le pied, chose qui provoque souvent des incidents et des bagarres et c'est justement l'un d'entre eux, où la brouille en question intervient avec Aristis Canak, jeune Milieu de terrain mais aussi fils du fils président de la Fédération Albanaise... Mais le jeune joueur continua sa petite carrière et en 2007, son père lui présente un ami de la famille, un certains Kevin Marquet. Rapidement cet homme d'origine Franco-Belge estime que le jeune Klinton peut devenir un joueur intéressant et reconnu pour son talent, il commence donc à prospecter et à négocier les contrats du jeune homme, mais sans réussite pour le moment...

Ce n'est que trois années plus tard que le boulot de Kevin Marquet fini par payer, il rentre soudain en Albanie rendre visite à son ami et à son protégé quand il lui annonce la bonne nouvelle... << Voilà, j'ai dégotter un truc, c'est un match avec l'UNFP, c'est une société de Football Français, là-bas tu fera un petit stage avec des joueurs professionnels sans contrat qui recherche un club, tu pars une semaine, tu aura quelques matchs à faire, à toi de faire tes preuves. >> Un peu sceptique mais séduit par ce projet, le jeune homme quitte donc l'Albanie, laissant derrière lui (pour le moment) ses deux amis... Il rejoint donc la France et le camp d'entraînement de l'équipe UNFP... Mais pas la "belle" équipe UNFP, en réalité il se retrouve avec l'équipe concernant les joueurs qui n'ont jamais joué à un football respectable, beaucoup de joueurs de Division d'honneur espérant trouver un club de CFA ou de CFA 2 ou des joueurs de Réserve de club de National n'ayant jamais décroché un contrat Pro. Mais ça le jeune Klinton qui ne connait rien au football Français plonge et donne le meilleur de lui-même, il fera trois matchs contre des équipes de CFA et une réserve d'un club de National dont nous ne dirons pas le nom... Le résultat sera sans appel, trois défaites de son équipe sec 4-0, 4-1 et 3-0... Comble du ridicule pour cette équipe, le seul but inscrit lors du deuxième match est un penalty frappé par Klinton ! Mais en dépits des buts encaissés, le talent du jeune Gardien éclabousse les observateurs... Il était brillant, un recruteur s'approchera même du jeune joueur à la fin du match pour récupérer son numéro, mais ne parlant pas un seul mot de Français, c'est son agent Kevin Marquet qui récupéra le numéro... Puis un deuxième agent... Direction le pays pour un débrief...

Quelques jours plus tard, le téléphone sonna, c'était l'agent Kevin Marquet qui annonçait que deux clubs voulaient intégrer le jeune Klinton a leur équipe Première... Le rêve devenait réalité et le commencement d'une très belle aventure !

Klinton signe donc à l'ESTAC en Ligue 2, lors de sa signature, il passe dans un reportage TV pour une chaine régionale, alors que le journaliste interroge les joueurs et notamment ce jeune gardien de 16 ans, ne maitrisant pas un traitre mot du français, chahuté par un coéquipier qui lui dit quoi répondre, sans pression, Klinton lâche en plein direct au journaliste un "SUCHEZ MOI LE BITE". Sa carrière débutait. Pour compenser ce déficit, le club exige une interprète et recrute alors Linda de Suza Pren-moä Méla-moila, une franco-portugaise qui deviendra celle qui le fera devenir un homme. En même temps, il arrive à pécho Vicky Larchioz, une professeur d'école du coin.

Après un an dans l'Aube et pas mal de cours de langue, il rejoint le FC Nantes en Ligue 1. Dans le même temps, sa sœur, Kimera (qui deviendra une joueuse de NBA quelques années plus tard), le rejoint pour débuter une vie en France.

A Nantes, il est rattrapé par la mafia albanaise qui fomente une première attaque contre lui, et ne manque pas de vouloir l'extorquer. Meilleur joueur du FC Nantes qui ne parvient pourtant pas à remonter en Ligue 1, il devient le capitaine du club, à tout juste 19 ans et refuse une offre mirobolante de l'Ajax ainsi que plusieurs offres de solides club européens. A Nantes, il se lie d'amitié avec le gardien ivoirien Jean-Jacques Tizié qui deviendra son mentor et son coach spirituel.

Son charme opère de nouveau puisqu'il parvient à séduire Alysson Paradis.

Trois ans après son arrivée, plusieurs clubs sont sur le pont, Klinton tape du poids sur la table et souhaite la démission de Waldemar Kita qui ne respecte pas ses promesses, il réclame une statue devant le stade.. Le Président luxembourgeois pliera et une statue au format 1/4e sera alors fixé provisoirement devant La Beaujoire... Un gest suffisant pour convaincre Klinton de rempiler tout en continuant à faire la misère, publiquement, à son Président.

Après quatre saisons, une remontée en Ligue 1, Kita tranche dans le vif et force son départ vers l'Olympique de Marseille.



A Marseille, il devient une star et rapidement attire la convoitise, séparée d'Alyson Paradis, la chanteuse phare de la cité phocéenne Priscilia Betti lui jette le grapin dessus, il restera trois saisons avec la jolie blonde.

Son histoire marseillaise tourne court, un an après son arrivée, Klinton trouve que le tireur de coup franc n'est pas bon et veux être le frappeur officiel, il rentre alors au front pour obtenir ce privilège, mais, face à la discussion, Pape Diouf tranche et se sépare du joueur qui rejoint José Mourinho au Standard Liège. Klinton vivra cet affront comme une honte et ne parlera plus de l'OM pendant des années.

A l'été 2020, l'Albanie, emmené par sa génération dorée, Lorik Cana, Al Kolyk, Viktor Volka, Klinton Modrigäo ou encore Chauda Duku remporte l'Euro !

Un an plus tard, la sélection pascquane est ouverte, à l'intersaison, Klinton rompt avec Priscilla et quitte le Standard.
Des terroristes pascuan enlève Shay Given, pensant qu'il s'agit de Klinton, pour forcer les autorités mondiales à modifier le règlement et autoriser Klinton a jouer pour leur sélection.

Après un été mouvementé, le gardien albanais rejoint le grand FC Barcelone et se met rapidement en couple avec Maria Atlochukova, mère isolée d'une petite fille nommée Clitorina. La relation sera brève, mais Klinton adoptera bien plus tard "Ina" suite aux maltraitantes que lui a fait subir sa mère. Il se met ensuite en couple avec Laëtitia Lopez, qu'il épousera deux ans plus tard et avec qui, il aura une petite fille, Kassandra.

Avec Barcelone, il remporte sa première ligue des champions, puis, suite à un nouveau désaccord avec sa direction, quitte l'Espagne et rejoint Liverpool. Loin de Laetitia Lopez, leur relation s'effrite et ils finissent par rompre.

Klinton trouve alors du réconfort dans les bras de Megan Spot (ft. Adriana Lima), une strip-teaseuse anglo-albanaise.

A Liverpool, il restera trois saisons, le temps de remporter une nouvelle Ligue des Champions.

Après trois ans, il retourne au FC Barcelone pour une saison, puis au Bayern Munich, il restera trois saisons au Bayern Munich, évoluant à nouveau avec Perceval Laspalès avec qui, il jouait au FC Barcelone. Devenu plus mature, plus posé, il est de plus en plus discret dans les médias, même si sa relation avec Paola Llompart fait le choux gras de nombreux médias.

Il termine sa carrière internationale avec 101 sélections, 81 arrêts et 27 buts.

Commençant à sentir le poids de l'age, il souhaite rejoindre l'OM, mais le club marseillais le snobe, il signe alors chez le rival, le PSG. Dans le même temps, son fils Kaîto fait ses débuts au centre de formation de l'OM.

Après deux ans à Paris, une Ligue des champions et une Ligue 1. Frustré de ne pas recevoir de prolongation, Klinton prend sa retraite.

Deux ans plus tard, il entraînera Newcastle et reprendra les gants, d'abord comme troisième gardien, il finira par être titulaire la deuxième saison devant la faiblesse des nouveaux gardiens et face au plaisir de rejouer. Après deux ans à Newcastle, portant le club de lutte contre le maintien à qualification européenne, il devient le nouvel entraîneur du Real Madrid avec qui il remportera une Liga et une Ligue des Champions. Il aura également une romance avec sa joueuse, Camille Atrecht.

En parallèle de tout ça, il a également été un homme d'affaire incroyable, il a ouvert son restaurant "Chez Klinton", qui est rapidement devenu une référence pour les personnalités du monde entier et du sport. Il a également ouvert sa marque "KM" qui a été un franc succès.

Sans jamais parvenir à décrocher un ballon d'or, Klinton a tout de même un palmarès incroyable.
Il a gagné tous les championnats dans lequel il a évolué, il a trusté 5 Ligue des Champions en club et une en tant qu'entraîneur et il a remporté un Euro avec l'Albanie.

Chose rare, il a également inscrit 77 buts, dont la majorité sur coup francs direct ou sur penalty. Son accent bresilo-albanais, créant parfois de quiproquo, son côté don-juan, son honnêteté et sa capacité à dire que tous ses départs de clubs étaient, systématiquement, la faute des dirigeants à sans commune mesure, marquer Players. Son palmarès incroyable également, même s'il n'a jamais réussi à remporter un ballon d'or ni de Coupe du Monde, les échecs de sa carrière.

L'histoire de Dom commence quand ses parents ont décidé d'aller passer le mois de décembre avec ses grands-parents paternels dans leur chalet de Davos, dans les alpes grisonnes. Le vol depuis Lisbonne n'a pas été de tout repos pour sa mère, car à peine elle a mis les pieds à Davos, son père a du la transporter directement à l'hôpital, laissant sa grande-soeur Vanessa avec les grands-parents. Le jour-même, après des heures de souffrance, elle a donné naissance non pas à un enfant, mais à des jumeaux. Vous l'aurez compris, c'était Dominik et sa soeur jumelle Larissa, c'était le 2 décembre 1999 et leur vie venait de commencer, dans le froid glacial de Davos.

Très tôt, il s'est intéressé au sport, grâce à sa mère qui était une des coachs sportives les plus admirées au Portugal et sa grand-mère maternelle qui était danseuse classique reconvertie en prof. Malgré tout, la familel a attendu 5 ans pour revenir habiter au Portugal, après l'offre d'un poste à plein temps à la télévision portugaise à ma mère, c'est ainsi que le rêve de devenir footballeur a commencé à prendre forme en intégrant le prestigieux centre de formation du Sporting Clube de Portugal, grâce à l'aide précieuse de son grand-père, ancien kinésithérapeute du club dans les années 80 et 90.

Il a gravit les échelons du centre de formation du Sporting, année après année, jusqu'à ce que la porte de l'équipe B lui soit barrée par un entraîneur qui ne lui voyait pas de futur brillant dans le club. Déçu par cette situation, il décida de rejoindre le centre de formation du Borussia Dortmund pour une nouvelle génération dorée avec Mark Kayzer, Alexandra et Lena Meier. Cette génération a réussi à donner le première titre de la carrière de Dom', la U21 League en 2017. Après avoir perdu le titre la saison suivante, Dominik est parti deux ans en prêt, d'abord au Rangers FC en Écosse où il a fait une bonne saison ponctuée par la victoire en Scottish Cup puis à Crotone et à Toulouse qui ont été, selon Dom', les deux pires expériences de sa carrière.

C'est cependant pendant cette saison que sa vie privée change complètement. En effet, il devient papa d'un petit garçon, Diego Leonardo, né d'une relation courte avec une de ses voisines. L'arrivée de son fils l'a poussé à chercher un changement et c'est ainsi qu'il décide de signer en Italie du côté de la Fiorentina. Malgré une saison incroyable où il a fini 2ème meilleur buteur du championnat avec un statut de remplaçant, le fait que Vincenzo Montella ne lui fasse pas confiance pour être le titulaire la saison qui suit a été pris comme un couteau dans le dos et a précipité son départ d'Italie. Un retour en Écosse a été préparé avec une signature au Celtic où il ne réussit pas à gagner de titres, mais qui est suffisant pour l'ouvrir les portes d'un grand club : l'AC Milan.

Cependant l'aventure milanaise est très vite devenue un cauchemar. Le club était enlisé dans le milieu de tableau en Serie A et les supporters étaient à nerfs et ne laissaient passer aucun travers. Et ça Dom' l'a vécu de front car après avoir fait un tweet où il a fait une erreur sur le surnom de l'équipe milanaise, les supporters l'ont blacklisté et le reste de sa carrière à San Siro fut un vrai cauchemar. Et quand tout va mal, un retour au bercail pour tout relancer... et c'est ce qu'il a fait.

Il est revenu à son club de coeur, le Sporting avec qui a il a réussi à retrouver des sensations en gagnant le titre portugais la 2ème saison et la coupe du Portugal lors de sa 3ème. Cependant une série de blessures ont fini par le stopper et sa dernière saison sous les couleurs vertes et blanches n'a pas été celle des plus exceptionnelles. Cependant, il a profité du support inconditionnel de sa famille pour ne pas baisser les bras et revitaliser sa carrière d'une manière exceptionnelle.

Poussé par sa petite amie Minttu Heikkinen, une nutritionniste finlandaise qu'il a rencontre à Lisbonne, Dominik a amélioré son hygiène de vie et sa signature au Bayern Munich était le début d'une deuxième vie pour le buteur portugais. Arrivé en Bavière n'a pas perdu de temps pour devenir la nouvelle coqueluche de l'Allianz Arena. Avec 2 titres de Bundesliga pour les deux saisons en Allemagne, cela a suffit pour que le Portugais soit nommé puis remporte le Ballon d'Or, devenant ainsi que 4ème portugais à remporter ce titre après Luis Figo, Cristiano Ronaldo et Bernardo Silva.

L'appel du Real Madrid à l'été 2031 a été impossible à refuser et le portugais est parti en Espagne pour écrire l'histoire à 30 ans passés. Sa période madrilène fut vraiment sa meilleure en remportant 2 Champions League, 4 titres de Liga consécutifs, 1 Copa del Rey et 2 Ballons d'Or supplémentaires qui ont porté le numéro 11 du Real Madrid au titre de légende du football mondial. La famille, installée à Madrid, a également vu la naissance des 2 enfants du couple, Draco et Deacon, des jumeaux nés en début d'année 2032.

En 2035, après avoir remporté tout ce qu'il y avait à gagner avec le Real Madrid, Dominik a décidé de rentrer une nouvelle fois à la maison et le Sporting, pour une fin de carrière tranquille. Même si ce club sera sans doute le dernier de sa carrière de coach, il n'a pas mis les freins, bien au contraire : 2 titres de champion du Portugal et 3 coupes du Portugal, Dominik, à 40 ans passés, est toujours décisif avec son club de coeur où il joue avec son fils, Diego avec qui il partage la pointe de l'attaque... pour combien de temps encore ? Personne, à part lui, ne peut le savoir...

Au niveau international, c'est aussi à partir de années 2030 que ça a explosé. Avec d'abord une victoire inédite en Coupe d'Europe face à la France en 2032 puis le toit du monde avec la victoire de la Coupe du Monde en 2034 face au Japon, Dominik peut prétendre au titre de meilleur joueur de l'histoire de la Seleção car il a porté le Portugal aux titres que d'autres avant lui n'ont pas réussi à avoir. Le Portugal a de nouveau atteint la finale de la Coupe du Monde en 2038, cette fois-ci perdue face au Japon dans un remake de 4 ans plus tôt. Et alors qu'on pensait que cela était la fin, après qu'il ait annoncé sa retraite internationale à l'issue de la Coupe du Monde 2038, Dominik a été rappelé par le Portugal pour participer à l'Euro 2039, à 40 ans, pour écrire encore une fois l'histoire.

C'est un beau matin de Mai 1999, au sein du Shonan Fujisawa Tokushukai Hospital au Japon que le petit Kadson Kalyel Santos da Silva Sakurazaki, ou plus simplement Kadson Sakurazaki, poussa ses premiers cris. Il est le second enfant d'un fratrie de 4.

Son paternel, Wellington Silva Dos Santos Sakurazaki, futur fondateur de la WS Agency, est issus d’un croisement entre une brésilienne et un brésilo-japonais, a vu le jour à Sao Paulo en 1975. Il a quitté le Brésil peu avant ses 18 ans pour rejoindre le Japon. Après avoir multiplié les jobs peu glorieux, il finit par obtenir un contrat dans une entreprise local, grâce à l’appui de celui qui deviendra un peu plus tard son beau-père. A son arrivé au Japon, malgré quelques connaissances élémentaires, Wellington dû prendre des cours de japonais plutôt intensif. Et ce qui devait arriver arriva, il tomba sous le charme de sa jeune professeur, une certaine Haruka Mizushima, étudiante qui se faisait un peu d'argent de poche en apprenant le japonais aux étrangers, et qui deviendra Madame Sakurazaki quelques années après.

C'est vers l’âge de trois ans, et sous l’impulsion de ses deux parents -deux fervents fans de football-, que Kadson fait ses premiers pas balle au pied. Sous l'impulsion de son père, modeste joueur avec l’équipe de son entreprise, la Toho Titanium SC, qui aussi surprenant que cela puisse paraître, évoluait à cette époque en Kanto Soccer League, soit la division 4 nationale à cette période. Bref, la jeunesse de Kadson se passa de la manière la plus traditionnelle possible. École, copains, copines, études, sports, avec une passion pour le football de plus en plus grandissante. Mais c'est en 2006, avec ses premières larmes à cause d'un match, que Kadson se fit une promesse. Après la défaite 4-1 du Japon contre le Brésil à la Coupe du Monde et avec la retraite de son idole Hidetoshi Nakata, il fit la promesse d’un jour venger le Japon en battant le Brésil et remportant la Coupe du Monde, pour laver l’affront qu’ils avaient fait subir au japonnais ce jour-là. Bon, cette haine pour les brésiliens disparut assez rapidement en raison de ses origines, mais sa promesse de victoire en Coupe du Monde demeurera jusqu'à la fin de sa carrière.
Ses performances balle aux pieds étaient plutôt intéressante. C’était un bon petit attaquant, assez vif, mais un peu –beaucoup- trop personnel, qui souhaitait marquer tous les buts, faire toutes les passes décisives, voir même sauver son équipe en se jetant pour réaliser un tacle décisif. A cet âge là, il n'avait pas encore la notion de poste, et ce qui lui importait le plus, c'était d'être de partout à la fois. Cela faisait depuis ses 7 ans qu'il jouait dans l'équipe du SFAT Isehara SC. C'était une équipe plutôt pas mauvaise, qui gérait plutôt bien les petites compétitions régionales, avec des finales en Coupe U10 et même un titre en poule régionale. C’était pas grand-chose, mais pour des enfants, c’était important. A cet âge-là, si Kadson ne comprenait pas trop l’importance des compétitions et championnats, le plus important, c’était les coupes et les médailles, et ça, il en avait toute une tripotée à la maison.
Un beau jour, ses parents furent approchés par un recruteur des Yokohama F. Marinos en vue de test pour potentiellement intégrer l’Academy des Marinos. Ce n'était pas la meilleure des équipes du pays, mais c'était suffisant bon pour faire vibrer un gosse de 9 piges. Finalement, malgré des tests plutôt corrects, c’était un autre enfant qui fut recruté par les Marinos. Retour à la case départ, jusqu'à la venue d'un scout du Shonan Bellmare pour intégrer l’Academy du club de Hiratsuka. Shonan n’avait jamais été une grande équipe, bien au contraire. Ils avaient fini 5eme sur 12 de J-League 1 en 1994 pour la première du championnat pro et par la suite, c’était la J-League 2 et des places pas terribles. Bref, ce n’était pas fameux, mais intégrer un centre de formation, c’était pas donné à tout le monde.

Après avoir intégré l’Academy, le jeune Kadson découvrit que ce n’était pas tout à fait comme il se l'imaginait. Alors qu'il pensait qu’ils n’étaient pas nombreux, seulement les meilleurs de la région, les rares élus, non, ils étaient une bonne centaine, si ce n’est plus. En fait, l’Academy était divisé en 3 équipes, les Shonan Bellmare U10 Odawara, les U10 Fujiwara et les U10 Hiratsuka. En gros, les groupes divisés par lieux dans la région histoire de regrouper tout le monde.  Du coup, pour se faire une place, il fallait cartonner et faire mieux que les autres dans sa propre "région" puis ensuite faire mieux que les autres joueurs des autres régions, pour ensuite au moment du passages en U15, être parmi les meilleurs pour rejoindre l'équipe fanion. En parallèle, même si ce n’était seulement qu'en petite catégorie, Kadson fut convoqué à plusieurs reprises avec les petites équipes du Japon, les u12, les u13 et les u15 pour des matchs amicaux sans grande importance. Même si à cet âge-là, l’équipe nationale n’avait clairement aucune importance, c’était quand même signe de son « talent ». Pour la petite anecdote, lors d'un tournoi junior u15 au Japon, Kadson portera le maillot du Brésil en remplaçant un certain Vinícius Júnior qui s'était blessé lors du premier match du tournoi. Menacé de forfait en raison du manque de joueur, les brésiliens se tournèrent vers le seul joueur avec la nationalité brésilienne de la compétition, un jeune joueur du Shonan Bellmare, Kadson. Un tournoi que le Brésil gagnera sans difficulté et ou Kadson jouera quelques minutes sous le maillot Auriverde, pour la plus grande fierté de son père.

Après avoir réalisé de belles performances avec aussi bien Shonan qu'avec son équipe d'High School, Kadson reçu, à tout juste 16 ans, une offre pour rejoindre une autre Academy, d'un niveau bien plus élevé : celle du Chelsea Football Club, l'uns des plus grands clubs de football au monde. Lors d'une tournée estivale des Blues de Chelsea au Japon, le directeur du centre de formation, Dermot Drummy, remarqua Kadson et l'observa pendant la durée de la tournée de Chelsea. Convaincu par le talent du jeune homme, il mit tout en place pour le faire venir à Londres pour continuer sa formation, persuadé qu'il pouvait être le futur grand joueur du club. Fan inconditionnel de Fernando Torres, Kadson n'hésitera pas une seule seconde et s'envola pour Londres et plus précisément Cobham.
L'acclimatation à Londres ne fut pas spécialement difficile pour Kadson, qui malgré ses lacunes en anglais, parlait couramment le portugais, ce qui lui permettait de pouvoir communiquer avec d'autres jeunes de l'équipe tel que Nathan et Kennedy. Mais surtout de pouvoir être intégré par des joueurs pros comme David Luiz, Oscar ou Willian, qui n'hésitaient pas à organiser des restaurants avec les brésiliens du club pour les aider à se faire une place. Kadson eu pas mal de concurrence en pointe de l'attaque des blues dès le début, à devoir partager son poste avec les autres vedettes du centre de formation, Dominik Solanke, Tammy Abraham ou encore Millie Farrow. Après trois saisons, 89 matchs et 67 buts, Kadson s'envolera en France pour son premier prêt, à Valenciennes en seconde division. Un prêt qui tournera court après le drame que vivra Kadson. Lors du premier jour de l'année 2019, lors des fêtes de fin d'année au Japon, Kadson sera victime d'un accident de la circulation. Percuté par une camionnette avec sa jeune soeur, les deux finiront dans un état critique. Kadson se retrouvera particulièrement amoché au niveau des membres supérieur, avant bras cassé, coude fracturé qui a provoqué une fracture ouverte et une déchirure des ligaments, épaule disloqué, clavicule cassée, poignet brisé et des doigts abimés. Et sa jeune soeur elle, terminera malheureusement paraplégique. Après plusieurs mois de rééducations, et malgré les envies de se retirer du monde du football, Kadson se relancera en rentrant en Angleterre. Après une nouvelle saison en Youth League pour se remettre à niveau, il enchainera deux prêts à Aberdeen en Ecosse et à Bordeaux en France, avant de finalement intégré l'équipe pro de Chelsea en 2022. Une équipe pro qu'il quittera 16 ans après en 2038 au moment de sa retraite.
Contrairement à ce que Chelsea avait pu faire pendant de nombreuses années, la nomination de Frank Lampard à la tête des Blues permettra à de très nombreux jeunes de faire carrière avec les pro sans être prêté des dizaines et des dizaines de fois. A l'image de Kadson, d'autres jeunes du centre de formation comme Fikayo Tomori, Tammy Abraham, Valentino Livramento, Ethan Ampadu, Trevoh Chalobah, Niamh Charles, Bryan Fiabema, Reece James, Hannah Blundell, Bethany England, Callum Hudson-Odoi ou encore Mason Mount, tous formés à Chelsea, quitteront le club en fin de carrière, ou la termineront là-bas, du jamais vu en Angleterre, plus de la moitié de l'équipe était constitué de joueurs formé au club. Mais c'est également aux côtés de joueurs comme Lucas Ocampos, Carla Humphrey, Ki-Jana Hoever ou les frères Bellingham que Kadson vivre ses plus belles saisons. Capitaine emblématique des Blues après le départ d'Eden Hazard, Lucas Ocampos gardera le brassard plusieurs saisons avant le léguer à son "frère" Kadson Sakurazaki, qui le léguere lui à Stefan Ivanović à sa propre retraite.

Durant les 16 saisons passés à Chelsea, Kadson jouera 635 matchs, marquera 635 buts, et délivrera 246 passes décisives. Voilà les statistiques stratosphérique du japonais à Londres qui explosera le record de but de Frank Lampard pour maintenant pointer à plus de 400 buts d'avances sur le second meilleur buteur du club. Malgré cela, la très grande concurrence en Angleterre ne permettra pas à Kadson d'explosé les records en terme de trophée. 2 victoires et 2 finales en Europa League, 2 victoires et 3 finales en Champions League, 3 UEFA Super Cup, 2 Premier Leagues (pour 13 podiums), 3 FA Cup et 1 FIFA Club World Cup. Côté individuel cependant, cela sera beaucoup plus glorieux. 15 fois de fois l'équipe-type PRL/LDC/EL, 9 fois meilleur buteur PRL/LDC/EL, et 5 fois meilleur joueur PRL/LDC/EL. S'ajoute à cela le grâal ultime pour un footballeur : 3 fois nommés Ballon d'or en 2027, en 2028 et en 2029.

Mais c'est également avec le Japon que Kadson marquera l'histoire du football, avec 133 matchs et 101 buts, devenant également meilleur buteur de l'histoire du Japon. Si ses débuts furent difficile avec une élimination en poule lors des jeux Olympiques de Tokyo, avec les A, les performances furent bien plus généreuse par la suite. Une victoire et deux finales en Coupe d'Asie, Quart de finaliste en 2022, en 2026 et 2030, finaliste malheureux contre le Portugal en 2034, et enfin, victorieux en 2038 contre le Portugal également. Le rêve absolue du jeune Kadson sera exaucé lors de son tout dernier match professionnel. Un palmarès impressionnant malgré tout pour Kadson, rejoignant le cercle très fermé des joueurs ayant remporté à la fois la Coupe du Monde, la Coupe Continentale, la LDC, l'Europa League, la CDM des clubs, un championnat majeur, et le Ballon d'or.



Côté vie privée, Kadson n'a jamais été du genre à étaler ses relations. Après quelques flirts du temps du centre de formation, où il a eu quelques aventures avec des coéquipières comme Rosella Ayane ou Claire Rafferty, il a surtout fréquenté une jeune actrice française, Eleonore Sarrazin pendant un peu plus de trois années. Il vivra également une courte, mais intense relation avec la patineuse artistique russe Evgenia Medvedeva pendant les JO de Tokyo, avec qui il aura une petite fille Rui Medvedeva-Sakurazaki, patineuse artistique comme sa mère. Mais c'est surtout avec Alexandra Meier, que Kadson partage sa vie depuis 2021. De cette union naîtra Stefan, né en 2025 à Londres. Un nouveau bébé naitre en 2040, mais pour l'instant, Kadson et Alexandra refusent de donner la moindre information sur le futur sexe du bébé.

Après 23 ans de carrière, Kadson Sakurazaki décidera de se retirer du monde du football, refusant pour le moment de prendre en charge une équipe de foot, préférant profiter à 100% de sa famille. Il travaillera toutefois pour la Fédération japonaise dans les années à venir, en temps qu'ambassadeur, mais également en temps que consultant à la télévision anglaise.
Les gens n'auront donc pas fini d'entendre parler de la légende Kadson Sakurazaki.